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Sujet : Diagnostic de la schizophrénie

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Donald_Tsang Donald_Tsang
MP
Niveau 5
27 août 2008 à 21:25:09

Dans le DSM-IV, ces critères sont :

* A) Symptômes caractéristiques :

Ces symptômes peuvent être présents de façon isolée ou associée, et une évolution de plus de six mois de la symptomatologie permet de proposer un diagnostic qui nécessite par ailleurs d'éliminer une organicité.

Les troubles cognitifs sont souvent les premiers symptômes qui apparaissent chez le schizophrène. On les appelle aussi symptômes annonciateurs. Ce sont ces troubles qui entraînent les difficultés de socialisation chez une personne atteinte.

* Troubles d’attention, de concentration, manque de tolérance à l’effort : Le schizophrène prend du temps à répondre aux questions, à réagir aux situations demandant une réponse rapide. Il n’est plus capable de suivre ses cours, de se concentrer sur un film.
* Troubles de mémoire : Le schizophrène oublie de faire des tâches de la vie quotidienne (faire ses devoirs, aller à ses rendez-vous), a de la difficulté à raconter ce qu’il lit, à se rappeler ce que les autres disent ou à suivre une conversation. Sa mémoire autobiographique est affectée : il oublie plusieurs moments de son histoire personnelle. Sa mémoire de travail fonctionne plus difficilement : il est incapable de faire plusieurs tâches en même temps en se souvenant où il est rendu dans chacune d’elles.
* Troubles des fonctions exécutives : Les fonctions exécutives sont essentielles à tout comportement dirigé, autonome et adapté, comme préparer un repas. Le schizophrène a de la difficulté à conceptualiser les gestes nécessaires à la réalisation d’une tâche, à anticiper les conséquences ; il manque de planification, d’organisation des séquences d’actions pour réaliser un but et manque également de flexibilité, de discernement, de vérification, d’autocritique.

Alors qu’ils se présentent en premier, ces symptômes annonciateurs persisteront plus longtemps que les symptômes aigus.

Les symptômes aigus (positifs) se manifestent habituellement au début de l’âge adulte, entre 17 et 23 ans chez les hommes et entre 21 et 27 ans chez les femmes. Ils sont dits « positifs » parce qu’il s’agit de manifestations qui s’ajoutent aux fonctions mentales normales. C’est leur présence qui est anormale.

* Hallucinations : ce sont des perturbations des perceptions le plus souvent auditives (le schizophrène entend une voix qui fait des commentaires ou profère des insultes, des menaces), mais parfois aussi visuelles, olfactives ou tactiles.
* Délires : ce sont des erreurs de jugement logique. Le schizophrène s’imagine que la personne qui le regarde dans l’autobus ou qui le croise dans la rue est là pour l’espionner ; il se sent surveillé, persécuté, en danger ou croit que la télévision lui envoie des messages ; il est convaincu d’avoir le pouvoir d’influencer les événements dans le monde, qu’il est contrôlé par une force ou qu’on peut lire dans ses pensées, etc.
* Langage incohérent : le schizophrène dit des phrases sans suite ou incompréhensibles et invente des mots.
* Agissements bizarres : le schizophrène ferme les stores de la maison par crainte d’être espionné ; il collectionne des bouteilles d’eau vides ; il se promène nu dans la rue, etc.

Les symptômes déficitaires (négatifs) s’observent par un manque ou une absence de comportements spontanés, attendus.

* Isolement, retrait social : le schizophrène perd plaisir à ses activités de loisirs. Il délaisse ses amis, se retire dans sa chambre, devient même irritable si on tente de l’approcher. Il se coupe peu à peu de la réalité.
* Alogie ou difficulté de conversation : le schizophrène ne trouve plus ses mots, donne des réponses brèves et évasives et ne réussit plus à communiquer ses idées ou ses émotions.
* Apathie, perte d’énergie : le schizophrène passe ses journées devant la télé sans vraiment être capable de suivre ce qui s’y passe, il néglige son hygiène ou son apparence personnelle et manque de persistance ou d’intérêt pour commencer ou achever des tâches routinières (études, travail, ménage). Cette attitude donne une impression d’insouciance, de négligence, de manque de volonté et de paresse.
* Diminution de l’expression d’émotions : le visage du schizophrène devient inexpressif, ses inflexions vocales diminuent (il parle toujours sur le même ton), ses mouvements sont moins spontanés, ses gestes, moins démonstratifs.

* B) Dysfonctions sociales ou d'occupation professionnelle :

Si pendant une durée significative depuis le commencement des troubles, l’un des domaines liés aux relations sociales comme l’activité professionnelle, les relations interpersonnelles ou l’hygiène, sont nettement réduites par rapport à la situation antérieure.

