Bonjour à tous.

J'avais déja fait un topic il y a longtemps, mais soit je sais pas chercher, soit il a été supprimé.

J'ai écrit une superbe chanson sur l'air de "La maladie d'amour" de Michel Sardou, avec des paroles en hommage à la diahrée, qui nous a tous touchés un jour, qui est à la fois la maladie la plus chiante mais aussi la plus agréable.

Mais trève de bavardage, je vous laisse l'écouter.

http://www.dailymotion.com/video/xhnfc2_la-courante-insolente_music

Et je vous laisse les paroles pour tous ceux qui voudraient chanter en coeur avec moi.

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Je cours, je cours,
Je n’en peux plus au s’cours
Je bouscule tous les gens
Tout en lâchant des petits vents

La fiente, la fiente,
Va dévaler la pente
Il faut que j’mange du riz
Sinon je vais salir mon lit

Fini pour moi les pommes,
J’ai trop mal faut que j’ponde,
Je vais encore souffrir
Juste en voulant faire pipi.

Ça fait 2 heures que je rame,
J’fais attendre tout le monde,
Mais désolé mon vieux,
Depuis tout à l’heure, je chie.

Je bourre, je bourre,
Va pisser côté cour,
J’en ai pour un bout d’temps,
Je lâche des morceaux géants,

Ma fente, ma fente,
Va subir la courante,
Excuse-moi si je crie,
C’est mon anus qui m’a trahi,

J’regrette les litres de bière
Qui m’ont donnés la chiasse,
Je n’m’approche plus des bancs,
Qui me défoncent les fessiers,

J’en peux vraiment plus,
J’arrête pas d’tirer la chasse,
Je me défonce le cul
Avec cette putain de chiasse,

Strasbourg, Strasbourg,
Tes saucisses me débourrent,
Je rentre dans les rangs,
De ceux qui peuvent chier en marchant,

Quelle chiante, quelle chiante,
Cette diahrée croustillante,
Je ne dors pas cette nuit,
Je ne veux pas salir mon lit.

Au s’cours, au s’cours,
Ça devient bien trop lourd,
Mon anus est béant,
Fini les apéros géants,

Elles sentent, elles sentent,
Mes culottes verdoyantes,
Leur teint d’origine gris,
A vite viré au vert kaki.

Un grand tambour,
Résonne d’un bruit sourd,
Mais très vite, les gens,
Réalisent que ce sont mes vents,

Je chante, je chante,
De ma voix aboyante,
Pour cacher de mes cris,
Le bruit de mon arrière-pays.

Voilà, merci à vous.