Je voudrais avoir des infos sur les civilisations qui ont existés en Afrique noir?
Je voudrais aussi connaitre des scientifiques et des grands intellectuels noirs.

S´il vous plait, si vous avez des liens ou des infos, merci de me les donner

ah? on comprends mieux la carte de visite...

Malie, Nubie, Ethiopie, Grand Zimbabwe, etc ...

Renseigne toi là dessus.

Sa existe ?

bon sérieusement, heu bah l´Ethiopie avant que l´islam envahisse ce pays était un pays encore plus riches que les royaume européen et ils ont battit d´immense cathédrale dans le sol

T´es au courant que l´Ethiopie est un pays chrétien?

Les civilisations de l´Afrique noire ont été très florissantes à l´époque médiévale, celle qui ont laissé le plus de traces dans l´Histoire sont incontestablement celle du Soudan (attention ! rien à voir avec le Soudan actuel), cette région qui comprend toute l´Afrique subsaharienne depuis les côtes de l´Afrique de lOuest jusqu´au Nil bleu et qui s´étend jusqu´au Golfe de Guinée au Sud.
L´Empire de Ghana, dans les écrits de voyageurs arabes étaient l´empire le plus riche d´Afrique. Le Roi de Ghana avait mis la main sur toutes les villes étapes du commerce transsaharien, véritables ports du désert : Tombouctou, les mines de sel de Teghaza ou de Wallata, le cuivre de Takkeda, sans oublier l´or des mines du Bambouk. La ville la plus importante, capitale de l´Empire, était Kumbi-Saleh. C´était la réunion de deux cités Kumbi, qui abritait la résidence royale et sa cour, et Saleh, ville musulmane où les marchands arabes pouvaient séjourner et exercer leur culte. Le commerce était tenu par le roi qui exerçait un contrôle farouche sur l´activité la plus lucrative de cette région.
Les marchands arabes partaient depuis Sidjilmasa, ou Fès avec leur dromadaires pour des voyages de plusieurs mois à travers le désert. Chargés d´étoffes et de fer, d´armes (pas d´armes à feu bien sûr), ils passaient par les mines de sel, dont ils gardaient une partie pour le commerce et l´autre pour remporter au Maghreb. Passant par les les villes comme Tombouctou, ils échangeaient leurs marchandises contre le cuivre travaillé par des artisans ou des esclaves en longs cylindres, parfois débité en petites pièces pour servir de monnaie à un niveau local. L´or était la propriété exclusive du Roi et son extraction répondait à des rites très spéciaux. Seule la poudre d´or était destinée au commerce, les pépites considérées comme maléfiques étaient réservées au roi qui les utilisaient comme ornement et symbole mystique. Le roi lui même fixait le taux de change de l´or. Les marchandises échangées ainsi pouvaient tripler voire quadrupler leur valeur entre deux étapes.
Les marchands musulmans (ou Wangara), imposèrent peu à peu une langue commune de commerce : l´arabe, dont la pratique s´est universalisé dans cette activité. Peu à peu, des intermédiaires arabophones se sont imposés pour négocier avec eux, et même si Ghana n´est jamais devenu officiellement musulmane les relations entre les deux ethnies étaient respectueuses. Le Roi étaient chef d´une religion animiste, c´était un personnage sacré auquel on ne pouvait s´adresser que par l´intermédiaire d´un conseiller (toujours le même). Personne ne pouvat le voir, il était caché derrière un rideau. Ses apparitions en public étaient très codifiés et suscitaient l´admiration de tous les spectateurs dont les géographes arabes qui ne cessèrent d´encenser la richesse du Ghana. Tant et si bien qu´un atlas majorquin du XI° siècle montre le roi de Ghana assis, brandissant une énorme pépite, symbole absolu de ce royaume qui disparut sous les coups de boutoir des Almoravides après une longue période de déclin j´usqu´au XII° siècle.
J´aimerais vous parler de l´Empire du Mali et de Mansa Musa, mais je suis crevé, alors ce sera pour demain...
Serviteur...

