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Sujet : [EeC] Bonnie and Clyde Revisited

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MyssEpitaph MyssEpitaph
MP
Niveau 1
01 juin 2008 à 19:08:03

EeC. Derrière cette sémillante et mystérieuse abréviation se cache un projet non moins sémillant et mystérieux et, derrière ces trois lettres somme toute assez banales se cache trois mots somme toute assez banals : Ecriture en Commun. Tout ça pour ça, ouais.

Les EeC, donc, auront pour but, comme leur nom l'indique, d'écrire un truc... à plusieurs.
La différence avec les textes classiques à plusieurs mains, c'est qu'ici on évitera, dans la mesure du possible, c'est le coup classique du "un chapitre sur deux en alternance".
D'où des sujets plus originaux, souvent courts, avec chacun leurs règles, leurs contraintes et, surtout, leurs auteurs.

Mais comme un long exemple vaut mieux qu'une courte explication (si si, ça c'était pour faire genre j'ai un truc intéressant à montrer), Epitaph et Myssmelmel ont le plaisir et la joie de vous présenter leur bébé (un bon gros bébé, ça fait un an qu'il se fait attendre).

Enjoy :-)

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
01 juin 2008 à 19:11:53

Bonnie and Clyde Revisited

Version 1 – Hatred, by Epitaph.

« We are just using each other,
too depraved to stay alive,
but too young to die,
and we hurt…
Thus we hurt. »(1)
- Pain of Salvation – Ashes -

Epilogue

La voiture avalait l’asphalte depuis plus de trois heures sans avoir marqué le moindre arrêt. La même route immuable escortée du même paysage désertique l’accompagnait depuis plus longtemps encore. Le pare-brise de la décapotable était couvert de la poussière du désert néo-mexicain, et les pneus la recrachaient en nuages tourbillonnants derrière la Thunderbird.
Le conducteur se frotta la nuque en soupirant, et posa les yeux sur la jeune femme à côté de lui. Sa courte robe bleue était relevée sur ses cuisses dorées par le soleil, et le vent jouait dans ses cheveux, les envoyant dans tous les sens. Il lui caressa la joue du dos de l’index, et laissa glisser sa main jusqu’à la bouteille d’eau, sur le frein à main.
Vide, constata-t-il en la jetant par-dessus la portière. Calant le volant sur son coude, il se retourna vers la banquette arrière, à la recherche d’une autre bouteille. Il n’y avait rien sous la carte qu’agitaient la vitesse et le vent, rien d’autre dans le sac de sport à moitié ouvert que les liasses de billets retenues par des élastiques, et rien d’autre dans l’aumônière de son siège qu’un flingue.
« Bordel », lâcha-t-il au désert en refaisant face au volant.
Il leva les yeux vers le rétroviseur, qui lui renvoya l’image de l’interminable bande de bitume ourlée d’une brume de chaleur. Ils n’avaient vu qu’une seule voiture depuis trois heures, et elle roulait dans l’autre sens. On les cherchait, mais on ne savait pas où ils étaient.
Le voyant orange s’était allumé depuis plusieurs minutes déjà sur le tableau de bord, mais il ne le remarqua que maintenant.
« Bordel », répéta-t-il.
La chance était avec eux, pourtant ; d’une part, ils étaient toujours vivants, et d’autre part, soixante-deux mille dollars prenaient le soleil à l’arrière. Ca avait bien failli tourner au vinaigre à Albuquerque, mais, même si le corps d’un policier avait alourdi pendant un moment le coffre de la décapotable, eux étaient toujours en course. Pourtant, Mary avait failli craquer quand le flic était mort sous ses balles ; il avait craint qu’elle s’arrête là, qu’elle le laisse continuer tout seul. Et même quand ils avaient repris la route, elle n’avait, pendant longtemps, pas desserré les mâchoires, se contentant de contempler d’un air hagard ses mains recouvertes du sang du flic, dont elle avait refusé de se débarrasser. Mais tout était rentré dans l’ordre à présent ; Mary était redevenue Mary, ses mains étaient propres ; et bientôt, tout irait encore mieux.

Chad fit tourner le bouton de l’autoradio, jusqu’à recevoir, au milieu du flot de parasites, une des rares radios de cette portion de l’I-66. Il y eut quelques applaudissements, puis Chad identifia la voix aussi rauque et poussiéreuse que le désert de Johnny Cash. La vieille chanson avait usé le juke-box du bar, à Sacramento, avant qu’il ne mette les voiles avec Mary. Il monta le son, et fredonna les paroles d’«I fought the law ».
— I needed money ‘cause I had none
I fought the law and the law won.
Robbin’ people with a six-gun,
I fought the law and the law won, la-la-la,
I miss my baby and I feel so sad,
I guess my race is run
She’s the best girl that I ever had, la-la-la,
I fought the law and-
— And the law won, coupa Mary sans chanter.

