Bienvenue sur Pays Virtuel

1. Pays Virtuel, est un jeu Role Play imaginé et créé pour la première fois par Anonimous_Boy en 2005 sur le forum Grand Theft Auto : San Andreas de jeuxvideo.com. Après avoir évolué et connu de nombreuses variantes (PV Guerre Froide, PV Congrès de Vienne, PV The 19th Century, et j’en passe), Pays Virtuel revient aujourd’hui pour sa treizième édition.

1. Gérer un pays, son armée, ses politiques intérieure et extérieure, ses relations internationales, partir en guerre, vaincre ou céder face à l´ennemi. Faire prospérer son pays ou bien le plonger dans le chaos le plus total, mettre en place une démocratie ou au contraire imposer à un peuple la violence et la dictature.

Sur Pays Virtuel tout est possible, dans la mesure du réel, et c’est à vous qu’il incombe de changer la face du monde.

1. Quelques rappels sur les règles de Pays Virtuel :

-Restez réalistes autant que possible, a fortiori en ce qui concerne l’armement, les actions militaires et le budget de l’Etat. Le réalisme est une notion relative et des écarts sont tolérés afin de garantir un gameplay confortable, il est cela dit défendu de trop s’éloigner de la réalité afin de garder un jeu cohérent (un pays du tiers-monde sans budget s’équipant d’un porte-avion hors de prix, un pays dépourvu de technologies se lançant dans un programme nucléaire ou bien l’invasion de la France avec 200 000 soldats luxembourgeois en une seule nuit sont des exemples à proscrire).

-Pays Virtuel est un jeu au tour par tour, ce qui signifie que quand vous interagissez avec un autre joueur (lors d’un conflit ou d’un échange commercial par exemple) vous devez attendre sa réponse avant de poster à nouveau.

-L’essence même de ce jeu est l’écriture. Il est donc à ce titre vivement conseillé de prendre le temps de développer ses actions. Envahir un pays en une poignée de lignes est donc interdit, y compris lorsqu’il s’agit d’un pays non-joué.

-Les nouveaux joueurs ne peuvent pas prendre de puissances nucléaires (Etats-Unis, Russie, Chine, Inde, Pakistan, France, Royaume-Uni, Corée du Nord, Israël et Iran). Ces armes extrêmement puissantes sont capables de bouleverser le cours du jeu dans son intégralité, leur manipulation revient donc aux joueurs plus expérimentés qui sauront mesurer leurs conditions d’utilisation.

-Il en est de même avec les pays faisant parti des dix premières puissances économiques qui ne possèdent pas l’arme nucléaire (Japon, Allemagne, Italie, Brésil), dont la mauvaise utilisation pourrait plonger le jeu dans une crise économique dont il serait trop difficile d’en sortir.

-Un nouveau joueur sera déclaré « apte » à prendre possession d’une puissance nucléaire ou d’une puissance économique lorsque la modération aura jugé la qualité de son jeu suffisamment satisfaisante.

- Pas d’extraterrestres, de rayons ioniques, ou de vaisseaux spatiaux style Star Wars. Le nucléaire est également à éviter, quoiqu’il ne soit pas interdit. Son cadre d’utilisation est limité aux situations exceptionnelles (invasion, riposte à une autre attaque nucléaire,…).

-Lorsqu’on abandonne un pays, on ne choisit pas qui le reprendra ensuite. Le premier qui demande à le prendre sera le nouveau propriétaire. Le pays sera repris en l’état, c'est-à-dire comme le prédécesseur l’aura laissé.

- Si vous prenez un pays qui n’a pas encore été joué, vous commencerez à la date où vous l’avez pris (le 1er Novembre si nous sommes le 1er Novembre). Les conséquences de la crise économique actuelle ont été minimisées dans le jeu afin de laisser plus de liberté à ses joueurs et de faciliter leur évolution. Quelques mesures de redressement économique initiales devraient donc mettre fin à cette crise.

- S'il n'y a pas de règle précise au niveau du défilement du temps, chacun se doit cependant de respecter un minimum de lenteur et ne pas passer en une page un siècle d'existence (en général, on impose un grand minimum d’une semaine pour une année). Une période minimale de deux semaines est aussi requise avant de pouvoir changer de pays, afin d’éviter les changements abusifs à répétition.

