Cheguevara me rappelle les débuts des bolcheviks
Whaou: Vue les derniers messages.
Le Che Guevara sauvage va encore fuir... :p
"Parce qu'ils sont contre le capitalisme,"
Pourrais-tu développer en quoi ? Et en quoi ils sont plus anticapitalistes que les Soviétiques, qui n'ont rien fait d'autre que de confier la gestion du capitalisme à l'Etat, au lieu de privés.
Ca m'étonnerait que ca aille très loin, mais renseigne-toi au moins sur la question, au lieu d'être subjugué par une rhétorique vieille comme Trotsky...
Pour pas soutenir le capitalisme, il faudrait vivre comme Robinson Crusoé. Somme toute, personne ou du moins pas grand monde n'est prêt à le faire.
Pour revenir au sujet.
2 Chansons anti-communisme signé Jean-Pax Mefret.
Les démagos:
Musique: http://www.youtube.com/watch?v=FpOtEUoAvYc
Parole: http://www.france-jeunes.net/paroles-jean-pax.mefret-les.demagos-33994.htm
Camarade:
Musique: http://www.youtube.com/watch?v=RNW5NP_hehk
Parole: http://www.france-jeunes.net/paroles-jean-pax.mefret-camarade-37620.htm
J'ai oublié:
Voici la biographie de Jean Pax Mefret: http://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Pax_M%C3%A9fret
Et avant de dire que c'est un vilain raciste xénophobe qui a fait ces chansons.
Je précise qu'en lisant la biographie: Il est né en Algérie et c'est occupé d'association de défense des droits de rapatrié d'Algérie...
http://www.youtube.com/watch?v=5g_WL2XZ3LU&feature=related
Sur l'attentat "manqué" d'Émile Henry.
N'oublier pas le maître:
Didier Super: La droite et la Gauche
http://www.youtube.com/watch?v=65Vm1mSbODM
C'est un dieu Didier Super
Celle là c'est sa meilleure selon moi http://www.youtube.com/watch?v=ZSWMsHKMsXA
Je l'écoute presque tout les jours!
http://www.youtube.com/watch?v=V_ZSuHGUFFY
Écrite par Carlos Puebla en 1965. C'est cadeau Pedro.
Sinon y a le nouveau président: http://www.youtube.com/watch?v=NRacoYUatkM
Les gens qui bossent: http://www.youtube.com/watch?v=t0AxtE6gM-A
http://www.youtube.com/watch?v=_ZCYRpEgows
Liberté de Katerine. J'aime beaucoup. Paroles profondes en plus.
http://www.youtube.com/watch?v=flJLqRzZneE
Vladimir Ilitch de Sardou. Je la dédicace à tous les communistes du forum.
Metallica - Don't tread on me
http://www.youtube.com/watch?v=Db1s-eV-Bd0
Florent Pagny - Ma liberté de penser
http://www.youtube.com/watch?v=6w5vWHqU3uM
The Beatles - Taxman
http://www.youtube.com/watch?v=Maz9ddxEQnM
Volo - Le Medef
http://www.wat.tv/audio/vio/volo-medef-5lps_2fya9_.html
#
Pourrais-tu développer en quoi ? Et en quoi ils sont plus anticapitalistes que les Soviétiques, qui n'ont rien fait d'autre que de confier la gestion du capitalisme à l'Etat, au lieu de privés.
Ca m'étonnerait que ca aille très loin, mais renseigne-toi au moins sur la question, au lieu d'être subjugué par une rhétorique vieille comme Trotsky...
Il me semble que tout une partie du programme du NPA est axée sur l'autogestion, mais bon, je comprends ce que tu veux dire.
"Développer l’auto-organisation et les expériences d’autogestion
Dans tous les domaines, sur tous les terrains, la transformation sociale repose sur l’auto-activité des travailleurs et de la population. Nous encourageons en particulier toutes les formes d’auto-organisation ouvrière, de l’assemblée générale souveraine au comité de grève et aidons à développer chaque fois que les conditions sont réunies, toutes les expériences basées sur l’auto-activité des collectifs de salariéEs, de producteurs ou de citoyens dans tous les domaines de la production matérielle ou intellectuelle. L'ensemble des expériences socio-économiques autogérées et décentralisées doit ainsi être soutenu et renforcé: prise de contrôle d’entreprises en faillite par les salariés, mais aussi création de coopératives de production ou de services, de structures rapprochant producteurs et consommateurs, ou encore création de nouveaux biens communs sociaux comme les logiciels libres.
Dans le cadre du capitalisme, ces initiatives sont menacées en permanence d’être récupérées et normalisées. Leur développement n’en constitue pas moins un enjeu important qui doit être pensé non comme une alternative au mouvement ouvrier et citoyen mais comme une partie de celui-ci: il s'agit en effet de cadres qui échappent – au moins partiellement – aux logiques capitaliste, productiviste et à la verticalité du pouvoir étatique. De même, nous tentons de susciter et soutenons les processus d’autogestion ouvrière que les vagues de licenciements et de fermetures d’entreprises remettent à l’ordre du jour. La question de la récupération d’entreprises par leurs travailleurs eux-mêmes, de la poursuite ou reprise de la production en autogestion, pourra être de plus en plus fréquemment posée – comme cela avait été le cas dans l’Argentine post-2001.
Ces expériences sont doublement importantes. D'abord, parce qu'elles constituent des démonstrations certes limitées, mais concrètes, que des relations économiques efficaces peuvent se lier entre les êtres humains qui ne soient ni celle de la redistribution bureaucratique et ni celle de la concurrence capitaliste. Ensuite, parce qu'il s'agit d'une formidable source de créativité et d'invention sociale, permettant de tester et d'inventer des procédures de coopération, d'en mettre en évidence les limites et les forces.
