Sujet : L'histoire de Picaf le paria
Twilightlicious
Il était une fois, dans un village, un jeune garçon nommé Picaf, qui avait des yeux rouges et des oreilles pointues.
Ses parents l'adoraient mais, à cause de ses yeux et de ses oreilles, il était le souffre-douleur des enfants de son village.
Ils l’appelaient "Picaf aux yeux rouges" ou "Picaf aux oreilles pointues".
Picaf, lui pensait "Ce n'est pas ma maison, ce ne sont pas mes vrais parents" car ni son père, ni sa mère, ni personne au village n'avait des yeux et des oreilles comme les siennes.
Alors une nuit, Picaf quitta la maison en secret pour chercher ses vrais parents et le monde dans lequel il était supposé habiter.
Il s'enfonça tout dans une forêt ou même es adultes n'osaient pas aller car on la disait habitée par des elfes. Et Picaf les trouva.
Ils avaient, exactement comme Picaf, des yeux rouges et des oreilles pointues.
Mais alors qu'il se réjouissait, ils lui dirent :
"Comment ça tu es l'un d'entre nous ? Mais non car tu n'as pas comme nous des ailes pour voler..."
Comme Picaf s'énervait, l'un des elfes finit par lui raconter :
"Autrefois, un couple d'humain est venu ici avec son bébé malade. Afin de sauver leur enfant, ils avaient brisé la règle du village et étaient entrés ans la forêt et nous ont supplié de le sauver, disant que cet enfant était toute leur vie".
Les elfes n'étaient pas resté insensibles à leur prière et ont utilisé leur magie sur l'enfant. Le bébé fut sauvé, mais en échange il était devenu à moitié comme eux.
Mais les parents pleuraient de joie car tout ce qui comptait pour eux était que leur enfant vive.
Après avoir entendu cette histoire, Picaf s'est précipité chez lui et refit le chemin par ou il était venu en pleurant.
Mais quand il est arrivé devant chez lui, il était trop tard.
Curieusement, pour le peu de temps qu'il était resté dans la forêt, 100 ans s'étaient écoulés au village.
Alors, sur une petite colline sur le seuil du village, entre le village ou il ne connaissait plus personne et le forêt des elfes ou les humains n'ont pas le droit de vivre, Picaf le paria n'arrêta pas de pleurer, ses yeux rouges rougis par les larmes.