- Toute loi passée à partir de PV8 est valide sur PV13. Il en est de même pour les réserves de ressources (pétroles, gaz, minerais, etc) confirmées, à savoir :
- 660 milliards de barils de pétrole à la Russie, et 47,5 trillons de m3 de gaz (Arctique)
- 47 milliards de barils de pétrole au Danemark et 0,25 trillons de m3 de gaz (Arctique)
- 197,6 milliards de barils de pétrole au Canada et 1,75 trillons de m3 de gaz (Arctique)
- 6 milliards de barils de pétrole aux USA et 0,25 trillons de m3 de gaz (Arctique)
- 49,4 milliards de barils de pétrole à la Suède, et 0,25 trillons de m3 de gaz (Arctique)
- 250 milliards de barils de pétrole à Israël (offshore)
- 250 milliards de barils de pétrole de schiste et 20 trillons de m3 de gaz en Turquie (on shore)
- 116 milliards de barils de pétrole de schiste à l’Australie (offshore)
- 20 milliards de barils de pétrole et 650 milliards de m3 de gaz à Cuba (on&offshore)
- 110 milliards de barils de pétrole et 2'850 milliards de m3 de gaz en Somalie (on&offshore)

1. Cette liste de règles élémentaires n’est pas exhaustive. Les anciens, qui connaissent les règles plus en profondeur, auront à cœur de les rappeler si nécessaire et d’aider les nouveaux joueurs en leur prodiguant des conseils et en leur faisant profiter de leur expérience.

Bref en deux mots: restez réaliste et écoutez les anciens !

Si vous avez des difficultés, des incompréhensions, demander conseil aux anciens ne coûte rien, l´un d´eux se fera sans aucun doute un plaisir d´aider un petit nouveau. Tenez compte des conseils, puis lancez-vous, c´est ainsi qu'on apprend le mieux.

N'oubliez pas que Pays Virtuel est et reste un jeu, virtuel comme l'indique son nom. Votre vie ne dépend pas de ce topic, et il existe au dehors une vie réelle qui importe plus qu'un jeu virtuel, alors évitez les disputes et les prises de tête inutile.

Bon jeu à tous !

Je prends les USA, pour ma part.

Je prends le Royaume Uni !!

United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/a/ae/Flag_of_the_United_Kingdom.svg?uselang=fr

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/9/98/Royal_Coat_of_Arms_of_the_United_Kingdom.svg?uselang=fr

http://www.youtube.com/watch?v=tN9EC3Gy6Nk

En ce début septembre 2014, le Royaume-Uni est dans une période d'incertitude malgré une économie en pleine reprise en comparaison des autres pays membres de l'UE. D'un côté le référendum portant sur l'indépendance de l’Écosse approche à grand pas, il sera organisé le 18 septembre et les sondages d'opinion montrent tous une progression constante du oui à l'indépendance rendant très probable la victoire de celui ci, un scénario que le gouvernement de Londres menés par le premier ministre conservateur David Cameron souhaite à tout pris évité. Ensuite au niveau international l'Angleterre se trouve confronté à la menace de l’État Islamique, en effet de très nombreux jeunes britanniques se sont enrôlés au sein de cette organisation terroriste faisant planer sur le pays une sérieuse menace d'attentats. Le récent assassinat de journalistes américains, décapités par un membre de l'EI très probablement d'origine britannique à créer un véritable choc en Grande Bretagne forçant le premier ministre à réagir, l'option de frappes contre les positions de l’État Islamique aux côtés des américains n'est pas exclu a prévenu le gouvernement de Londres. Enfin la méfiance du peuple britannique contre les institutions européennes ne cesse de croître, en conséquence de cause le premier ministre à promis la tenue d'un référendum portant sur l'avenir du Royaume au sein de la communauté européenne en 2017 si celui ci est réélu lors des prochaines législatives qui devraient normalement se tenir en 2015, à moins qu'une dissolution de la chambre des communes ne soit prononcée avant.

Sur le plan économique toutefois force est de constater que l'horizon économique du pays s'améliore de jour en jour, selon les prévisions la croissance devrait atteindre 3,2% au cours de l'année 2014, celle ci a au cours du seul deuxième trimestre 2014 atteint 0,8% du PIB. Cette reprise économique à entraînée une baisse massive du chômage qui touche environ 6% de la population active aujourd'hui. Toutefois la pauvreté touche de nombreux britanniques, le PIB par habitant reste ainsi inférieur à celui d'avant-crise. De plus le déficit public atteint encore environ 5% , forçant le Gouvernement de sa majesté à poursuivre sa politique d'austérité entamée en 2010 lors de son arrivée au pouvoir.

