Salut tout le monde ! Je vous présente ma fic', qui concerne l'espace et un peu de voyage dans le temps, j'espère que ça vous plaira :

Chapitre 1 : O Moyen Age !

Nous sommes en l'an 1291, une ère encore entachée par les précédentes batailles, mais cependant, une époque assez paisible ou il y fait bon vivre. Mon nom est Syrus, je suis un ancien chevalier ayant servi le roi. Je me suis retiré en campagne, avec ma femme Layla et mes deux enfants, Varyan et Dalina. C'était un jour très spécial aujourd'hui. La fête du village ! De grandes festivités avec des ménestrels venant de tout le pays ! Les enfants avaient hâte, et moi aussi.

Varyan : Papa, dis moi, demain on pourra tout faire à la fête, non ?
Dalina : Oui c'est vrai papa, on pourra ?
Syrus : Oui, bien sûr ! Mais il faut que votre mère soit d'accord aussi !
Layla : C'est entendu, mais soyez sages, d'accord ?
Varyan et Dalina : Promis !

Le lendemain, au jour de la fête ...

Syrus : Les enfants sont partis à la fête, tu ne te fais pas de soucis pour eux ?
Layla : Ils sont grands, Syrus ! Dalina, même si elle est plus jeune que son frère d'un an, mais lui a déjà 8ans !
Syrus : C'est vrai. Alors peut être pourrions nous ...
Layla : Les enfants sont loins alors pourquoi pas ... *rougit puis l'embrasse *

Nous étions partis pour un bon moment, lorsque quelque chose d'inespéré arriva. Un grand vacarne venait de notre porte, des hommes tentaient de la détruire avec des outils que je n'avais jamais vu auparavant. L'un s'est approché de moi, l'air amical :

Homme : Syrus ! Mon ami, comment te sens-tu ?
Syrus : Je ne vous connais pas. Comment osez-vous faire irruption ici dans ma maison, et vous comporter de la sorte ?!
Homme : Je n'imaginais pas que tu avais perdu la mémoire à ce point mon vieux ... Si je savais... Si nous nous sommes quittés il y avait 10ans, que nous avions 16ans chacun, alors tu as 26 ans... Attends ... Tu as deux gosses qui ont 8 et 7ans à seulement 26 ?! T'as pas chômé dis moi ! Explique moi juste un truc, comment on s'en occupe maintenant ?
Syrus : De quoi parlez-vous étranger ?
Homme : Tu as complètement perdu la mémoire.
Syrus : Non pas du tout !

En réalité si, du moins, je crois. Le premier souvenir qui me vient à l'esprit, c'est lorsque je me suis réveillé dans un pré, non loin du château du roi, et je dois dire que j'étais assez amusé de la réaction des gardes. Ils m'avaient assuré que j'étais "tombé du ciel". C'est comme ça que j'ai été amené au roi et fais chevalier. Je n'y comprenais rien.

Homme : Bon ... Tu te souviens de ton nom ?
Syrus : Syrus.
Homme : Syrus comment ?
Syrus : Syrus ... Syrus !
Homme : Syrus Wearl.
Syrus : Comment vous dites ?
Homme : Syrus Wearl, commandant des armées aériennes de Lucio'polis.
Syrus : Lucio'polis ?!
Homme : Si tu le veux bien, j'ai quelques questions supplémentaires à te poser.
Syrus : J'ai tout mon temps, l'occasion s'y prête donc autant que faire se peut...Tant que vous ne m'importunez pas trop.
Layla : Je vais à la rivière laver nos habits Syrus, à tout à l'heure !
Syrus : A tout à l'heure, mon amour ! *l'embrasse *
Homme : Plus le temps de jouer Syrus, il faut que tu reviennes.
Syrus : Mais je ne vois absolument pas qui vous êtes !
Homme : Hmmm ... Comment faire.
Syrus : Là est la question.
Homme : Est-ce que tu serais prêt à me suivre ?
Syrus : Pour combien de temps ?
Homme : Le temps n'est pas une valeur sûre.
Syrus : Dites moi, quel est votre nom ?
Homme : Il était temps que tu pose cette question. Mon nom est Jack.
Syrus : Jack ...

