Ok, pas de soucis.
Partie ?
Ah ça y'est, je te fais déjà chier.
MJ ou la fille qui veut faire croire qu'elle est une femme avec de l'humour. Mais ça ne prend pas, on n'est pas des abrutis. Possède des dons de dessinateur exceptionnels.
Par contre, c'est l'unique être humain à avoir jamais foulé le sol lunaire.
MJ ?
Bah tu l'es, toi, sur la lune.
Et c'est pour ça que je te kiffe.
Hey ! Y'a eu des posts effacés, non ?
Pour un forum prorpe, votez Mister J.
Un soir, alors que je m´endormais sous la lyre d´Orphée, tenaillé par la méditation sur une pensée aujourd´hui révolue; alors que dans ce minuit glauque, je laissais mon esprit vagabonder par delà les collines brumeuses du gouffre de Weir, j´entendis un fort et singulier bruit émanant de la porte, comme si quelqu´un eut frappé à ma chambre.
"Voilà un phénomène bien curieux - me dis-je - qui peut bien me rendre visite à cette heure-ci ?"
Oh ! Tristement je me souvins que c´était en ce morne automne, mois de tous les mois, année parmi mes plus immémoriables années ! que son agonie pris fin. Le coeur serré, je décidais d´arpenter les méandres de la philosophie afin d´oublier ma détresse, je tentais - en vain - de noyer mon chagrin dans l´extase offerte par le lyrisme, mais en vain .. le souvenir de MJ ne cessait de me hanter. MJ, morte deux fois car partie si jeune !
Les Séraphins ailés, pas à moitié aussi heureux au ciel, en vinrent à nous jalouser, réclamant leur souverraine ! Oui ! Cela fut la raison pour laquelle un vent souffla d´un nuage une nuit, prenant l´âme de ma MJ.
"Ah ! Arrière, ce soir j´ai le coeur léger ! Je ne pleurerai pas, je ne fredonnerai guère d´air mélancolique ! Allons voir qui vient me rendre visite à cette heure si tardive".
Je marchais de manière nonchalente jusqu´à la porte, puis emplissant mon âme de courage, je m´exprimais ainsi : "Veuillez pardonner mon impolitesse, c´est que je m´apprêtais à m´endormir lorsque vous vinrent frapper à ma porte - ce qui plaça en moi un doute quant à l´authenticité de votre visite".
A ce moment, j´ouvris la porte, et les ténèbres se présentèrent à moi, sans plus.
Je restais de longues minutes à scruter les ombres flottantes de la nuit, perturbé, craintif et je commençais à rêver à quelques burlesques idées - telle l´apparition des esprits, de spectres ou pis encore, de fantômes du passé. Mais les ténèbres restèrent silencieuses, seul un mot prononcé raisonnait dans la nuit glauque de cette nuit d´automne fraîche : "MJ ...!". C´était moi qui le prononcait, le répétait : "MJ .. Est-ce toi ?" .
Je rentrais dans ma chambre, dépité. Mon âme était tourmentée au point que j´eusse cru voir une ombre pénétrer rapidement chez moi avant que je n´eusse eu le temps de refermer la porte. Je me retournais violemment, le coeur prêt à lacher, je scrutais chaque recoin de ma chambre, sans pour autant distinguer le moindre signe de vie autre que le mien.
"Surement une gâterie de mon imagination, couplée à l´air frais qui commence à s´installer - me rassurais-je. Allons arranger cela".
Je laissais mon coeur se reposer un instant puis je me dirigeais vers le volet afin de le refermer, soudain, en passant devant le miroir qui ornait ma chambre, je découvris comme une forme humaine, non-mienne, qui me regardait avec insistance de ses yeux ardents, prêts à m´incendier de ses prunelles les plus incandescentes. Shiva elle-même n´aurait pu éteindre cette fournaise qui - en même temps qu´elle nourissait ses pupilles - effrayait mon coeur. Je restais là, la langue nouée, l´esprit confus, l´âme couarde. Sans plus.
Cette forme, imperceptible, reproduisait chacun de mes gestes de dépit. Etait-ce moi ? Etait-ce la grandeur de la nuit et la pâleur de la lune qui m´empêchaient de disjoindre son ombre de la mienne ? La peur m´obligea à sourire, je m´approchais du miroir et tentais de coudre un dialogue :
"Dis-moi quel est ton nom seigneurial aux rivages de la nuit plutonienne!".
Mon interlocuteur leva ses deux mains au ciel et commença à psalmodier : "Ses mains, que tu as si souvent tenues ! Si souvent baisées ! Ses mains qui t´ont carréssées la joue, les cheveux, qui t´ont écrites les mots les plus doux qu´un mortel puisse imaginer !"
A l'écoute de ses paroles, elles commencèrent à disparaitre de manière progressive ... je le voyais ! Je voyais ce phénomène se produire sous mes yeux !
Elle poursuivait :
"Ce coeur que tu as si souvent maltraité ! Cette âme si riche, si généreuse en amour ! Je me tiens au coeur rugissant d´une grève que les brisants tourmentent ! Bien peu ! et encore comme ils se défilent à travers mes doigts vers l´abîme !"
La peur elle-même m´empêcha de faire rententir un cri strident qui m´aurait ôté à ces maudits songes ! Elle leva sa tête et s´approcha de moi, on aurait dit qu´elle sortait du miroir, plus elle s´avançait plus je reculais .. elle lévitait, entourée d´une lumière blanchâtre, elle me regarda d´un air sévère, elle pointa son doigt au ciel, puis elle me lanca :
"Dors en paix ! Car l´Esprit d´amour est le souverrain qui gouverne et qui juge, et, en admettant dans ton coeur passionné celle qui a nom Framboisine, tu es relevé, pour des motifs qui te seront révélés dans le ciel, de tes voeux envers MJ" !
Ah bon ?
Moi je suis déçu. C'est lourd, mal écrit, il n'y a aucune structure et le "Framboisine" à la fin me gène. J'aurais préféré mettre ton vrai prénom mais j'ai dû me rabattre sur ce pseudo, peu poétique.
Mais de toutes les manières, c'était juste une mise en route, en aucun cas le texte que je voulais te dédier.
Du coup, ça me refroidit ...
Si tu m'évites ou que tu en as marre de moi, il suffit de me le dire, tu sais : )
Ciao.
Heureusement que je ne suis pas susceptible.
Bref.
T'y es, sur ce montage ?
http://fouma.free.fr/Topikatof.jpg
Non mais comme je balançais des saloperies sur le 18-25 et le 25-35, j'ai préféré prendre ce pseudo.
Le 1er, je le garde pour les grandes occasions.
Bon, tu ne veux toujours pas me dire comment tu t'appelles ?
Putain, je pensais que tu t'appellais vraiment Marie Jeanne et que tu étais rousse, moi !
Je ne suis pas déçu, bon alors brune ?
Non, mais comme je dois toujours relancer la conversation, je parle de banalités.
Euh ... tu es malade ?
Parce que tu m'as posée une question !
Tu as relancé la conversation !
Je m'interrogeais.