Bonjour,

J'aimerais jouer le Vatican !

Bonjour !

C'est tout à fait possible, oui. Bienvenu à vous

J'en profite pour poster les pays pré-réservés :

Akar_Sarren => France
Jhe19 => Royaume-Uni
PonchMan => Australie
Silvio => Italie
Skedar => Russie
Skorm => Autriche / Hongrie
Yuto-Junpei => USA

Autriche.

¤¤¤ United States of America ¤¤¤

¤ Affaires intérieures - Économie ¤

[1] http://media.oregonlive.com/today/photo/-81e340fb31db54be.jpg

Après ces élections législatives de début novembre, remportées par le Parti Démocrate qui possède désormais 224 des 435 sièges de la Chambre des Représentants ; le président Barack Obama [1] a annoncé la mise en place du second plan de relance de l’économie américaine, bien que le pays avait retrouvé – selon la Réserve fédérale et le département du travail – son taux de chômage d’avant-crise, c’est-à-dire aux alentours de 6,1 %. En effet, et ce malgré cette même reprise économique, les inégalités entre les américains ne cessent de se creuser – 16 % des citoyens vivant sous le seuil de pauvreté – et si le chômage recule, la création d’emploi fait malheureusement de même, alors que l’on estime à sept millions le nombre de postes qui doivent être impérativement créés pour rattraper le rythme de la croissance démographique aux Etats-Unis.

Bien que l’Administration Obama se soit engagée dans une politique de réduction des dépenses, et ce tout en évitant de baisser les impôts puisque les classes moyennes devraient voir les leurs être également diminués, ce plan de relance a été qualifié par le président, depuis la salle de conférence de la Maison Blanche, de « nécessaire pour soutenir la reprise économique du pays », et devrait permettre de créer plusieurs centaines de milliers d’emplois sur le long terme, en plus des cent milliers qui doivent être mensuellement créés afin que le taux de chômage n’augmente à nouveau pas, à cause de cette même croissance démographique importante dans le pays. Cependant, cette seconde nécessité semble être remplie par le secteur privé à lui seul, puisque pour le mois d’août, deux cent quatre mille emplois avaient été créés par ce même secteur, selon l’économiste de Moody’s Analytics, Marc Zandi, sur CNBC.

Ainsi, ce nouveau plan de relance vise principalement les secteurs de la construction et du transport, dont ce premier n’était à l’origine que de six mille emplois en mai dernier, alors qu’il est, dans tous les pays avancés, un secteur majeur pour l’économie. Le HUD – ou Departement of Housing and Urban Development – se verra à lui seul allouer la somme de cinquante milliards de dollars – soit plus de douze fois plus qu’en 2009 – afin d’assurer la création de plusieurs centaines de milliers de logements, mais aussi de nouvelles infrastructures publiques – ou en rénover –, etc. Ces nouveaux quartiers créés, dans les grandes comme petites villes étasuniennes, seront conçues dans l’optique des éco-quartiers, là où ville et nature se mêlent dans une optique de développement durable du pays, dont les américains prennent lentement conscience de l’importance, probablement à cause de leur mode de vie.

Ces nouveaux éco-quartiers seront ainsi pensés autour de « zones vertes », tout en s’insérant dans l’urbanisme des villes, et vont également être doté de panneaux photovoltaïques thermiques pour permettre la production d’électricité, dans une optique de rendre le plus autonome possible les bâtiments ; ainsi que de chaleur qui permettra là encore de rendre autonome les constructions. Egalement, de petites centrales internes de biomasse seront installées dans chacune des bâtisses afin de brûler tous les déchets pouvant l’être et créer de l’énergie, toujours dans la même optique décrite précédemment. Egalement, nouvelle norme imposée par Washington D.C pour ces éco-quartiers, l’isolation sera exclusivement faite en polymère de Graphane, réputé pour ses grandes propriétés d’isolant.