Des images défilaient devant mes yeux, sans que je comprenne ... Des paroles, des bribes de souvenirs, des serments ... Tout devenait plus limpide dans mon esprit à propos de ce "Jack".

Syrus : Jack Cowsky, sergent major des états du grand maître du conseil John Taven.
Jack : Tu ... Tu as recouvré la mémoire ?
Syrus : Non ... C'est juste ce dont je me souviens, c'est apparu instantanément.
Jack : Bien, Syrus, il faut que l'on y aille.

Nous sommes monté sur un énorme objet qui semblait pouvoir nous déplacer. Je ne comprenais pas comment cela pouvait exister ! J'ai appuyé sur plusieurs boutons, et, je crois bien que des créatures mythiques sont stockées ici, car j'ai bien vu ce dragon cracher des flammes lorsque j'ai appuyé sur ce bouton. Chose que Jack m'a demandé d'arrêter de faire, au risque de devoir raser le village. Un faisceau violet apparut donc devant cet objet qui nous déplace, je l'appelerai Déplaceur. Le Déplaceur rentra dans le faisceau violet et nous fûmes littéralement projetés dans une contrée bien plus éloignée, plus avancée, plus vaste et surtout plus peuplée.

Jack : Nous sommes en l'an 2252.
Syrus : L'an 2252 ?
Jack : Oui. Tu ne te souviens pas de cette ville ? Lucio'polis !
Syrus : Lucio'polis ... Non, je suis désolé.
Jack : Tes vêtements ne sont pas très appropriés pour le lieu, et si nous sortons du vaisseau, tu risques d'êtres asphyxié.

Ah, cela est donc un vaisseau. Fascinant. J'enfilais cet acoutrement ridicule, couvert de hontes et je sortis.Je remarquais avec stupeur que les gens n'étaient pas effrayés par ma tenue, à vrai dire, ils portaient la même.

Jack : Bien, nous voilà au siège du conseil, le grand maître du conseil étant humain, nous avons gagné le respect de toute l'assemblée de la galaxie.
Syrus : Hmmm ... Et que gagnerais-je à vous suivre ?
Jack : Hé bien ... *endort Syrus * Je suis désolé Syrus, mais tout ce que j'aspire, c'est que vous retrouviez "cette" mémoire !

Je ne souviens plus très bien de tout, mais il me semble que Jack m'a emmené jusqu'à une salle, toute blanche avec un grand nombre de fioles contenant divers produits et mixtures. Je fus mis dans une sorte de table, mais métallique et couvert d'une vitre incroyablement solide – j'ai tenté de la briser à plusieurs reprises -

Jack : Syrus, voici le sérum de vérité. Tu ne pourras plus mentir sur quoique ce soit, tu vas retrouver la mémoire.
Syrus : ...
Jack : Ton respirateur a la fois te permet de survivre mais aussi d'inhaler de force ce gaz. Bien, première question ... Quel est ton nom.
Syrus : Syrus Wearl, fils de ... Inconnu.
Jack : En quel année sommes nous ?
Syrus : L'an 2252. Il y a dix ans j'ai été envoyé en mission dans le passé afin de trouver une urne. L'agent Connor McGovin a aussi été envoyé pour le projet "John Titor".
Jack : Effectivement. Bien, question suivante. Te souviens tu des évènements qui ont précédé ton arrivée au moyen âge.
Syrus : Le moyen âge ? Serait-ce mon époque ? Si oui, je ne me souviens que de très peu de choses.

Je commençais petit à petit à m'habituer a ce gaz, et j'arrivais à le dompter. Comme si je pouvais surmonter la vérité.
Jack : Désormais révèle moi les secrets de la Libération !
Syrus : Je me souviens d'un poème ... Amiral, amira amiral ami rien.
Jack : Tu te moques de moi ! Si près du but !
Syrus : J'ai dompté le gaz, M. Cowsky.
Homme : Jack Cowsky, qu'est-ce que vous faites ici ?! Et avec Syrus !
Jack : Hé bien ... Je l'interrogeais, grand maître John Tavis.
John : Ne m'appelez pas grand maître, nous ne sommes plus au temps anciens, appelez moi simplement président.
Jack : Entendu président Taven. Je crois que Syrus s'est évanoui ...