* C) Durée :

Les signes continus du trouble persistent pendant au moins six mois : cette période doit inclure au moins un mois de symptômes (ou moins en cas de traitement réussi) correspondant aux critères de type A.

On peut commencer à dénombrer, par exemple, cinq sous-types de schizophrénie :

* type catatonique (avec des mouvements rares ou déréglés) ;
* type hébéphrénique ou hébéphréno-catatonique (où le repli autistique prédomine) ;
* type paranoïde (où les hallucinations et/ou le délire plus ou moins mal structuré prédominent) ;
* type dysthymique (avec troubles majeurs de l'humeur) ;
* type héboïdophrénique (pseudo psychopathique).
:bave:

Exekiel Exekiel
MP
Niveau 9
27 août 2008 à 21:25:54

j'ai vu le pavé j'ai fais :

"non, non pas ce soir :hum: "

Cislatomique Cislatomique
MP
Niveau 8
27 août 2008 à 21:35:40

Il y a des trucs qui me ressemble dedans, comme :
" Le schizophrène s’imagine que la personne qui le regarde dans l’autobus ou qui le croise dans la rue est là pour l’espionner ; il se sent surveillé, persécuté, en danger ou croit que la télévision lui envoie des messages ; il est convaincu d’avoir le pouvoir d’influencer les événements dans le monde, qu’il est contrôlé par une force ou qu’on peut lire dans ses pensées, etc. "

Chaud :peur: :hap:

MisterJohnson MisterJohnson
MP
Niveau 10
27 août 2008 à 21:37:57

Message important et no fake : il a été prouvé SCIENTIFIQUEMENT qu'aller trop sur le PC rendait SKYZOPHRENE :(

Hong_Kong Hong_Kong
MP
Niveau 8
27 août 2008 à 21:39:05

Ah bon ? Source ?

Roi-Nanto Roi-Nanto
MP
Niveau 9
18 décembre 2008 à 15:08:21

Il semblerait que le cannabis pourrait déclencher des maladies psychiques graves en certains cas, Schizophrénie notamment, je me suis renseigné après avoir vécu un bad trip ou j'ai cru sombrer dans la folie pure et simple, j'ai lu des témoignages de gens devenus schizophrénie ou il semblerait que le cannabis ait déclenché cette maladie (non pas que je crois être devenu skyzo avec le bad trip mais ça me laisse interrogatif).

Selon une étude, il n’y aurait aucune différence sur le plan cérébral entre ceux qui ont régulièrement fumé de la marijuana au cours de leur adolescence et ceux qui n’en ont jamais fait usage. Une autre étude affirme plutôt que les personnes prédestinées "à la schizophrénie voient leurs symptômes précipités lorsqu'elles commencent à consommer pendant l'adolescence". La consommation intensive de dérivés concentrés, comme l'huile de haschisch, favorise, particulièrement à l'adolescence, l'apparition des troubles psychotiques

Drogues hallucinogènes :
Sont considérées comme telles les substances qui induisent régulièrement des phénomènes hallucinatoires, dès la consommation de faibles doses de la substance. Il s'agit des dérivés de la mescaline, de l'ecstasy, du LSD, de la psilocybine, et du PCP (phencyclidine ou poudre d'ange). Ces produits entraînent une dépersonnalisation s'accompagnant d'illusions sensorielles et d'hallucinations, comparable à un onirisme, le LSD étant réputé provoquer des synesthésies (télescopages de perceptions sensorielles selon différentes modalités - par exemple : un son déclenche des hallucinations colorées ; une perception tactile est associée à une hallucination visuelle). Les substances anticholinergiques à forte dose (belladone, antiparkinsoniens anticholinergiques du type Artane*, Akinéton* ou Lepticur*), peuvent entraîner des tableaux confuso-oniriques à forte charge en illusions ou hallucinations visuelles.

Drogues à potentiel hallucinogène
Ces substances ont un effet toxique global, s'accompagnant habituellement de troubles de la vigilance et d'un certain degré de confusion mentale, où peuvent apparaître des hallucinations. De nombreux toxiques peuvent être en cause : colles et solvants, éther, gaz volatiles, cannabis et ses dérivés, opiacés à fortes doses, cocaïne, amphétamines.

Thib2livron Thib2livron
MP
Niveau 7
18 décembre 2008 à 15:13:31

Bof... J'ai quelques une de ces caractèristiques, et je ne suis pas schizophréne...

Roi-Nanto Roi-Nanto
MP
Niveau 9
18 décembre 2008 à 15:15:45

moi je vous dis

Drogue ou Joint = schizophrénie :ok:

ramuh88 ramuh88
MP
Niveau 7
18 décembre 2008 à 16:04:33

il dit n'importe quoi l'auteur du topic,les symptomes ne sont pas forcement pour la schizophrenie,

moi j'ai l'une des symptomes,mais je souffre de toc et de phobie

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