Autre installation, mêlant à la fois l’écologisme, l’urbanisme et le développement durable, les trottoirs seront couverts par des « arbres-lampadaires », capables d’éclairer les rues pendant la nuit sans consommer un seul watt. En effet, découvert par des chercheurs de l’Université de Cambridge, au Royaume-Uni ; ce principe consiste à introduire dans le génome d’une cellule de l’arbre un gène issu de la luciole et de bactéries sous-marines capables de restituer la lumière absorbée. Ainsi, ces mêmes arbres ne consommeraient donc qu’environ 0,02 % de la lumière absorbée par photosynthèse pour en émettre suffisamment afin d’éclairer la nuit les rues américaines. Cette prouesse technologique ne sera cependant point seulement mise en place dans les éco-quartiers mais aussi, sur le long terme, dans les rues des villes américaines afin de mettre fin à la présence des lampadaires ; et ainsi donc permettre aux conseils municipaux de grandes économiques d’énergie, sachant qu’environ 8 % de l’électricité consommée est destinée à l’éclairage.

Également, niveau transport, ceux en communs vont largement être favorisés en ville. En effet, plusieurs dizaines de milliards de dollars sont annuellement gaspillés aux Etats-Unis dans la consommation d’essence, notamment à cause des bouchons répétitifs dans les grandes métropoles américaines mais également à l’étendue de certaines villes, à l’instar de Phoenix ou de centaines d’autres villes moyennes dans le pays, où des pavillons individuels sont construits sur ces kilomètres et augmentent de fait le temps d’accès à certains endroits des villes. Ainsi, des bus électriques – fonctionnant grâce à des lignes auxquelles ils se raccorderont – vont progressivement se multiplier dans les villes, à la fois pour remplacer les « anciens » autocars pour également se développer, à bas prix, afin qu’ils soient favorisés par les citoyens plutôt que leur voiture.

Le rail, transport du passé, du présent et d’avenir, va également être favorisé avec la construction de nouvelles lignes à grande vitesse entre les grandes villes du pays, que ce soit à l’est comme à l’ouest, mais également la construction de nombreux métros dans ces mêmes grandes villes – et leurs banlieues – afin de diminuer l’utilisation des voitures aux Etats-Unis ; et enfin des tramways. Une partie de l’argent allouée à la partie « transport » sera également employée pour poursuivre les rénovations du parc ferroviaire américain, ainsi que des véhicules – dans les lignes à grandes vitesses comme dans les métros. L’intérêt du train, outre sa vitesse, est de permettre une certaine concurrence avec les avions, dont certaines compagnies aériennes n’hésitent pas à faire flamber les prix pour des destinations non-desservies par le parc ferroviaire ; et donc, sur le court terme, de faire drastiquement baisser les prix.

¤ Affaires intérieures - Santé ¤

Alors que l’Obamacare se heurtait au blocage des républicains à la Chambre des Représentants depuis plusieurs mois déjà, qui n’hésitèrent pas l’année passée à envoyer les Etats-Unis dans le « mur budgétaire », à savoir la mise en place de coupes automatique dans les dépenses, à hauteur de 85 milliards de dollars, liées à l’incapacité du Congrès à voter un budget ; le président Barack Obama a également profité de sa nouvelle majorité dans cette même chambre; afin de faire passer une nouvelle loi visant à réguler l’industrie pharmaceutique, ô combien tristement célèbre dans le pays pour ses abus jugés « inacceptables » par l’Administration Obama, réalisant des marges supérieures à celle de la finance.

Ainsi, la Maison Blanche a annoncé la mise en place d’une nouvelle autorité de régulation du marché pharmaceutique, la NOMT – National Office of Medical Prices –, indépendante de toute administration gouvernementale, qui a pour objectif de fixer des prix plancher et plafond sur les médicaments, dans l’optique de réaliser des économies d’envergures, tant pour l’Etat fédéral que pour le peuple. On estime à environ cinq mille sept-cent dollars la somme d’argent dépensé annuellement aux Etats-Unis par ménage, ce qui peut représenter près d’un tiers des revenus annuels de certaines familles, ces fameuses « 16 % » qui vivent en dessous du seuil de pauvreté dans le pays ; un prix deux à trois plus élevé que dans les pays européens, les citoyens américains payant de fait un prix bien trop élevé, par rapport à leur pouvoir d’achat, pour leur santé. De fait, ce sont près de trois cent milliards de dollars qui pourraient être très rapidement économisés par les ménages américains, une somme colossale d’argent qui pourrait être ensuite réinvestie à bon escient dans la consommation par exemple ; mais malheureusement aussi dans l’épargne. Pour l’Etat, les économies sont également d’envergue puisque l’on estime que près de soixante-quinze milliards de dollars devraient ainsi être économisés chaque année, sur le budget du Medicare, uniquement liés à la baisse drastique des prix dans le pays.