Serviteur ... je me permets en attendant ton retour de compléter un peu ton discours vis-à-vis du regard occidental (même si ça ne parle pas proprement des civilisations africaines).

La découverte du monde africain au Moyen Âge nous été essentiellement rapportée par le voyageur marocain Ibn Battuta que l’on pourrait qualifier de plus grand voyageur de cet époque (il mériterait bien un topic à lui tout seul, ayant parcouru l’Asie et l’Afrique). Ce dernier a en effet voyagé par les riches routes commerciales qui apportait or, ivoire, sel et esclaves. Voila comment en Europe on se représentait le cœur de l’Afrique : le monde des caravanes qui venaient dont ne sait où. Mais les routes sahariennes vont devenir marginales laissant la place aux routes maritimes où cette fois l’Occident prendra pleinement part au commerce.

Du côté de la mer Rouge, les yeux des Occidentaux voient une double signification. On s’imagine d’une part qu’il existe une route inexplorée vers l’Inde et la Chine. Et d’autre part, on pense que le royaume merveilleux du Prêtre Jean peut se trouver dans ces régions, plus précisément aux mystérieuses sources du Nil, et c´est l´Ethiopie qui va devenir ce royaume. Mais il faudra attendre Vasco de Gama pour connaître véritablement (grâce à la fois maritime) ces régions.
Il n’en est pas moins que les Occidentaux sont fascinés par l’Ethiopie comme le duc de Berry alors qu’au même moment (XIVe siècle) l’Afrique occidentale devient connue des Européens. Et ces derniers font prendre pour un certain temps (plus d’un siècle il me semble) le roi d’Ethiopie pour le Rois des rois : le Prêtre Jean. Il va donc y avoir des relations entre les cours européennes et celle éthiopienne avec cette idée de prendre l’Islam à revers.
Mais aucune aide diplomatique ne sera réellement échangée et l’Ethiopie présentée comme un royaume de splendeur va devenir marginalisée dans les relations occidentales au XVIe siècle avec la Réforme qui reléguera le Prêtre Jean à l’arrière-plan des préoccupations européennes. Notons cependant que dans les sources, les Occidentaux louent sans cesse les merveilles de la cour éthiopienne parlant d’un trône en or, un lit en saphir ...

Pour plus d´informations sur le Prêtre Jean
https://www.jeuxvideo.com/forums/1-59-67589-1-0-1-0-0.htm

Bonjour et merci à EzE pour ces précisions.

L´Empire du Mali s´ancre dans la tradition oral. Il semble être apparu au XII° siècle avec la légende de Sunjata Keita que je m´en vais vous conter : Sunjata était un jeune garçon perclus des jambes, fils unique de sa mère celle-ci était la risée de ses coépouses. Sunjata, jugé inutile est chassé de son royaume par ses oncles et tantes qui le dirigent. Miraculeusement, Le jeune homme retrouve l´usage de ses jambes, il parcoure alors un vaste territoire glanant ici et là des compagnons pour retourner dans son royaume où il reçoit un accueil triomphale. Il renverse sa famille et cré l´Empire du Mali correspondant au territire qu´il a parcouru. On l´appelle alors Mari Jata : seigneur Lion.
Il est proclamé Mansa roi supprème.
Il installe sa capitale dans une plaine entourée de montagne, protection naturelle contre les ennemis. De plus, la ville est située à l´orée de la forêt, source d´or, de cola et qui est empreinte de symboles sacrées. Ainsi est créée Niani. Pour gouverner, Sunjata écarte sa famille du pouvoir, il redoute sans doute encore une fois d´être la proie de complots. C´est la raison pour laquelle il met à la gouvernance de son immense royaume, différents postes administratifs, véritable fonctionnariats. Ce sont les compagnons de Sunjata lors de son périple, on les appelle les Farin. Les métiers les plus importants du royaume sont rendus héréditaires : griots, cordonniers, tisserants et forgerons. Cela ne semble pas avoir existé pendant Ghana. Voici donc une véritable fédération de territoire.