Chad sursauta. Il n’avait pas vu que sa compagne s’était redressée sur le siège passager, ni qu’elle le fixait d’un regard noir. Regard qu’il ne sembla même pas remarquer.
— Désolé si je t’ai réveillée, s’excusa-t-il en baissant le son. Ca va ?
— Fatiguée, répondit-elle en tournant ses yeux rougis les yeux sur le paysage morne. Et j’ai soif, ajouta-t-elle en cherchant la bouteille du regard. Putain, tu l’as finie ? Tu fais chier, Chad.
— Relax, poupée, on s’arrête bientôt. La caisse aussi à besoin de faire le plein. »
Elle ne répondit rien et, le coude sur la portière, continua à laisser son regard errer sur le désert. Elle en avait marre.
Marre des morts qui parsemaient leur chemin comme une version Oliver Stone du petit poucet, marre des attaques à main armée, marre d’être la nouvelle Bonnie. Le dégoût avait depuis longtemps remplacé l’excitation des vols, et une froide indifférence s’était progressivement substituée aux deux. Même la frénésie sexuelle des débuts, chaque soir, chaque nuit, la laissait profondément indifférente. Et Chad qui ne remarquait rien achevait de l’achever, l’emplissant parfois d’une colère tellement sourde qu’elle aurait pu tuer son amant, comme elle avait tuer ce policer. Sauf que dans ce cas précis, ç’avait été une erreur, une balle perdue. Du moins avait-elle finalement réussi à s’en convaincre ; elle n’en était même plus sûre. Et elle s’en foutait pas mal. Elle voulait juste que ça s’arrête, maintenant.
— Qu’est-ce que tu fous ? lança-t-elle à Chad, qui se rabattait sur le côté.
Elle avait beau se montrer grossière et impolie, se laisser baiser comme une poupée gonflable dans les motels, être agressive quand elle lui parlait, indifférente quand il lui parlait, Chad ne remarquait rien. Chad n’avait l’air de penser qu’à deux choses : le fric, et son flingue. Ou comment utiliser le second pour obtenir toujours plus du premier. Chad était-il devenu un autre, depuis Sacramento ; ou avait-il toujours été comme cela, et Mary ne s’en apercevait-elle que maintenant ? Si la seconde solution était la plus probable, elle était aussi celle qui lui faisait le plus peur, car elle voulait dire que pendant ces semaines passées sur les routes, elle avait été comme lui. Peut-être même l’était-elle encore. Elle devait mettre les bouts, planter là ce connard psychotique.
— J’t’ai dit que la caisse avait besoin d’essence, poupée, répondit Chad en désignant du menton la station essence, quelques mètres plus loin. Et puis, on va prendre à boire.
Prendre, et pas acheter. Il avait dit prendre, et elle savait déjà comment il allait faire. Soixante-deux briques dans le coffre, et Chad allait tirer son pétard pour vingt dollars d’essence et trois dollars de flotte. Merde, elle devait vraiment mettre les voiles.
— J’ai pas si soif que ça, dit-elle en toute inutilité.
— La caisse a quand même besoin d’essence, poupée.
Elle ne répondit rien. Chad n’écoutait pas, n’entendait pas. L’argent agissait sur lui comme une drogue, et elle était sûre qu’il serait mort avant d’en dépenser un dollar. Et elle l’accompagnerait sûrement. Les journaux ne les appelaient pas les nouveaux Bonnie and Clyde pour rien, et la presse avait ce don effrayant d’appréhender la fin avant qu’elle ne se produise. Ca, plus la moitié des polices du pays et le FBI aux basques, pour ce qu’elle en savait, la station Texaco pouvait aussi bien être leur cercueil. Mais ce qui l’effrayait aussi, et faisait croître sa haine envers celui qu’elle avait tant aimé, pour qui elle avait brûlé de désir, c’était de savoir qu’il ne mourrait jamais sans avoir déchargé plusieurs flingues. Chad était un tueur.
Et alors, elle aussi, non ?