Je réserve la Russie.

Je souhaite prendre le Vietnam mais j'ai peur d'être à la rue. Si je prends un pays de cette envergure et me fait discret, du moins au début, ça va ?

Ce "type" de pays est en effet conseillé à jouer lors de ses débuts. Bienvenu à vous ! N'hésitez pas à demander des conseils par MP aux anciens joueurs, ils seront certainement ravi de vous aider à progresser dans le jeu.

United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland

La tenue du référendum sur l'avenir de l’Écosse aura tenue en haleine de long mois le pays. Toutefois en cette soirée du 18 septembre 2014 les premières estimations des chaînes de télévision donnent la victoire du « non » à l'indépendance de l’Écosse en tête avec environ 55% des voix. Ces premiers résultats provoquent un profond soulagement à Londres, la perte de l’Écosse aurait en effet constituée un fiasco pour le Gouvernement en place. En effet cela aurait notamment entraîné la perte des précieuses ressources pétrolières écossaises, ainsi que l'obligation pour l'armée de sa majesté de quitter ses bases, notamment de sous marins nucléaires, sur le territoire écossais. Enfin l'indépendance de l’Écosse aurait pu ouvrir la voie à des revendications similaires au Pays de Galle ou encore en Irlande du Nord. Le premier ministre David Cameron à salué la clairvoyance du peuple écossais dans une brève allocution. Le lendemain la commission électorale annonce les résultats officiels, conforme aux estimations, 45% pour le « oui », 55% pour le « non », une victoire donc assez nette pour le camp des unionistes qui peuvent de plus se prévaloir d'une grande légitimité, plus de 80% des écossais s'étant rendus aux urnes. Toutefois le maintien de l’Écosse dans l'Union ne signifie pas pour autant le retour à la situation qui prévalait avant la tenue du scrutin. Le premier ministre indépendantiste écossais, Alex Salmond, fort du soutien de tout de même 45% de son peuple est maintenant décidé à obtenir de Londres un nouveau transfert de pouvoirs ( il réclame notamment que son gouvernement local puisse conserver jusqu'à 70% des recettes fiscales écossaises ), c'est un nouveau bras de fer qui s'annonce donc entre Londres et Édimbourg. Pendant ce temps des événements qui secoueraient bientôt l'ensemble du Royaume-Uni et dans une moindre mesure l'ensemble de la planète étaient en préparation, à Londres 7 jeunes britanniques, en contact avec l'état islamique en Irak et au Levant, et ayant réussi à revenir en Grande Bretagne après leur séjour en Syrie et en Irak aux côtés des djihadistes, et cela malgré les mesures prises par le gouvernement pour lutter contre ce phénomène, se préparent à agir, le 2 octobre 2014 c'est dans le métro de Londres, déjà touché par des attentats en 2005, que des bombes exploseraient...

Commonwealth of Australia

Le Premier Ministre Tony Abbott a tenu a préciser les différentes mesures qui allaient être prises pour le futur du pays alors qu'en ce début de mois de septembre 2014 certains s'inquiètent de la santé économique de l'Australie. Tout en rappelant que l'économie nationale connait toujours la croissance, et ce depuis près de 22 ans en continue, il a tenu à mettre en avant les atouts économiques évidents du Commonwealth d'Australie qui possède des ressources naturelles énormes et pour beaucoup inexploitées.
En premier lieu, il faut rappeler que près de 116 milliards de barils de pétrole de schiste offshore ont été découverts et leur exploitation permettra à terme d'atteindre l'indépendance énergétique du pays diminuant de fait les importations de pétrole tout en permettant l'augmentation des exportations mais aussi et surtout le développement de l'industrie pétrochimique dans le pays.
De plus, il faut mettre en avant les ressources considérables en gaz, or, charbon, uranium, diamants et autres métaux et minerais rares dont l'exploitation représente environ 20% du PIB australien.