Nous devons entretenir des relations avec ces secteurs qui remettent en cause la logique marchande, afin d’en nourrir notre projet d’une société basée sur d’autres rapports sociaux et écologiques de production mais aussi afin d’amener la contestation politique du capitalisme et la nécessité d’une véritable démocratie des producteurs-citoyens au cœur de ces démarches d’autogestion.
Nous avançons les revendications de maîtrise collective de l’organisation du travail, la contestation du pouvoir du patronat sur la production, la réquisition et la prise de contrôle des outils de productions et des profits.
Dès à présent, des mesures de soutien conditionnel – sur la base de critères sociaux et écologiques – à ces secteurs non soumis à la logique du profit doivent être envisagées, notamment en termes de fiscalité, de soutien logistique, d'accès aux infrastructures et de commandes publiques. Dans le cadre de la transition, il faudrait favoriser leur montée en puissance et organiser leur articulation aux activités planifiées.
La planification socialiste écologique et démocratique
La planification démocratique doit permettre à la société de définir ses objectifs concernant l’investissement et la production à l’intérieur d’un secteur donné de l’économie, comme entre les différents secteurs en prenant en compte les impératifs de respect de l’environnement, de coopération internationale, de respect des conditions de travail de tous et des droits démocratiques.
Dans la même logique, nous nous battons pour une sécurité sociale autogérée permettant aux assurés sociaux de prendre collectivement les décisions concernant leur salaire socialisé. C’est le sens de notre combat pour une sécurité sociale institution du salariat, dont les caisses seraient gérées uniquement par les représentants des assurés élus , sans présence des patrons ni intervention de l’Etat, et où toutes les grandes décisions à chaque niveau seraient directement soumises aux assurés sociaux.
La production et la consommation doivent être organisées rationnellement non seulement par les «producteurs» mais aussi par les usagers-citoyens et, de fait, par l’ensemble de la société, soit la population productive ou «non productive» : étudiants, jeunesse, retraités, etc. Les prix des biens eux-mêmes ne répondraient plus aux lois de l’offre et de la demande, mais seraient déterminés autant que possible selon des critères sociaux, politiques et écologiques; de plus en plus de produits et de services seraient distribués gratuitement. L’évitement du gaspillage et les contraintes écologiques conduisent cependant dans une série de cas à combiner la gratuité d’une quantité de base, garantissant à chacun un doit effectif au bien suffisant, et la taxation de la consommation du surplus.
Le caractère démocratique de la planification s’appuiera sur le partage et l’extension des savoirs dits «experts» établis de manière contradictoire au cours du processus démocratique de prise des décisions. Par exemple concernant la réponse aux besoins alimentaires, énergétiques, de déplacement, de qualité de vie… la connaissance concrète et partagée des conditions écologiques et agronomiques de la production et de leurs limites devra être à la base des débats et des décisions.
Il y aurait, bien entendu, des tensions et des contradictions entre les établissements autogérés et les administrations démocratiques locales et d’autres groupes sociaux plus larges. La planification socialiste doit être fondée sur un débat démocratique et pluraliste, à chaque niveau de décision.
L’émancipation que nous visons est indissociablement collective et individuelle. Comme Marx et Engels dans «le manifeste communiste», nous souhaitons bâtir une «association où le libre épanouissement de chacun est la condition du libre épanouissement de tous». Le socialisme du XXI siècle verra se développer l’autonomie individuelle dans le cadre de rapports de solidarité."
http://www.npa2009.org/content/nos-r%C3%A9ponses-%C3%A0-la-crise-texte-vot%C3%A9-par-le-1er-congr%C3%A8s-du-npa
Ayant aussi lu (oui je l'avoue pardon ) le livre de Besancenot et Bensaïd (R.I.P), tu as toute une partie qui s'appelle "Pour une démocratie autogestionnaire".
Après je ne te dis pas que leurs propositions sont en accord avec leurs idées, mais d'un point de vue "idéologique", tu peux pas dire que ce que défend le NPA correspond à l'idéologie soviétique
(le livre de Besancenot "Pour un socialisme du XXIe siècle", et franchement ce livre m'avait agréablement surpris quand je l'avais lu, allant beaucoup plus loin que la classique rhétorique qu'utilise Besancenot durant les 5 min d'interview radio/tv qu'on lui donne, je le conseille à lire)
Oui voilà, on met en place une société fortement étatiste et dirigiste, où tout sera planifié par l'Etat et où les initiatives libres n'auront plus leur place, mais promis ça n'est qu'une phase de transition vers la société auto-gérée sans Etat
Puis bon la liberté c'est pas si important que ça après tout
"Dans la même logique, nous nous battons pour une sécurité sociale autogérée permettant aux assurés sociaux de prendre collectivement les décisions concernant leur salaire socialisé. C’est le sens de notre combat pour une sécurité sociale institution du salariat, dont les caisses seraient gérées uniquement par les représentants des assurés élus , sans présence des patrons ni intervention de l’Etat, et où toutes les grandes décisions à chaque niveau seraient directement soumises aux assurés sociaux. "
=> mais pourquoi ils le font pas tout de suite
On passera sur la planification économique
Vous avez oublié Michel Sardouille :
http://www.youtube.com/watch?v=ax8K4WQ09Nw
=> mais pourquoi ils le font pas tout de suite
Je comprends pas ta remarque..
Ca ils proposent de le faire tout de suite