Pas tout à fait non. J'ai feint l'évanouissement pour qu'ils puissent parler comme si je n'étais pas là. J'espère qu'ils me donneront des informations concluantes.

Jack : Il n'a pas l'air de se souvenir de la Libération.
John : En même temps, quoi de plus normal ? Qui aurait voulu s'en souvenir. Le conseil ferme les yeux dessus, même moi je n'ai rien pu faire. En revanche, lui détient les clés.
Jack : Vous savez comme moi qu'il est le fils d'un traître, Nel Wearl !
John : *atrappe Jack par le collet de son uniforme, au dessous de son respirateur * Nel n'était pas un traître ! Dès que Syrus se réveillera, tu le feras aller dans mon bureau.

Après quelques minutes je me suis reveillé et Jack m'a guidé jusqu'aux quartiers du président John Taven.

John : Syrus ! Je suis heureux de te voir.
Syrus : Un plaisir non dissimulé, de ce que je vois.
John : Ecoute, je sais que ta mémoire est pratiquement inexistante. Mais il faut que tu nous croies ! Nous n'agissons que pour ton bien !
Syrus : Etait-ce là la seule raison de ma venue ?
John : Non. Je veux faire de toi mon homme de main.
Syrus : Un homme de main, est une sorte de chevalier je me trompe ?
John : C'est ça. Sauf que tu pourras disposer de toutes nos avancées technologiques.
Syrus : Bien, mais comment suis-je sensé savoir m'en servir ?
John : Tu réapprendras en temps et en heures ... Hahaha ! Je sais que pour l'instant tout est flou, mais il faudrait que tu enquêtes parmi mes hommes. Je sais que tu es le plus à même de le faire. L'un d'eux à piégé mon vaisseau.
Syrus : Comment savez vous que c'est l'un de vos hommes qui a piégé votre Dép...Vaisseau ?
John : Car les hommes de Anubis ne peuvent pas poser de bombes A L'INTERIEUR de mon vaisseau.
Syrus : Effectivement.
John : Bien, alors que faisons nous ?

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Je pourrais accepter la mission et gagner sa confiance, en attendant de me renseigner davantage.
Ou bien je pourrais refuser la mission et ne la faire que sous certaines conditions.

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Si la fic' vous plaît vous pouvez me retrouver ici :

http://inazuma-eleven-future.forumjv.com/0-70724-0-1-0-1-0-0.htm

Une question, tu te relis beaucoup ? Juste pour te dire qu'il y a pas mal de choses à améliorer :d, relire plusieurs t'aides à te rendre compte de tes fautes souvent très visibles après un p'tit coup d'oeil

Moi j'aime bien

Mon nom est Adam Wazek. Ma planète est en train de mourir. Un trou noir est en train d'absorber l'atmosphère, c'est bientôt la fin. Si quiconque lit ce message un jour, n'oubliez pas notre planète et tous les êtres qu'elle recèle. Dites simplement à votre entourage qu'il y a longtemps, une planète emplie d'eau et de sable était nommée la Terre. Des espèces y vivaient, l'une d'entre-elle dont je fais parti était l'espèce humaine. C'était une très belle planète, avec des couleurs plus variées qu'on ne puisse imaginer, c'était un rêve devenu poussière. N'oublier pas cette planète, n'oublier pas la Terre, elle n'est plus qu'un rêve mais elle existe encore lorsqu'on y pense. Si vous cessez d'y penser, elle mourra pour de bon. Voilà ce que vous devez leur dire. Ne nous oublier pas. Poussière nous étions, poussière nous retournons, n'est-ce pas cruel ? Nous n'avons encore rien découvert de ce qui se présentait au-dessus de nous et si haut...nous avions encore tant de choses à découvrir...Savez-vous ce qu'est un rêve ? Etes-vous un Dieu ou bien une espèce intelligente ? Si c'est le cas, vous le savez, nous n'existerons qu'à travers vos rêves. Imaginez notre planète comme bon vous semblera, une infime vérité existera et dans votre représentation imagée, nous serons là quelque part, enfouis dans vos pensées, ensevelis dans les mémoires.