Ainsi, si l'exploitation des ressources de schiste du pays est la première étape du plan de relance de l'économie nationale, la seconde étape représente un changement idéologique important pour le Gouvernement conservateur. Alors qu'en début de mandat le Premier Ministre avait mis complètement de côté tous les efforts dans le sens de l'environnement, cette question est récemment revenue sur le devant de la scène. N'oublions pas que l'Australie est le pays qui émet le plus de gaz à effet de serre par habitant et ce bien triste score n'est pas une raison de fierté. Afin de remédier à cela, et conscient des possibilités économiques que représentent les industries de nouvelles technologies en terme d'environnement, le Gouvernement a décidé de créer dans la ville d'Alice Springs une sorte de Silicon Valley à l'australienne mais spécialisée dans les technologies de pointe dans le domaine de l'environnement comme par exemple les entreprises de panneaux solaires, d'éoliennes etc... Cette zone sera créée à l'aide de réductions fiscales et de divers aides notamment encourageant l'implantation d'entreprises innovantes. "Si la terre a longtemps été la base de notre croissance, l'innovation le sera prochainement" a déclaré Warren Truss, Ministre des Infrastructures et du Développement Régional et Vice-premier Ministre du pays.
Afin d'atteindre l'objectif que s'est fixé le Gouvernement de réduire d'ici à 10 ans les émissions nationales de gaz à effet de serre d'au moins 20%, une partie des centrales thermiques sera remplacée par de toutes nouvelles centrales nucléaires. Le chiffre avancé par les autorités est que le nucléaire fournira près de 25% de l'électricité du pays à l'horizon 2018. De même, l'objectif fixé pour la part des énergies renouvelables est de 20% à l'horizon 2018 également.

Commande passée à la firme française AREVA
L'Etat Australien demande à Areva de s'occuper de la construction de 2 EPR sur le sol australien dans les régions de Brisbane et de Melbourne.

Message à la République Française
Cher ami français, l'Australie en appel à votre savoir-faire et à vos connaissances reconnues en terme de gestion d'un parc nucléaire afin de former une Autorité de Sûreté Nucléaire Australienne dans le but de gérer notre futur parc de réacteurs nationaux.

Republique Socialiste du Viet-Nam

Le dernier congrès du parti communiste vietnamien a été riche en enseignements. Visiblement, les membres du parti ont décidé de lancer une nouvelle vague de mesures, un doi mo'i version 2.0 pour permettre au pays de franchir un cap et de s'établir comme la puissance majeure de l'Asie du Sud Est et un acteur important dans le monde.
Fort de près de 100 millions d'habitants, pour la plupart jeunes, le Vietnam entend bien obtenir la place qui devrait être la sienne sur la scène internationale.

Le secrétaire général du Parti Communiste, Nguyễn Phú Trọng, a annoncé qu'aucune réforme de fond sur la liberté d'expression et tout ces droits de l'hommes - si chers aux occidentaux - n'était pas prévue mais que tout sera fait pour améliorer les condition de vie des compatriotes, surtout les plus pauvres.

Une méthode pragamatique sera faite, limitant les importations à son minimum et maximisant les exportations. Le deficit de la balance commerciale est estimé à 12 Milliars de Dollar, qu'il faudrait combler.
La croissance devrait être maintenue autour des 6%, tout résultat inférieur à 5% serait mauvais.

Si la porte n'est pas fermée aux capitaux étrangers, l'Etat compte bien investir et garder le contrôle de la situation.

Le plus gros défi sera, visiblement, de pouvoir instaurer un salaire minimum, surement faible, mais nécessaire pour instaurer un minimum dans le seuil de qualité de vie.

Commonwealth of Australie

Message à l'attention de la République Socialiste du Viet-Nam
Bonjour à vous. L'Australie souhaiterait discuter avec vous de la possibilité d'intensifier les échanges entre nos nations, que cela soit en termes d'importations comme d'exportations. De plus, nous aimerions vous proposer, compte tenu du nombre important de ressources pétrolières, gazières et minières non exploitées dans votre pays, l'implantation du fleuron australien BHP Billiton et de sa filiale NewCo qui pourront créer une filière pour votre pays dont une part importante des parts reviendrons à votre Etat. Les investissements de ces entreprises très spécialisées dans ce domaine permettront de donner une élan important à votre économie et de moderniser également certaines infrastructures d'exploitations déjà présentes. Soyez assuré que nos intentions sont amicales et que notre but avec cette proposition est de vous aider dans votre développement tout en créant des relations amicales entre nos nations.

Cordialement.

Je prends l'Indonésie

Chine réservée.

Bonjour, je réserve le Japon. J'ai déjà joué à Pays Virtuel (7) avec une puissance nucléaire.

