Yosh bande de gens
Voilà je vous donne de mes nouvelles
Je suis encore plus stressé, plus tocé qu'avant, j'ai l'impression d'être bi-polaire tellement mon humeur change... j'espère vraiment avoir une vie normal...

Moi j'ai un amis qui a vraiment des toc il va fermer sa voiture 10x il va enclencher sa poigner de portière pour voir si elle bien fermer 10x aussi , il lui faut un 7 heure pour faire le ménage dans son appart ect ....met s'est l'un de mes meilleur amis

Faudrait que je consulte oui et j'ai la même avec la voiture

En fait les vrais toc c'est excessivement rare.

La faute à la série Monk, now tout le monde crois en avoir....

Tu te fou de moi ?
J'adorerais ne pas en avoir putain... ça me ronge comme pas possible, alors non je ne fais pas ça pour "ressembler" à un personnage fictif

Ça existe encore des gens comme natach84 ?

C'est assez étonnant qu'il y ait des gens ignorants à ce point

Sinon l'auteur pour tes toc : tryptophane, c'est une substance qui augmente la sérotonine

Bonjour à toutes et à tous, ça fait un petit moment que je ne suis pas venu sur ce forum, et je tombe sur ce topic qui m'intéresse car moi aussi je suis plein de tocs ...

Malheureusement mes tocs sont mauvais pour ma santé car je ils consistent, pour la plupart, à craquer les articulations de tout mon corps à chaque "mauvaise pensée" et , depuis le temps, commence à me donner des rhumatismes ... Mes tocs sont rares, et ils ont été diagnostiqués à l'âge de mes 20 ans par un bon psychiatre (Si si ça existe ! ^^) ... J'ai aujourd'hui 33 ans, ma longue dépression n'est plus très actuelle (tant mieux), tout cela m'empêche de vivre "normalement", je n'ai pas de petite amie, j'ai tout de même des amis qui comprennent que je ne sorte que très rarement, je n'ai pas le droit de conduire, etc ... Heureusement j'ai les jeux vidéo, grâce auxquels je me suis créé un blog de mini-tests et autres articles sur le sujet, qui me changent un peu le quotidien ! Si ça intéresse du monde je pourrais vous filer le lien, mais je ne suis pas là pour faire de la pub.

En tout cas ça me fait plaisir de voir que je ne suis pas seul, même si j'aurai préféré pour vous que vous n'ayez pas de tocs ... Car je ne sais que trop bien que cela pourri la vie !!

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Natach84 : Avant de dire cela, renseignes toi bien sur les tocs de Poulponche. Après, c'est vrai que beaucoup de personnes disent avoir des tocs sans en avoir et sans savoir ce que c'est réellement. Mais il ne faut pas généraliser non plus.

Poulponche : Tu as quoi comme tocs ?

J'en ai déjà parlé sur le topic, j'éteins et j'allume la lumière 30 fois (au moins) je touche la prise une dizaine de fois pour être sûr quel soit bien fermé,
Je pose et reprend puis repose mes lunettes pour être sur quelle ne sont pas cassé...
Je me retape l'alphabet à l'endroit et à l'envers 10 fois limite avant de dormir... voilà.
Et j'en oublie sûrement

Ok, désolé j'ai pas encore lu tous les messages. Je sais à quel point c'est épuisant les tocs, j'en ai plusieurs de différentes sortes moi aussi. Courage à toi. ;)

Merci à toi aussi ! Tu vas voir je parle un peu de ma vie de merde sur le topic

Merci. Je pense que tu n'es pas seul (pour la vie de merde) ! ;)

Je pense aussi

Bientôt les 4 ans du topic

Bonjour à tous,

Je ne passe jamais sur ce forum, mais voici qu'en ayant cliqué par mégarde je tombe sur ce topic.
J'avais des tocs auparavant (troubles ruminatoires et phobies d'impulsions entre autre) et j'ai réussi à m'en sortir tant bien que mal. J'ai aujourd'hui une vie bien remplie et je n'en ai pratiquement plus (j'ai encore quelques rares périodes, mais je comprends quand ils arrivent et je connais le schéma installé, ce qui fait qu'ils ne restent pas bien longtemps).

Je viens du coup filer des conseils qui m'ont bien aidé à m'en débarasser.
D'abord n'analysez pas le toc pour ce qu'il est mais pour ce qu'il y a derrière. Un toc s'installe en rapport avec nos traits de personnalité, notre caractère et notre vécu, il n'arrive jamais par hasard. Il s'agit d'émotions ou de traumatisme refoulés, et qui par la force de l'inconscient, ressortent de plus belle et transformés. Posez-vous donc les questions suivantes : " Mais qu'est-ce qu'il y a derrière ? Qu'est-ce qui a pu le déclencher ? "

Dans le cadre de mes phobies d'impulsion par exemple, j'avais peur de faire du mal à autrui. Je n'en dormais plus, je faisais des crises d'angoisses. Je me demandais si j'étais condamné à devenir une personne mauvaise. Ça m'obsédait. Et quelques années plus tard, j'ai réfléchi à ce qu'il pouvait y avoir derrière. Après un travail que j'ai effectué seul, j'ai réalisé les choses suivantes : Je me sentais "condamné", j'avais peur d'être "obligé", de ne pas pouvoir être "libre" et cela refletait clairement mon quotidien, mes parents étaient violents et ne me laissaient pas sortir quand j'étais adolescent. Je passais le plus clair de mon temps dans ma chambre. À l'école les profs ne m'aimaient pas et me le faisait comprendre. Certains ne voulaient pas que je continu en filière générale et s'y opposaient en 2nd (J'ai depuis eu mon bac et validé un bac+5 cela dit, beau pied de nez !). Je me sentais donc oppressé, condamné à vivre une vie que je ne voulais pas vivre, et en réalisant le déni que je faisais autour de ça, j'ai fais un grand pas en avant.

