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Sujet : [Nouvelle] Rouge Vert

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Nygma Nygma
MP
Niveau 10
10 septembre 2014 à 06:32:01

Une petite nouvelle basée sur une histoire qui me trottait dans la tête depuis quelques mois :)

Merci à Sadenigma de m'avoir bien aidé pour le titre :ok:

Si vous pouviez me donner quelques critiques, notamment au niveau des scènes d'action et des dialogues car c'est là que j'ai le plus de mal :oui: :ange:

:merci:

___________________________________________

Rouge Vert

On m'avait dit de rester dehors, sur le trottoir d'en face. C'était toujours là qu'on voulait que je sois quand les choses devenaient intéressantes. A l'écart, seul. Sur le trottoir.
Pour ce coup, les gars avaient maquillé ma caisse en taxi. C'était assez réussi, d'autant plus que j'avais trouvé l'endroit parfait pour me garer : sur le trottoir d'en face, à l'endroit précis où un vrai taxi devrait normalement attendre son client. Tout allait pour le mieux, ma voiture était la seule à une centaine de mètres alentours. La banque paraissait calme, je supposais que tout se passait bien à l'intérieur. Depuis que j'étais dans cette équipe, aucun des plans n'avait foiré, et je sentais que ce n'était pas ce coup-ci que ça allait arriver.
En regardant les gouttes de pluie heurter le pare-brise avec frénésie, je ne pouvais m'empêcher de me rappeler leurs sempiternelles excuses. "C'est parce que tu conduis bien !" qu'ils disaient tout le temps. "On a besoin de quelqu'un pour assurer si ça se passe mal. C'est un poste à responsabilités !" Tu parles. Rester dehors dans ma bagnole à attendre alors qu'eux s'amusent a l'intérieur ? Un vulgaire sous-fifre, voilà ce que j'étais.

Je m'allumai une clope, sans oublier de baisser la vitre. D'un côté, en y pensant, j'avais toujours été le second couteau. Toujours celui à qui on donnait des ordres, à qui on filait le sale boulot. D'un autre côté, je ne pouvais m'en vouloir qu'à moi-même. Je suivais la vague depuis que j'étais gamin. C'était le moyen le plus simple de faire partie d'une bande, et je m'en contentais. Jamais je n'avais tenté de m'imposer, peut-être parce que je n'en ressentais pas l'envie. Il me fallait avouer que je me complaisais jusque-là assez bien dans mon rôle de faire-valoir, sans actes auxquels j'avais à répondre de moi-même, sans responsabilités, sans identité propre. Me connaissant, ça n'allait sans doute pas changer avant longtemps.

Cela commençait à devenir long, très long. Vingt minutes étaient déjà passées, alors que tout le travail était d'habitude terminé après moins de dix. Ils auraient déjà dû être avec moi dans la voiture, dû jeter des billets par dizaines sur la banquette arrière, dû crier victoire en me répétant ce qu'ils allaient faire de cet argent. Seulement personne n'arrivait, et j'étais toujours seul dans cette rue au milieu de la nuit. Dans cinq minutes, si rien ne se passait, j'allais y aller. C'était trop anormal de ne pas avoir de nouvelles, ni d'eux, ni des forces de l’ordre.

Je jetai la clope par la fenêtre. Alors que je fermais la vitre, j’aperçus au loin une silhouette qui arrivait. Elle sortait de la banque en courant, ce qui la rendait difficile à identifier mais plus elle approchait, plus je pouvais voir que ce n’était pas un de mes associés. Ces imbéciles avaient laissé s’échappé un otage. Ce n’était pas non plus un policier, car la silhouette ne portait pas d’uniforme. Il était clair qu’elle se dirigeait vers ma voiture, et je commençais même à pouvoir affirmer que c’était une femme. Ne sachant pas quoi faire, je restai dans la voiture. Allait-elle venir me demander de l’aide ? Je n’aurais qu’à la remballer et, au pire, la menacer.

La portière s’ouvrit et se referma violemment, laissant entrer dans ma voiture un furtif vent froid. Merde. J’avais oublié que j’étais censé être conducteur de taxi. Je tournai la tête pour mieux découvrir l’apparence de mon visiteur. La femme avait grimpé sur la banquette arrière et respirait à une cadence folle, tentant désespérément de reprendre son souffle. Visiblement, elle pleurait ou avait pleuré.