La personne du Roi était, comme au Ghana, sacrée, il n´était pas possible de s´adresser à lui, il parlait égaement par l´intermédiaire d´un inteprète. Quand il apparaissait en public, ses sujets se jetaient à terre en se projetant de la terre au dessus de la tête en disant "Nfa Mansa" : seigneur mon père. En effet, le Mansa est considéré comme le père supprème de tous les mandes. A ses côtés, se trouve un griot (gardien de la tradition orale) qui énumère les hauts faits du Roi. Ces hauts faits sont souvent militaires car le Roi du Mali est un grand stratège à la tête d´une armée qui suscite la crainte dans les territoires vassaux. Les traditions orales parlent souvent de cavaliers solidement harnachés, protégés par des côtes de maille construites dans le fer que leur ont apporté les marchands arabes.
Car le commerce transsaharien est encore une fois la source de revenus du royaume (pour une explication voir plus haut). Il est construit sur les mêmes bases qu´au Ghana. Mais aux échanges de biens matériels on peut ajouter ici les écahanges intellectuels qui ont eu lieu sous le règne de Mansa Musa Ier.
Mansa Musa est un descendant de Sunjata, il règna de 1307 à 1332 et c´est lui qui projeta l´image de l´empire du Mali à travers le monde musulman. Les rois étaient déjà musulmans du fait des échanges avec les Wangara, contrairement à la population qui restait animiste pour être mieux contrôlé par le Roi. Pour s´imposer comme un empereur musulman à part entière, Mansa Musa entreprit un long pélerinage à la Mecque. 60 000 porteurs, 500 serviteurs aux vètements chamarrés d´or et tenant chacun une canne d´or. Il aurait acheté là bas des terrains et des bâtisses pour accueillir les pélerins noirs. Son cortège et sa générosité (on raconte qu´il distribuait les pièces d´or à la foule), ont tellement marqué les esprits que les écrivains arabes en parlaient encore deux siècles plus tard.

Au XIV° siècle, l´Empire du Mali s´était imposé comme un royaume musulman à part entière avec un chef digne de ce qualificatif. C´est là l´apogée du Mali que je continuerai à vous conter tout à l´heure.

Pour conclure sur le Mali :
Le Mansa Musa n´a pas offert à son empire que la richesse et une administration complexe, il a ouvert son empire au savoir et aux échanges intellectuels. Car c´est bien de cela qu´il s´agit. Le commerce transsaharien, véritables courroies de transmission du désert ont apporté bien plus que la richesse. Les villes de l´Empire se sont enrichies de la présence d´intellectuels qui ont gagné le Soudan avec le Mansa Musa. Un milieu de savoir s´est créé, des mathématiciens, des astrologues (qui était une science je vous le rappelle à l´époque), des physiciens, des philosophes sont devenus des proches du Roi. Sous l´influence des intellectuels arabes, les populations de l´empire se sont peu à peu lettrés (toute proportion gardée bien sûr, c´était pas Jules Ferry). Le roi s´est transformé en mécènes et en grand architecte, la grand mosquée de Niani est son oeuvre, ainsi que le grand palais royal. On a retrouvé les vestiges de ces merveilles grâce à l´archéologie. Imaginez que le prédecesseur de Mansa Musa est disparu en mer : "car il ne voulait pas entendre qu´il était impossible de parvenir à l´extrémité de la mer ; il voulut l´atteindre et s´acharna sur son dessein. Il équipa successivement 200 bâteaux, puis 2000 dont il prit la tête. On ne les revit jamais, toutefois de nombreux historiens dont Wiener et Jeffreys ont étudié l´arrivée des Noirs aux Amériques avant Christophe Colomb ; d´autant plus qu´on trouve certaines ressemblances entre des éléments de la civilisation mexicaine et des éléments de l´Afrique noire.
Voilà ce qu´on pouvait dire sur l´Empire du Mali pour lequel je dois l´avouer j´ai beaucoup d´admiration. Ce soir ou demain, j´aimerais vous parler de arrivée des Portugais et des européens sur la Côte de L´or. Je vous assure qu´il y a des choses à dire.