Chad arrêta la voiture devant une des pompes rutilantes. Se penchant sur la banquette arrière, il recouvrit le sac de sport de la carte routière, et tira son arme de l’aumônière, sans faire aucun effort pour se dissimuler à d’éventuels regards. Il tendit la sienne à Mary, qui hésita.
— Alors, s’impatienta-t-il, tu le prends ou merde ?
« Merde », fut-elle tentée de répondre. Au lieu de quoi, elle garda le silence quelques secondes, pour s’octroyer un semblant de courage, et dit, d’une voix hésitante :
— Chad… si on arrêtait, maintenant ? On a assez d’argent pour y aller, au Mexique ! On a plus besoin de prendre de risques maintenant… Et j’ai pas envie de te perdre, ajouta-t-elle dans un sursaut d’inspiration, bien que perdre ce malade serait la meilleure chose qui pourrait arriver à Mary et au pays tout entier.
Chad la considéra d’un air étonné, et une expression de colère déforma lentement ses traits.
— L’argent ? Tu crois que je fais ça pour ce putain de fric, Mary ? Merde, t’as rien pigé ! Rien du tout !
Il attrapa une liasse de billets dans le sac, en fit sauter l’élastique, et l’agita devant le visage neutre de son amante.
— Tu crois que c’est pour ça que je le fais ? Pour Benjamin Franklin ? Pour Grant ? Pour ce foutu Jefferson ?
Il remua avec plus de vigueur les billets sous le visage toujours impassible de Mary, et les lança hors de la voiture. La plupart retombèrent à l’extérieur, sur le capot, et certains virevoltèrent à l’intérieur. Un billet de 50 vint se poser sur les courts cheveux blonds de Chad, lui donnant un air particulièrement stupide.
— Je le fais pour nous, merde ! Pour toi, Mary, pour toi et moi ! Pour plus que t’aies à bosser dans ce rade, pour que ton père nous foute la paix, pour qu’on soit ensemble ! Toi et moi ! Tu comprends ? Toi et moi, putain de merde !
Elle voulut lui rétorquer qu’ils pouvaient être ensemble sans argent, ou d’autres banalités du même genre qui ressortiraient par l’autre oreille de Chad avant même d’y être entré en entier. Le fait est qu’il y avait une caisse enregistreuse quelque part sous le sombrero géant et clignotant de la station, et que Chad ne pouvait tout simplement pas partir d’ici sans l’avoir vidée – elle, et le caissier en bonus.
— Allons chercher à boire… lâcha-t-elle finalement en sortant de la T-Bird.

Chad considéra Mary, debout devant lui. C’était bien la Mary des jours passés, celle qui affichait une beauté mêlée d’arrogance, celle qui adorait baiser toute la nuit, toutes les nuits, celle qui partageait le frisson d’extase d’un braquage, et qui ne pouvait se défaire de la décharge d’adrénaline qu’en baisant jusqu’à en crever dans un fossé, dans la voiture, dans le désert, dans un motel. C’était Mary, sa Mary.
— Oui, sourit-il. Allons faire le plein.
Il lui tendit de nouveau l’arme, et ne remarqua pas l’air dégoûté avec lequel elle la prenait dans sa main. Elle était lourde et poisseuse. L’avait-elle toujours été ? Quelle importance…

Chad poussa la porte de la main, et tira son arme de sa ceinture aussitôt arrivé face au comptoir. Mary n’avait jamais compris l’intérêt de la ranger pour la sortir une fois à l’intérieur, mais Chad disait que voir un homme dégainer un flingue est plus impressionnant et effrayant que de le voir débouler, l’arme déjà en main. Conneries ; il voulait faire comme dans les films, rien d’autre, ce qui expliquait aussi qu’il gueule comme un junkie dès qu’il avait pointé le flingue sous le nez de quelqu’un. Il s’amusait plus qu’un gosse.
La jeune femme jeta un vague coup d’œil alentours, non pas pour s’assurer qu’il n’y avait personne, comme elle était censée le faire à chaque fois, mais plutôt pour regarder autre chose que Chad. Le jeune homme pouvait devenir littéralement cinglé lors d’un braquage. Enfin, plus que d’habitude. Quoi qu’il en soit, il n’était pas spécialement séduisant dans ces moments-là, avec la rage qui lui déformait ses traits fins et lui donnait l’air d’un squelette shooté aux amphets, et la sueur qui lui coulait inévitablement sur les tempes. Une fois, Mary l’avait vu bander comme un âne pendant qu’une gamine de dix-sept ans remplissait un sac en papier de billets. Sans Mary, la gamine aurait certainement été violée dans la réserve. Ou pas – pas dans la réserve.

________________________________
(1) On s'utilise, trop dépravés pour rester en vie mais trop jeunes pour mourir, et on souffre... on en souffre.

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 24
01 juin 2008 à 20:08:00

Je ne saisis pas bien le principe ...

Il faut écrire la suite ? Un texte différent ? Une autre version du même récit ?