« Désolé, madame, mais…
-Emmenez… Emmenez-moi à l’hôpital le plus proche, je vous en prie ! Je vais accoucher ! »

C’était un détail qui m’avait échappé. Si elle respirait fort, ce n’était pas parce qu’elle avait couru, c’était parce qu’elle allait accoucher dans très peu de temps. Je ne savais pas vraiment quoi faire, ni comment réagir. C’était définitivement une situation à laquelle je n’avais jamais dû faire face. Soudain, je croisai son regard à travers le rétroviseur. Elle semblait totalement désemparée, comme un enfant qui se serait perdu dans un supermarché. J’estimais qu’elle devait avoir vingt ans, peut-être même moins, je pouvais voir dans ses yeux que c’était la première fois qu’elle allait donner naissance à un enfant. Les larmes qui coulaient le long de ses joues accentuaient encore plus ce sentiment d’impuissance qu’elle dégageait. Elle avait besoin d’aide et elle savait comme moi que cette aide ne pouvait venir que d’une seule personne : moi.

Je démarrai la voiture et appuyai immédiatement sur l’accélérateur. A ma connaissance, le seul hôpital à des kilomètres à la ronde se situait à une vingtaine de minutes d’ici, un quart d’heure en allant vite. Ce qui était ma spécialité.

Je jetai un rapide coup d’œil dans le rétroviseur gauche. Au loin, j’entraperçus mes compagnons sortant de la banque. Ils allaient sans doute m’en vouloir, me traquer. Peut-être même allaient-ils finir en prison. Mais cela ne m’importait plus. J’étais devenu quelqu’un, quelqu’un dont on avait réellement besoin. Jamais je n’avais ressenti cette sensation d’être indispensable. Mêlée à celle que me procurait la vitesse, elle me rendait invincible. J’avais pris une décision seul, une décision déterminante qui allait changer ma vie. Pour la première fois j’étais maître de mon destin et même de celui d’un autre. J’enclenchai la quatrième, la cinquième, la sixième. Arrivé sur l’autoroute, je me rendis compte que je pourrais y arriver en moins de dix minutes. Je voyais que la vitesse à laquelle je conduisais l’apeurait. « Tout ira bien, dis-je sur un ton le plus rassurant possible. Tenez bon. »
Je ne lui mentais pas. Ivre de vitesse et de pouvoir, je me frayais un chemin dans cette jungle urbaine où tout constituait un potentiel obstacle. Mais je savais parfaitement que tout se passerait bien. Je maîtrisais la situation comme personne d’autre n’aurait pu le faire. Plus jeune, j’avais déjà fait de nombreuses courses de nuit sur de pareilles routes, atteignant parfois des vitesses folles. Sauf que cette fois-ci l’enjeu n’était pas le même.

Elle paraissait plus détendue. Je n’avais pas eu à lui dire d’attacher sa ceinture, mais elle avait cessé de pleurer, respirait moins fort. Etaient-ce mes quelques mots qui l’avaient rassurée ? Réconforté par cette idée, j’accélérai encore, bravant les infractions comme un prince charmant affronte le danger. D’une voix douce et presque calme, elle m’arrêta dans ma course héroïque.

« Vous pourriez aller moins vite ?, expira-t-elle en séchant ses larmes. Je crois que ça va aller.
-Mais vous êtes enceinte !, m’indignai-je en me retournant. Je veux dire, vous aller accoucher. Il faut…
-S’il vous plaît, regardez devant vous, dit-elle en haussant le ton. J’ai déjà failli mourir une fois aujourd’hui, je ne tiens pas à ce que le sort s’acharne. »

Elle faisait sans doute allusion à la prise d’otages de la banque. Il allait de soi qu’elle avait rencontré mes compagnons. Leur avaient-ils fait du mal ? La seule pensée qu’ils aient pu poser la main sur elle m’indigna. Comment avaient-ils réagi quand elle leur avait annoncé qu’elle était enceinte ? L’avaient-ils laissée partir ? Ma curiosité me poussa à l’interroger.

« Que voulez-vous dire ?, lui demandai-je.
-Il y avait un braquage à la banque, ou quelque chose comme ça. Des hommes armés, avec des masques ! Ils nous ont demandé de nous mettre à terre, et… Regardez devant vous !
-Ils vous ont relâchée ?, continuai-je, avide d’en savoir plus. Vous leur avez dit que vous étiez enceinte ?
-Je n’ai pas arrêté, mais ils me criaient de me taire et… quelle horreur ! », s’écria-t-elle en prenant sa tête dans ses mains. Elle pleurait. « J’avais peur et je sentais les contractions. Je suis partie en courant…ils ne m’ont pas vue. »

Les salauds. Elle leur avait dit, elle les avait certainement suppliés, et ils n’avaient rien fait pour l’aider. Heureusement, cette bande d’amateurs l’avaient même laissée fuir. J’étais tiraillé entre la haine et la fierté. D’un côté, je leur en voulais à mort, littéralement. S’ils se pointaient un jour pour m’engueuler, je n’aurais aucun mal à leur faire passer un sale quart d’heure. D’un autre côté, cette révélation exaltait encore plus les émotions nouvelles qui s’éveillaient en moi depuis que j’avais pris la décision de démarrer la voiture. J’étais meilleur qu’eux, c’était moi qui allais la sauver, moi qui étais le héros de l’histoire.