Enfin Mamadou_Touré, ton profil ne fait vraiment pas avancer le schmilblik, si je puis me permettre.

Ah! Ca je connais bien mais je te laisse le soin d´ouvrir le bal serviteur ... (je me garde une petite anecdote sur des pécheurs bretons ) et merci pour ces intéressantes informations.

Pour plus d´infos sur les deux grands empires n´hésitez pas à consulter les ouvrages de l´Histoire générale de l´Afrique, de qualité inégale ils sont édités par l´Unesco.
De rien EzE. Merci à toi de me lire

Et l´empire abyssinien ?

On y va d´abord sur l´arrivée des portugais.
Au début du XV° siècle, les portugais découvrent le Golfe de Guinée, une expédition commanditée par Joao II du Portugal. Ils s´installent sur le littoral de la côte de l´or. Ils fondent différents forts sur la côte, mais ils ne bougent pas du littoral, en effet, les européens ne supportent pas le climat africain et répugnent à s´enfoncer dans les terres, ils préfèrent amplement commercer avec les populations noirs au Sud de l´embouchure du fleuve Sénégal. Leur principal but est l´or, celui des mines du Bambuk (encore lui), les soudanais s´exécutent et tentent d´assouvir l´appétit inépuisable des nouveaux venus pour l´or. Les Noirs tiennent leur commerce secret pour le préserver de toute intrusion ; au temps de la venue des premiers géograhes arabes, ils avaient déjà répadu la rumeur d´un prétendu commerce muet : les deux partis commerçantes déposaient les marchandises dans le silence le plus total, et sans se montrer l´une à l´autre, une belle légende qui cachait de manière farouche un commerce extrèmement lucratif. Il n´était pas rare que les noirs tentent de tromper les portugais sur la marchandise, ils étaient alors punis. La demande en or est telle que les mines, qui ont été sources de revenus pendant plusieurs siècles tarissent en moins d´un siècle.
Les Portugais ne sont pas satisfaits de ce commerce finalement peu lucratif. Sur qui se rabattre ? Les Portugais avaient pour ambition de court-circuiter le commerce transsaharien qui, selon eux, leur fermait tout accès aux échanges. Le "bois d´ébène" fut alors la marchandise de prédilection des échanges entre européens (les Portugais n´étaient plus seuls) et les noirs.
Et là, l´équilibre qui pouvait exister en Afrique de l´Ouest va être gravement menacé. La demande des européens est grande, d´autant plus qu´un nouveau monde a été découvert en 1492. Hollandais, Français, Anglais, Portugais, Espagnols, toute l´Europe occidentale demande des esclaves. Les Forts sur la côte se trasforment alors en véritables villes fortifiées, pour se défendre de son voisin et pour parquer les milliers d´esclaves en partance pour les îles. L´esclave je vous le rappelle, est une marchandise, sa valeur est tout autant étudiée que n´importe quelle autre marchandise. Eau de vie, objets en fer, étoffes, voilà les premières monnaies d´échange pour acheter un esclave. Mais très vite les Français vont y ajouter les armes et la poudre, les autres européens s´y refusaient jusqu´alors.
Pour acheter des esclaves, il fallait négocier avec les grands royaumes du Soudan. Souvent la demande était trop forte (l´esclavage existait depuis des siècles déjà en Afrique, mais pas dans ces quantités industrielles). Alors des interlocuteurs plus marginaux sont entrés en scène, on peut citer ici le royaume du Dahomey qui doit son essor à l´esclavage. Les européens donnèrent des armes aux guerriers qui procédaient à de grandes razzias dans des régions peu structurées, ils ramenaient ainsi de nombreux esclaves à leurs acheteurs. Ainsi des petits royaumes ont pris le pas sur d´autres, provoquant le chaos dans certaines régions. Le fragile équilibre de l´Afrique de l´Ouest a été gravement ébranlé. Toutefois, les européens n´ont pas réussi à stopper le commerce transsaharien qui a continué à fonctionner encore pendant longtemps après l´arrivée des européens.

