- Voilà le genre.
A la fin d'un cours je reste après tout le monde, elle voulait me parler de mon comportement en classe, le blabla habituel genre "Tu gâche ton potentiel gnagnagna".
On était debout à côté de la fenêtre, je regardais les voitures passer dehors.
Et puis petit à petit elle a commencé à balbutier et à rougir, elle m'a dit "On en reparlera, va rejoindre tes camarades".
Seulement j'arrivais à peine à la porte que je stoppe net. Elle venait de lâcher un gigantesque pet résonant. Le pet qui annonce la couleur. La couleur marron.
Là je me suis dit "Est-ce que je la joue fair-play, je me casse et on oublie, ou bien est-ce que je me retourne pour l'enfoncer?". Allez, on va la jouer bon-vivant.
Mais là, un deuxième pet, deux fois plus intense que le dernier. Je me retourne. Elle était debout, figée comme une pancarte, rouge comme une tomate.
"Oui? Autre chose? J'ai du travail à terminer, tu peux sortir maintenant"
Je l'ai regardé genre "Mouai. Je vais être sympa pour cette fois. Mais pousse pas le bouchon quand même".
Je suis resté la regarder quelques secondes. Elle semblait paralysée, et me fixait avec de grands yeux affolés, muette. Et puis elle a poussé le bouchon.
J'ai d'abord vu l'urine lentement conquérir ses collants, tel Napoleon avec l'Europe. Elle tremblait. Le liquide a dégouliné jusqu'à ses chaussures à talon, pour ensuite former une petite flaque au sol. Elle commençait à sangloter nerveusement.
J'en croyais déjà pas mes yeux. Mais le meilleur était à venir.
Ça a continué avec des pets, toutes sortes de pets, fuyants, bruyants, sifflants, elle se penchait légèrement en avant ses jambes recroquevillées et ses deux mains sur son ventre. J'aurai pu tenir une baguette de chef d'orchestre et agiter mes bras pour donner le tempo. Et puis il y a eu le pet atomique, et le grand final.
Un chiasse torrentielle. Une explosion de caca verticale, accompagnée de son cri de soulagement "HHaaaaaannnnnnnnoooooohhhhouuuuuuuuu".
A demi-accroupie, ses bas souillés par la merde, elle était essoufflée comme une ânesse qui venait d'enfanter. Elle relevait doucement les yeux vers moi, le regard plein de d'espoir.
Et puis elle remarqué mon erection, et tout cet espoir c'est envolé. J'ai balancé mon bras en arrière et la porte de la salle s'est fermée dans un CLAC. Elle a baissé le regard.
Je savais pas ce qui allait se passer, mais je savais que ça allait se passer.
"Est-ce que tout va bien, madame?"
déjà vu désolé...
miam
dring dring
Ça aurait pu être une belle histoire sans le caca
Du grand art putain
déjà vu/20
Bordel de merde
fake mais
sweet
Mais wtf
maissssssssssssss
J'ai réfléchis très fort à ma vie, mes opportunités, mon moi intérieur, le karma.
Je me suis dit "C'est un test de la vie. Comporte toi en parfait gentleman, et la vie te le rendra"
Je l'ai consolé. J'ai fait le guet devant les toilettes pendant qu'elle se nettoyait. Je lui ai trouvé de de quoi passer la serpillère dans un débarras, et pendant qu'elle le faisait, j'ai même trimbalé sa culotte et ses collants souillés dans un sac plastique pour les jeter dans une poubelle de la rue d'en face. Puis je suis retourné dans la classe.
Elle avait lavé ses chaussures, et sa jupe qui n'avait été que partiellement touchée grace à la verticalité étonnante de sa chiasse. A moins de remarquer qu'elle ne portait plus de collant, il était donc difficile de découvrir le pot aux roses.
Elle m'a remercié, on a échangé deux ou trois banalités, et je me suis précipité au self pour manger. J'ai inventé une excuse bidon pour ne parler à personne de cette histoire.
L'après-midi, on avait une deuxième heure d'anglais. J'étais assis tout devant juste en face de son bureau. J'étais le seul élève dans la classe à savoir qu'elle ne portait pas de culotte.
A la fin du cours, tout le monde s'est précipité dehors, moi je suis resté assis, prenant un temps inconsidéré pour ranger les crayons dans ma trousse.
Et puis tout a coup elle s'est éclaircie la gorge, comme pour attirer mon attention. Elle ne me regardait pas, assise a son bureau, elle prenait des notes sur je-ne-sais-pas-quoi.
Doucement, elle a écarté les jambes sous le bureau. J'ai vu la lumière, et dans ma tête, ça a fait un peu comme ça: http://www.youtube.com/watch?v=vtLYJ4STuXY
Toujours sans faire attention a moi, elle passé une main sous la table, et s'est mise à caresser son miaou avec un stylo.
J'ai accepté l'invitation, sortit mon chibre et j'ai doucement commencé à me caresser le gland.
Un silence de plomb régnait dans la pièce, et je me disais dans ma tête "fait moi ce cadeau, allez, fais moi ce cadeau...". J'étais au 5ème galop, j'astiquais comme jamais je n'avais astiqué.
Et elle m'a fait ce cadeau. Elle a passé le stylo dans sa bouche comme une sucette, et l'a enfoncé d'un coup dans son vagin, en lâchant un petit miaulement, l'air de rien. Et elle a continué.
3 minutes plus tard, J'ai juté sous ma table avec violence, les yeux rouges, avec la salive au bord des lèvres, en poussant un râle sourd.
Une fois la tempête passée, j'ai rangé mes affaires (y compris mon pénis), agrippé mon sac sur mon dos, et alors que je passais près de son bureau, elle m'a prit pas le bras, a glissé quelque chose dans ma poche et m'a lancé un regard profond, qui voulait dire "Ça c'était pour tout à l'heure. Maintenant nous somme quitte."
Au final, on a pas échangé un mot. Je suis sortit et suis resté en état de choc pendant des heures.
Une fois chez moi, je me suis souvenu, et j'ai fouillé ma poche.
J'ai ouvert de grands yeux et suis resté bouche bée.
Le stylo, encore humide.
Merci la vie.
Mais what
(Vive johnny cash BTW)