On approchait la sortie de l’autoroute qui menait vers l’hôpital. J’avais ralenti comme elle me l’avait demandé, mais les panneaux indiquant notre destination m’encouragèrent à accélérer. J’arrivai à un carrefour et m’arrêtai juste à temps pour éviter le crash. Une voiture devant moi attendait que le feu passe au rouge. Seulement ce n’était pas n’importe quelle voiture : je venais de m’arrêter derrière un véhicule de police.

Le policier avait vu à quelle vitesse j’étais arrivé. Il arrêta sa voiture, en sortit et se dirigea vers la mienne. Je n’avais pas peur, j’avais un bon alibi. Alors qu’il n’était plus qu’à un mètre de la voiture, je perdis le contrôle.

Nygma Nygma
MP
Niveau 10
10 septembre 2014 à 06:32:42

A ma droite, le flic frappait sur ma vitre, me demandant d’ouvrir. Il insistait et plus son ton montait, plus ses coups étaient forts. Derrière moi, la respiration de la jeune femme suivait la cadence. De plus en plus forte, de plus en plus rapide. Sur la gauche, la pluie heurtait ma vitre presque aussi fort que le faisait la main du policier. Alors que tous ces sons se croisaient en suivant le même rythme infernal, je gardais les yeux rivés sur la couleur du feu. J’étais figé, comme entré dans une transe bercée par cette mélodie violente. Rouge. Toujours rouge. Vert.

En démarrant la voiture, je frôlai celle du policier, emportant son rétroviseur gauche. L’hôpital était à une centaine de mètres. L’accélération de sa respiration entraînait celle de la voiture. On était enfin arrivés. Ma quête arrivait à son terme. J’étais devenu quelqu’un d’autre, quelqu’un de meilleur. Ma vie était désormais entre mes mains. Pour le moment, ça allait être une vie de fugitif, vie que j’avais certes méritée. Mais j’étais libre, indépendant et heureux. Et j’avais sauvé une vie.

Je traversai le parking et descendai à toute allure l’allée qui menait aux urgences. Le policier devait toujours être en train de me courser, je n’avais pas de temps à perdre. Ma voiture s’arrêta aux pieds de deux infirmières, et je me surpris à leur donner des ordres, chose que je n’avais jamais faite auparavant :

« Vous deux !, criai-je après avoir ouvert la portière. Emmenez-là, elle va accoucher !
-Merci, fit une voix faible derrière moi, entre deux respirations. Quel est votre nom ? »

Je rentrai dans la voiture alors que les deux bonnes femmes accouraient. J’étais un peu sonné, mais je n’eus aucun mal à lui dire.

« Alexandre, lui répondis-je en tournant la tête vers elle. Mais on m’appelle Alex.
-Merci, Alex, dit-elle en partant. Et n’oubliez pas de cacher ce masque, monsieur le taxi, ça pourrait se retourner contre vous. »

Le con ! J’avais laissé mon masque sur la banquette arrière. Je sortis du parking de l’hôpital à toute vitesse, déchiré par la honte. Je ne voyais pas de voiture de police, mais elle ne pouvait pas être loin. Il fallait que je m’échappe le plus rapidement possible de ce merdier. L’autoroute était sans aucun doute la meilleure échappatoire, mais je risquais de rencontrer le policier en prenant sa direction. Ce fut pourtant cette direction que je pris, convaincu que le flic ne parviendrait pas à me rattraper.

Comme je le redoutais, je l’avais croisé sur la route, dans le sens inverse. Une minute de plus et il m’aurait coincé dans l’allée des urgences. Maintenant, au loin, je pouvais apercevoir le carrefour. Une fois celui-ci franchi, mes chances de m’en sortir atteindraient les quatre-vingt-dix pourcents, j’en étais certain.

A cinquante mètres du carrefour, le feu vira au rouge, et je ralentis comme par automatisme. Mais je ne pouvais pas prendre le temps attendre, il fallait que je passe. C’était une question de taule ou de liberté. Seulement voilà, le destin en avait destiné autrement. Dans cette nuit sombre et pluvieuse, je n’étais pas le seul à vouloir traverser le croisement. Le crash avec la voiture à ma droite fut rude.