Je voudrais revenir plus sur le phénomène de découvertes de l´Afrique par voie maritime.

Les premières explorations sont lancées par les Génois, grands commerçants italiens (rivaux de Venise). Ils ne sont cependant qu´au début de l´exploration au XIIIe siècle alors que la Reconquista bat son plein. Ils commercent autour de Gibraltar et des côtes du Maghreb. Cependant ils veulent pousser plus loin et faire le tour de l´Afrique. Telle est l´objectif des frères Vivaldi qui cherchent à rejoindre l´Inde en 1291. L´entreprise fut un échec et on perd leur trace autour du golfe de Guinée qui restera longtemps une limite fatidique à franchir.

Le temps des Génois ne durera pas, laissant la place aux Portugais qui comme cité plus par notre serviteur bien aimé, vont s´atteler au commerce sur la façade atlantique de l´Afrique et cela grâce à l´enthousiasme personnel de l´infant Henri le Navigateur dont sa politique allait définir celle portugaise pour les quatre siècles à venir. Il va donc organiser et financer des expéditions.

En 1415, les Portugais prennent Ceuta et établissent une tête de pont en Afrique. En 1434, ils atteignent le Cap Bojador, surnommé le Cap de la Peur en raison d´un courant contraire qui a longtemps bloqué les explorateurs et oblige à le contourner par le grand large et non le cabotinage. L´obstacle surmonté et apprivoisé, la découverte va reprendre, en 1446, ils atteignent l´embouchure du Sénégal.

Les Portugais vont alors recevoir l´aide de "mercenaires" italiens : le Vénitien Cà Da Mosto et le Génois Usodimare, navigateurs mais surtout hommes d´affaires et notables voulant la mainmise sur l´Afrique. Ils arrivent dans le golfe de guinée et établissent les bases du commerce cité plus haut, c´est bien les Portugais qui détiennent ce monopole économique sur ce côté de l´Afrique.

La découverte "s´achève" en 1488 avec Bartolomeo Dias qui franchit le Cap de Bonne Espérance et c´est là que début ma petite anecdote. Sur place, les Portugais trouvent des individus probablement métis. C´est alors que les Français se réclament de la découverte en affirmant qu´il s´agit des descendants de marchands normands partis de Dieppe et de Rouen le siècle précédent qui n´étaient jamais revenus. Mais tout cela relève plus du mythe.

L´Afrique était acquise aux Portugais alors que pendant ce temps l´Espagne cherchait sa revanche du côté du Nouveau Monde.

Il est bizarre que ce topic n´ait pas le succès escompté, au regard des questions qui se posent dans le topic civilisations africaines. Boh c´est pas grave, je continuerai quand même, ça a son importance selon moi . Demain, je vous entretiendrai du royaume chrétien d´Ethiopie, le règne sanglant de Zayra Yakob et je ferai un petit point sur les sources en Histoire de l´Afrique. N´hésitez pas à demander des choses ! Je n´oublie pas la demande à propos des swahilis, je me renseigne en conséquence et ce sera bon. Patience _IloveHER_

"dans le topic civilisations africaines"
plutôt le topic le moyen-âge de l´Afrique
(double post désolé)

Si si, moi ça m´intéresse! Mais je ne suis pas digne de poster dans ce topic, je n´y connais vraiment pas grand chose...

N´y avait-il pas dans l´Antiquité une grande civilisation au Bénin?? Ou était-elle englobée dans le Royaume du Ghana ou du Mali??

Effectivement, avant le XVII° siècle, le Bénin n´existe pas à proprement dit. Cela fait partie des nombreux territoires du royaume du Ghana pendant l´epoque antique.

heureusment que t´es la

Et surprise, regardez qui voilà.

Un grand merci à Nachan pour l´avoir restauré.