Affrontements urbains à Vénissieux
publié le 08.07.2010 04h00
Minerve et attelle chez les policiers au premier rang. Dans la salle d'audience, soupirs et chuchotements chez la famille des deux prévenus. Deux camps se dessinaient et deux histoires étaient racontées en correctionnelle hier lors des comparutions immédiates.
Outrage à fonctionnaire de police, violence en réunion, usage et menace avec arme, et dégradation d'un véhicule administratif, voilà ce que l'on reproche aux prévenus. Délits que ces deux jeunes contestent. Les faits se sont déroulés lundi soir autour de 20 heures, dans le quartier des Minguettes à Vénissieux. Une patrouille de la brigade anti criminalité (BAC) contrôle trois jeunes et, en quelques minutes, la rue des Martyrs de la Résistance voit affluer une centaine de jeunes. « Ils sont descendus des immeubles et ont encerclé les policiers », selon le commandant général de la BAC, avant de « les caillasser à coup de pierres et de canettes », ajoute-t-il. Côté prévenus, ce sont les agents qui auraient porté en premier des coups.
C'est pourquoi la défense a préféré demander le renvoi du dossier car « pour le moment nous ne possédons que les rapports de police ». À cela la réponse du procureur a été claire : « On sait très bien ce qui va se passer, on va aller voir deux, trois copains et voisins et on va leur mettre la pression ». L'affaire sera jugée le 27 juillet.
Jusqu'à cette date, les prévenus seront maintenus en détention provisoire comme l'a requis le procureur. Décision qui a suscité incompréhension et colère parmi les proches des prévenus.
http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/3455470/Affrontements-urbains-a-Venissieux.html
"Une patrouille de la brigade anti criminalité (BAC) contrôle trois jeunes et, en quelques minutes, la rue des Martyrs de la Résistance voit affluer une centaine de jeunes."
une centaine
Jusqu'à cette date, les prévenus seront maintenus en détention provisoire comme l'a requis le procureur. Décision qui a suscité incompréhension et colère parmi les proches des prévenus.
Pour une fois ils ne sont pas relachés
Et si on envoyait là-bas, comme ça ils ne s'ennuieront plus bêtement sur leurs radars
ChuckSuck
Posté le 8 juillet 2010 à 11:43:01 Jusqu'à cette date, les prévenus seront maintenus en détention provisoire comme l'a requis le procureur. Décision qui a suscité incompréhension et colère parmi les proches des prévenus.
Pour une fois ils ne sont pas relachés
mais ils en ont arrêté que 2 sur une centaine, c'est pas beaucoup
Minerve et attelle chez les policiers au premier rang.
Pendant 30 sec je me suis demandé, c'est quelle origine ça minerve et attelle, ça fait europe de l'est
une centaine
Ah bah ils sont chez eux
je connais très bien Vénissieux et je peux certifier que c'est un quartier paisible ou tout les habitants sont heureux de vivre alors stop la stigmatisation de la violence et de la haine.
lunetoile Un quartier paisible où une centaine de jeunes caillassent la police ? Cette blague...
On voit ça.
Venissieux est l'un des quartiers les plus dangereux de France, tout comme Vaulx en Velin, une autre cité Lyonnaise.
D'ailleurs beaucoup des délinquants qui commettent leur méfaits en Suisse proviennent de ces quartiers.
Et comme par hasard c'est une ville avec presque aucun blanc, comme Clichy-sous-Bois, fief des émeutes de 2005, comme Villiers-le-Bel, fief des émeutes de 2007, etc...
Mais ça doit juste être un hasard.
JF kahn se lache
http://www.dailymotion.com/video/xderw_jf-kahn-se-lache-en-off
La seule solution http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/8/8c/Merkava_mk_iv084.jpg
conséquence de la politique migratoire désastreuse mise en place par Giscard et Chirac et qui continue aujourd'hui
Ce pays est foutu.
Nul part il n'a affirmé ça.
La bonne blague
bah perso aussi quand je vois pas un seul blanc dans la rue j'ai du mal à me sentir en France...mais bon c'est peut-être parce que je suis pas assez formaté pour ce nouveau siècle
Je me demande si, si un préfet sénégalais dans un aéroport plein de blancs avait dit "On se croirait en Europe ici !" on l'aurait condamné à payer une amende.