Je réserve l'Allemagne.

République Socialiste du Viet-Nam

A l'attention du Commonwealth d'Australie.

Nous avons reçu votre proposition qui sera examinée en premier lieu par les ministres de l'Economie et du Commerce Exterieur.
La procédure prendra peut être un peu de temps, vous comprendrez, nous aimons être sur de nos décisions et avons une approche pragmatique de la question.

Nous aimerions quelques éléments de détail pour savoir si nous accepterions votre filiale sur notre territoire.

Nous aimerions connaitre

- La somme que vous seriez prêt à investir, et sur quelle durée ?
- Combien de techniciens australiens travailleraient sur le territoire Vietnamien et combien d'ouvriers vietnamiens embaucheriez vous ?
- Quels seraient les revenus que vous estimez de cette opération, et disons nous le sans faux, quelle part, en valeur et en volume, pourrait aller en Australie.

Aussi, nous aimerions savoir si une formation technique sera nécéssaire. Nous pourrons envoyer nos meilleurs ingénieurs faire une formation en Australie. D'ailleurs, nous aimerions savoir s'il serait possible de renforcer les échanges universitaires entre nous deux pays. Les universités vietnamiennes sont, il faut se l'avouer, quelque peu en retard.

Si votre projet nous parrait solide, nous pourrions vous accorder ce marché.

Affaires intérieures - Santé.

Le ministre de la Santé a déclaré qu'un projet de réforme des hopitaux était en place, et qu'un système de "crédit au soin" pourrait être mit en place; Les infrastructures sanitaires au Vietnam ne sont pas si mauvaises, mais manquent d'ampleur, et comme dans tous les domaines, la corruption est y endémique. Le gouvernement aimerait déjà faciliter l'accès pour tous aux soins, avant de réformer en profondeur le système. L'idéal serait un système de santé aussi performant qu'en Thailande d'ici 5 ans.

United Kingdom of Great Britain and Northern Ireland

En ce matin du 2 octobre 2014, c'est donc 7 attentats suicide coordonnés qui touchèrent la capitale britannique. Entre 8h31 et 8h40, 4 kamikazes « explosèrent » dans 4 rames de métro différentes en pleine heure de pointe, un autre lança une attaque au gaz sarin dans une autre rame. Les deux derniers commirent deux attaques à la voiture piégée au cœur de Londres, à Piccadily Circus. En moins de 10 minutes les pires attaques terroristes de l'histoire britannique venaient d'être commises. Très vite les secours se mettent en place, les rues de Londres se remplissent de véhicules d'urgence, la police boucle les lieux. La principale autorité du pays, le premier ministre est très vite alerté de la situation, celui ci en déplacement à Édimbourg afin de rencontrer en tête à tête le premier ministre écossais suite au référendum interrompt immédiatement sa visite et remonte dans son avion, direction Londres. Depuis celui ci il ordonne une réunion d'urgence avec ses principaux ministre au 10 Downing Street et ordonne le déploiement de l'armée britannique dans la capitale, aux principaux carrefours ainsi que devant les principaux lieux de pouvoir, le 10 Domwning Street, les ministères, le Palais royal, le Parlement ainsi que les ambassades des pays occidentaux. Sur place les secours s'organisent tant bien que mal malgré le chaos qui s’emparent de la capitale anglaise. A 11H le chef de la police londonienne fait part d'un premier bilan très provisoire mais déjà très lourd  : 70 mort et au moins 300 blessés. Très vite les enquêteurs de Scotland Yard, épaulé par les services de renseignement de Sa Majesté, le MI6 et le MI5, lancent une enquête de grande envergure afin de remonter la piste des terroristes. A cette même heure le premier ministre enfin de retour dans la capitale réunit le comité COBRA ( Cabinet Office Breaking Room ) sous sa présidence, un comité de gestion de crise qui se compose des ministres de la Défense, de l'Intérieur, des Affaires étrangères ainsi que de chef d'état major des armées, les responsables des services de renseignements et le directeur de Scotland Yard, le Vice premier ministre Nick Clegg et le maire de Londres sont également présents. Un point complet sur la situation est effectué, la décision de placer les Forces Armées de Sa Majesté en état d'alerte maximum est prise et les premières pistes concernant les auteurs des attentats sont évoquées, en tête de ces dernières figure bien évidemment la piste de l’État islamique...