Pour certains étudiants français: http://www.ledevoir.com/societe/education/405491/Etudiants-francais-au-quebec-paris-s-inquiete-d-une-hausse-des-droits-de-scolarite

Owned.

suuuuuuuuuup,

YURA IN DA HOUUUUUUUSE.

Cet abruti veut briser nos ententes Québec-France! C'est vrai que pour lui, francophonie ça veut pas dire grands choses.

Pour un pays qui va devoir payer les frais équivalents des Canadiens (ce que je trouve tout à fait normal que les français ne soient pas mieux lotis que les canadiens au Canada), il va y avoir énormément d'étudiants francophones d'autres pays qui vont pouvoir venir étudier ici, Belges, Suisses, Luxembourgeois ...etc car leurs frais de scolarité à eux auront été divisé par 3 ou 4.
Plus le Québec se fait honnêtement couiller par la France, 12 pour 1 quoi, pour sauver les frais d'un seul étudiant québécois on doit payer pour 11 français de plus, je trouve ça un peu déséquilibré

Il aurait pu renégocier l'entente avec la France plutôt.

Lui a expliqué qu'il voulait que tous les étudiants francophones payent autant que les Canadiens, c'est on ne peut plus bénéfique pour le Québec, ça fait plein d'étudiants francophones en plus, donc pleins d'immigrants francophones, instruit et déjà intégré, du pain béni. Couillard pourrait à la rigueur conserver cette entente qui suravantage les étudiants français et les met plus haut que tous les étudiants canadiens et étudiants étrangers francophones, mais ça nous coûte énormément d'argent, faut pas s'étonner après que les étudiants québécois aussi en payent le prix avec des hausses de frais de scolarité. Personnellement je trouve que payent 2/3 des frais de scolarité des français est quand même déjà généreux mais ça râlent pck ils veulent qu'on payent 82% de leurs frais

http://ici.radio-canada.ca/sujet/elections-quebec-2014/2014/03/26/009-formation-etudiants-etrangers-plq.shtml

payer* 2/3

Ça amène de la main-d’œuvre francophone qui a un diplôme universitaire. Visiblement ça ne veut rien dire.

Et pourquoi personne ne va profiter des écoles en France (bon, on est 8 fois moins ça n'aide pas)? Elles sont si mauvaises que ça? J'aurais bien le goût moi de faire une maîtrise en France par exemple (mais ayant mon passeport euro j'en profiterais plutôt pour étudier en Hollande ou ailleurs).

moimmaxx066 Voir le profil de moimmaxx066
Posté le 15 avril 2014 à 15:42:24 Avertir un administrateur
Bof, j'aimerais savoir le pourcentage réel des étudiants Français qui reste.

Il est élevé selon mes observations personnelles.

Les étudiants français sont obligé de faire 1 an à l'étranger

Non?

Perso avec tous les choix qu'on a pour étudier à l'international, la France est pas mal dans mes derniers choix hahaha. En géographie c'était fou les choix...
Le Mexique, la Roumanie, les îles Fidgi
Pis la France et la Suisse

C'est intéressant pour la langue.. pas mal moins chiant que de vivre dans un pays avec une langue que tu connais pas.

Au contraire j'trouve que c'est une bonne opportunité pour en apprendre une autre.

Wow tant mieux. Bonne strike à venir ça.

J'vais en échange étudiant pour 1 an en France cet automne et tous mes cours sont en anglais.

Tu vas payer pour ton assimilation...en France.

Les échanges étudiants, c'est souvent la grosse joke. Les établissements français ont l'air de rien en avoir à foutre des cours qui sont pris par leurs étudiants en échange.

Tous les français en échange que j'ai croisés à Montréal prenaient des cours qu'ils avaient déjà faits pour avoir le temps de faire du tourisme.

Il paraît que ça commence à être mieux encadré (par les établissements français), mais le tourisme a encore de beaux jours devant lui.

Sinon, un échange universitaire, en général on paie les frais de scolarité de son établissement d'origine, pas ceux de son établissement d'accueil (ça marche par entente entre établissements). Il n'y a pas de diplôme étranger à la clé (sauf entente particulière de double diplôme).
Ca n'a rien à voir avec l'exonération des Français au niveau provincial.

Si certains paient des frais de scolarité au Québec, c'est parce qu'ils suivent leur cursus au Québec et qu'ils vont être diplômés d'une université québécoise. Ils ne sont pas en échange et il y a de forte chance qu'ils restent travailler au Québec.