:question:

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
01 juin 2008 à 21:04:16

Pour l'instant il ne "faut" rien, puisque celui là est fini. C'est seulement pour des raisons de taille qu'on (Mel et moi) poste pas d'un coup.
Et en l'occurrence oui, ce sera une autre version du même récit.

myssmelmel myssmelmel
MP
Niveau 10
02 juin 2008 à 20:03:23

Dis donc on fait un malheur là :o))

Dame_Mistie Dame_Mistie
MP
Niveau 10
02 juin 2008 à 23:14:57

J'ai lu j'ai lu !
Ca parait très prometteur !
J'aime beaucoup l'idée :-)

Simplement une chose.
D'après ce que j'ai constaté, Epitaph écrit avec le point de vue de Mary mais à un moment on a eu le point de vue de Chad :
"Chad considéra Mary, debout devant lui. C’était bien la Mary des jours passés, celle qui affichait une beauté mêlée d’arrogance, celle qui adorait baiser toute la nuit, toutes les nuits, celle qui partageait le frisson d’extase d’un braquage, et qui ne pouvait se défaire de la décharge d’adrénaline qu’en baisant jusqu’à en crever dans un fossé, dans la voiture, dans le désert, dans un motel. C’était Mary, sa Mary."
Ca c'est l'idée qu'il se fait de Mary, donc cette phrase aurait plutôt eu sa place dans l'autre version.
Dans l'absolu, osef de cette remarque mais c'était pour faire un post plus long :o))

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
02 juin 2008 à 23:24:54

Merci d'avoir lu :-)
Par contre les deux versions sont pas une question de point de vue^^

Evidance Evidance
MP
Niveau 8
03 juin 2008 à 14:05:14

Moa aussi j'ai lu :) J'ai vraiment apprécié l'ambiance, un peu à la film américaine le désert, la décapotable, l'argent, les flingues et Mary and Chad together.
Bon en fait comme le titre quoi, ça fait Bonny and Clyde :hum:

Bon je suis pas doué pour commenter en fait mais sachez que j'ai aimé quoi... Ca fait un truc genre volontairement clichesque et c'est maîtrisé.

Bref Well Done :ok:

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
03 juin 2008 à 20:13:34

Merci :)
Suite et fin de la version 1 demain ou après-demain.

Carnavale Carnavale
MP
Niveau 10
04 juin 2008 à 13:03:17

Alors j'ai lu et j'ai trouvé que le récit, en tant que petite fiction autonome revisitant des icônes de l'histoire américaine et du gangstérisme, et revisitant aussi, il faut le dire, une situation et des personnages plutôt stéréotypés (mais avec plaisir !), s'affirmait en véritable bombe d'efficacité.

On sent très nettement qu'à l'instar de Chad "qui veut faire comme dans les films", que l'auteur est influencé, dans son écriture, par une certaine esthétique cinématographique, qui flirte entre le road movie et la bande dessinée d'action, réaliste, travaillant par connivence avec ce que les lecteurs savent déjà du type d'ambiance correspondant.

Je souscris à ce qui a déjà été dit, ça a l'air très prometteur, et je suis curieux de voir la version qu'en aura faite l'alter ego féminin de l'auteur^^.

Je signale au passage que le principe de l'EeC est toujours en marche sur le forum FF8, à travers la fiction collective "Golden Epopée", qui malgré son grand nombre d'auteurs (7 réguliers!), ne cesse de gagner en cohérence et en continuité!

A méditer^^...

Continuez!

Ostramus Ostramus
MP
Niveau 24
04 juin 2008 à 13:30:16

Bonnie et Clyde n'étaient pas des gangsters.

Carnavale Carnavale
MP
Niveau 10
04 juin 2008 à 18:33:40

Ah oui ? Et qu'étaient-ils alors ?

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
05 juin 2008 à 19:56:52

Merci Carnavale :) Effectivement, l'aspect cinématographique (de l'histoire comme de l'écriture) est totalement assumé^^
Pour ce qui est de l'EeC sur FF8 t'en avais déjà parlé il me semble, et j'avais trouvé ça trop avancé pour pas me lancer dedans. Par contre, si prochain il y a, faudra voir^^

Et sinon, Bonnie Parker et Clyde Barrow étaient bien des gangsters, braqueurs de banque et tueurs occasionnels.

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
10 juin 2008 à 20:23:54

La suite et fin de la première version arrive demain, et la seconde version arrivera quand Mel arrêtera d'être une feignasse :-)

myssmelmel myssmelmel
MP
Niveau 10
10 juin 2008 à 20:27:10

De toute avec le nombre de lecteurs qu'on a, je peux passer sans problèmes pour une feignasse pendant deux semaines sans que ça se voit ^^

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
12 juin 2008 à 11:02:29

Mais non, sois positive^^

Epitaph Epitaph
MP
Niveau 10
02 juillet 2008 à 13:03:28

Non?:/

Zangetsu05 Zangetsu05
MP
Niveau 10
02 juillet 2008 à 13:22:44

Non.

Zangetsu05 Zangetsu05
MP
Niveau 10
02 juillet 2008 à 13:23:40

Désolé, c'était malpoli. Je recommence.

Non merci.

Negatum Negatum
MP
Niveau 10
02 juillet 2008 à 13:33:19

OMG le bide du hobbit :o))

Je lirais tout à l'heure, pour la peine :noel:

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