Mon réveil le fut moins. J’étais couché dans un lit d’hôpital. Je ne parvenais pas à déterminer depuis combien de temps je dormais, mais mon envie de me lever me soupirait que cela faisait bien trop longtemps. Je me souvenais très bien de ce qui s’était passé, comme si c’était hier à vrai dire. Un jour, une semaine, un mois ? Comment savoir depuis quand j’étais dans ce lit ? Ma jambe droite était emplâtrée tandis que ma main droite était menottée à une barre du lit. Merde !

« Vous êtes réveillé ? »

Je n’avais pas vu la jeune femme qui était assise à mon chevet. C’était celle que j’avais apporté à cet hôpital, mais elle était plus mince, plus jolie, et semblait plus heureuse. Dans ses bras se trouvait un bébé endormi. Il devait avoir quelques jours seulement, ce qui me rassura.

« De…depuis combien de temps est-ce que je dors ?, balbutiai-je.
-Huit jours, me répondit-elle calmement. Vous devez vous reposer.
-Je crois que ça va aller, dis-je en me redressant avec difficulté.
-Je n’en suis pas si sûre. Quand on vous a amené ici, vous étiez dans un sale état. Je vais aller prévenir le docteur, il sera ravi de savoir que vous êtes réveillé. »

Ainsi, j’étais dans le coma depuis une semaine. J’avais plein de questions à propos de ce qui s’était passé pendant ce temps-là : la police, mes associés… Avais-je été relié au braquage ? S’étaient-ils échappés ?

« Attendez !, l’arrêtai-je vivement, alors qu’elle s’apprêtait à sortir de la chambre. Vous, vous allez bien ? Et le bébé ?
-Tout va bien. Je tenais encore à vous remercier pour ce que vous avez fait pour moi, Vous voulez un faire-part ?, me demanda-t-elle en farfouillant dans son sac. »

Je la remerciai et la regardai quitter la pièce avec l’enfant. En lisant le papier, je me rendis compte que la situation dans laquelle je m’étais fourré était vraiment délicate, et que la vie dont j’avais rêvé avant de sombrer dans le sommeil était bien loin maintenant. Cependant, les quelques mots inscrits en gras sur le papier parvinrent à me faire oublier ma condition et à réchauffer mon cœur :

« Alexandre (mais vous pouvez l’appeler Alex) »

-scarytaupinet -scarytaupinet
MP
Niveau 8
13 septembre 2014 à 09:25:50

Yop

J'ai bien aimé cette petite nouvelle, la narration est bonne même si tu perds un peu parfois à trop mettre de "Le con!", "Salauds!" dans tout ça. Le personnage est un peu simple, son choix est rapidement pris sans trop se poser de questions, quelques doutes de circonstances mais on n'a que ça, les doutes, j'aurai bien aimé savoir s'il tremblait sur son volant, s'il suait, des trucs comme ça, qui rendent l'atmosphère tendue.

Sinon, pour les dialogues, ça coule tout seul, pas de remarques à ce niveau là. Pour les scènes d'action, comme j'ai dit plus haut, des descriptions des réactions physiques des protagonistes, ça rajoute toujours un petit plus qui permet de s'immerger encore plus. Sinon, j'ai bien aimé :oui:

Une bonne petite nouvelle que t'aurais pu étoffer un petit peu plus mais qui, en soi, se suffit et fait passer un moment de lecture sympathique :-)

Nygma Nygma
MP
Niveau 10
13 septembre 2014 à 13:45:08

Un grand merci pour cette critique très utile, je vais de ce pas effectuer quelques modifications en suivant tes précieux conseils :)

PCgras PCgras
MP
Niveau 10
14 septembre 2014 à 00:44:03

J'ai bien aimé mais j'ai pas compris la fin. Est-il relié au braquage finalement ? Que signifient les mots en gras inscrits sur le papier ?

Nygma Nygma
MP
Niveau 10
14 septembre 2014 à 03:35:02

Il est bien relié au braquage puisqu'il est menotté à son lit :oui:

Et les mots sur le faire-part c'est le nom du bébé :)

_-Leyla-_ _-Leyla-_
MP
Niveau 7
15 septembre 2014 à 21:56:17

j'arrive avec ma clope allumée devant l'ordi et je tombe direct sur : " et j'allumais ma clope" :hum:

_-Leyla-_ _-Leyla-_
MP
Niveau 7
15 septembre 2014 à 22:15:26

Nan mais je croyais qu'y avait une suite et tout le monde dit que c'est fini. -_-

Aussi terrible que la dernière que j'ai commenté.

Nygma Nygma
MP
Niveau 10
29 septembre 2014 à 14:10:58

Merci :) malheureusement non, pas de suite prévue pour le moment :-)))

Nygma Nygma
MP
Niveau 10
07 octobre 2014 à 13:30:38

:up:

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