Le deuxième point concernant mes phobies fut de comprendre pourquoi il s'agissait de phobie d'impulsion ; pourquoi il y avait un lien avec la violence, avec les homicides, etc ? C'est là que j'ai fait mon deuxième rapprochement : Des trois enfants, j'étais la tête de turc fe mes parents. Tout était de ma faute, tout méritait châtiment corporel ou destruction de bien matériel par leur soins. Si je n'allais pas dans leur sens j'étais une mauvaise personne selon eux, et ils m'ont fait vivre un enfer auprès de ma famille, avec des hontes à répétition, etc. À tel point que je ne disais plus rien. Et que ça a eu un impact sur mon psyché : J'avais refoulé ma culpabilité, et j'avais développé un sentiment de remord permanent sans m'en rendre compte. Je détestais faire du mal à autrui. Et quel est la pire manière de se faire considérer comme un monstre, une horrible personne ? C'est être à l'origine d'un fait divers. Autrement dit, mon cerveau à fait un lien entre ma culpabilité interne, ma supposée "monstruosité", et les faits qui me répugnaient le plus, ce qui serait le plus à mon encontre. C'était l'origine de la peur de faire du mal, de la phobie d'impulsion.

Là où je veux en venir c'est qu'il s'agissait d'une combinaison de deux facteurs, le sentiment d'opression/manque de liberté et la culpabilité permanente, qui ont trouvé le moyen de s'exprimer au travers d'une cause qui provoquerait manquement de liberté à vie, et haine de la société envers moi.

Depuis quelques années tout vas mieux pour moi. J'ai quitté le domicile parental, réussi à financer mes études sans leur aide et je vis comme jamais je n'ai pu avant. Je n'ai pas été voir un psy depuis mon adolescence pour le coup, car j'ai su affronter les situations en prenant le taureau par les cornes. Je ne suis d'ailleurs pas marqué/traumatisé par ces choses que j'ai vécu, l'ensemble ayant amené de la résilience en moi. Et par dessus tout, je sais que lorsqu'un toc me vient à l'esprit, c'est pour m'indiquer que quelque chose ne vas pas, ce qui s'est transformé en mécanique saine, m'évitant des situations que je ne veux pas vivre.

Voilà, j'espère que mon témoignage en aidera et que vous pourrez vous aussi vivre la vie que vous méritez ! Considérez les tocs pour ce qu'ils sont, à savoir des parties de vous que vous avez transformé et tput sera plus limpide

Merci à tous pour vos soutiens !

Salut,

Tout d'abord bon courage pour ceux ayant ce genre de problème.

Ensuite, j'ai déjà parlé avec des gens d'actions que je fais depuis des années qui pourraient être assimilées à des tocs, du moins dans une moindre mesure. Ainsi, jusque très récemment, je ne m'étais jamais posé cette question du "comment qualifier toutes ces actions ?" ou "pourquoi je fais tout ça ?". De ce fait, avant d'en parler, ça ne m'était jamais venu à l'esprit que ça pouvait être des tocs ou même quoi que ce soit.
Finalement, auparavant et après ce que j'ai pu lire sur ce topic, je ne pense pas que ce soit des tocs mais je me demande tout de même à quoi correspondent ces phénomènes (vérifier plusieurs fois quelque chose alors que je suis censé être sûr, modifier des objets de place de manière extrêmement précise dans la position et le type d'objet dont il s'agit, comme les fourchettes par exemple..., etc.). Si vous avez des idées de ce à quoi peuvent correspondre ces phénomènes (globalement, des "petits" tocs (?)) et pourquoi est-ce que ça arrive, n'hésitez pas.

Le fait de tapoter avec ses doigts pour produire pour s'efforcer de produire un rhytme
Le fait d'expirer et d'inspirer plusieurs fois car j'ai l’impression d'étouffer
La fait de ronronner (oui putain )

Le 23 octobre 2018 à 22:55:45 Thunderov a écrit :
Salut,

Tout d'abord bon courage pour ceux ayant ce genre de problème.

Ensuite, j'ai déjà parlé avec des gens d'actions que je fais depuis des années qui pourraient être assimilées à des tocs, du moins dans une moindre mesure. Ainsi, jusque très récemment, je ne m'étais jamais posé cette question du "comment qualifier toutes ces actions ?" ou "pourquoi je fais tout ça ?". De ce fait, avant d'en parler, ça ne m'était jamais venu à l'esprit que ça pouvait être des tocs ou même quoi que ce soit.
Finalement, auparavant et après ce que j'ai pu lire sur ce topic, je ne pense pas que ce soit des tocs mais je me demande tout de même à quoi correspondent ces phénomènes (vérifier plusieurs fois quelque chose alors que je suis censé être sûr, modifier des objets de place de manière extrêmement précise dans la position et le type d'objet dont il s'agit, comme les fourchettes par exemple..., etc.). Si vous avez des idées de ce à quoi peuvent correspondre ces phénomènes (globalement, des "petits" tocs (?)) et pourquoi est-ce que ça arrive, n'hésitez pas.

lis ca c'est vraiment intéressant : https://fr.wikipedia.org/wiki/N%C3%A9vrose_obsessionnelle

je me sent obliger de fredonner des musique quand je stress