... faut attendre mdr

...oui,mais je préfère attendre que de voir un truc trop nul fait a la va vite

Excellent.

(Mr Burns)

alala, depuis le temps que j'ai pas joué, chaque chapitre me rappelle une partie du jeu, c'est comme y rejouer une fois de plus, et qu'est-ce que ça me rappelle des bon souvenirs... le lance-roquettes, Ashley et les armures...

bénis soit kidmicro.

Désolé encore pour l'attente, pardon aux familles, tout ça… etc... J’ai un peu de mal à me souvenir de tous les passages du château, d’autant que trouver des trucs drôles à mettre partout n’est pas toujours évident.
Enfin, merci encore pour vos messages et en espérant que ça vous plaise toujours autant... Bref, on y retourne !

Chapitre clé à molette :

Après être revenu de ce léger détour qui permit à Léon de mettre la main sur un joli magnum Broken Butterfly qu'il convoitait depuis tellement longtemps qu'il l'avait même inscrit sur sa liste du père Noël… Notre héros dut cependant être obligé de faire de nouveau le grand détour suite au fait qu'il avait légèrement oublié une certaine blondasse là-bas !
- Espèce d'abruti, lui rétorqua vivement celle-ci, tes foutus flingues comptent tellement plus que moi ou quoi ?!
- Ben, c'est pas ma faute, c'est Jessica qui m'a un peu déconcentré, désolé !
- Laisse moi deviner, c'est le nom de cette arme que tu as trouvé grâce à moi ?
- Ben ouais, qui veux-tu que se soit d'autre ? Y a déja Steve le flingue, Bob le pompe (et pas l’éponge, hein ?!), Roger la mitraillette, Raoul le sniper et Robert le lance-mine...
- Heeeeeeuuu... Ouais, ok, si tu veux !... Mais pourquoi est ce qu'ils ont tous des prénoms masculins sauf le magnum ?
- Ben, parce que c'est une fille, quelle question !!
- J’veux même pas savoir pourquoi !...
Et ce fut après ce petit moment de désappointement que nos deux hurluberlus purent finalement reprendre leur chemin. Ils arrivèrent alors devant une étrange machine ressemblant à une petite plateforme avec deux grande roues, posée sur des rails surplombant une inquiétant fosse remplie de lave en fusion...
- Hé bé, s'étonna Léon, moi qui me demandait comment l'autre nain faisait pour s'occuper du chauffage de son château, maintenant j'ai la réponse !
- Ouais, ben, compte pas sur moi pour aller voir par là, cette chaleur suffocante n'est pas très bonne pour mon teint et je... Hééé, tu m'écoutes ?!
Ashley n'avait pas eu le temps de finir sa phrase que Léon avait déja emprunté la drôle de machine pour aller explorer le coin. Passé la porte, notre héros déboucha dans une grande salle entièrement baignée de lave, surmontant la chaleur suffocante (note de Léon : j’aurais du penser à l’huile solaire protection 5000 !) il suivi le chemin devant lui, ne prêtant pas trop attention aux espèces de statues de dragon dorées qui semblaient l’épier... A peine eut-il fait quelques pas de plus, qu'une des statues se mit alors à bouger après qu'un moine se soit posté aux commandes, crachant du feu (la statue, pas le moine !) en vue de faire du Léon grillé... Mais celui-ci, qui n'avait pas trop envie de cramer surtout à cause des brûlures, esquiva les flammes et attendit le bon moment pour coller une balle bien placée dans la tronche du moine qui arrêta alors la machine infernale pour cause de décès. Continuant ainsi, il arriva presque au bout du chemin jusqu'à ce qu'une troisième statue de dragon ne lui bloque le passage. Ne trouvant pas d'angle suffisant pour atteindre le moine aux commandes, Léon remarqua alors les chaines qui soutenaient la statue et plus particulièrement les deux gros maillons qui semblaient être des cibles idéales et qui, une fois détruits, laissèrent la statue tomber dans la lave (note de Léon : c'était le maillon faible ! XD) libérant finalement l'accès au fond de la pièce, là où se trouvait un coffre contenant ce qui semblait être le troisième et dernier morceau de fresque...
De retour de cet endroit "chaleureux", Léon fut étonné de ne pas retrouver Ashley là où il l'avait laissé, s'inquiétant légèrement de cette absence subite, il examina un petit passage juste à côté qui n'avait pas encore été visité, ce fut après avoir pété quelques vases pour se défouler qu'il aperçut alors ce qui ressemblait à un étrange chemin de fer.
- Des rails dans ce château ?! Hé bé ! Il se fait pas chier le nabot !... Je devrais sans doute les suivre pour voir, dommage qu'il n'y ai pas un genre de petit train pour les utiliser !
Marchant ainsi le long des rails pendant un bon moment, il finit par entendre un bruit étrange qui se rapprochait, accompagné d'une voix un peu trop familière... A peine eut-il le temps de réfléchir à quoi que se soit (et Dieu sait si ça n'arrive pas souvent) qu'il vit alors un wagon lui foncer dessus à toute vitesse, la greluche à bord.
-Yaaaahoooou !!! Hurlait Ashley.
- P’tain de… ?! Répondit Léon.
Léon esquiva alors in extremis le wagonnet avant de finir par rejoindre la greluche qui semblait bien s'amuser avec ce drôle de manège en attendant le retour de notre héro. Au bout du chemin de fer se trouvait un passage qui semblait ramener près de l'endroit où nos deux compagnons avaient rencontré le nain pour la première fois, là ils purent utiliser les trois morceaux trouvés auparavant pour compléter la fresque, ce qui abaissa alors le mur et leur libéra la voie vers la suite des aventures… C'est à dire vers un autre wagon sur un chemin de fer, pour la plus grande joie d'Ashley...
Ils arrivèrent alors dans un endroit richement décoré qui présenta plusieurs directions possibles, devant eux se tenait un grand corridor au bout duquel se tenait une porte fermée avec une grille, de curieuses statues représentant un roi et une reine tendant les mains se tenaient de chaque côté, leurs mains tendues comme pour recevoir quelque chose, ce que Ashley fit remarquer à Léon… Juste après que celui-ci se soit amusé à tirer sur d’autres statues des environs…
- T’as finis de tirer sur n’importe quoi comme ça ?! C’est agaçant à la longue !
- Ben quoi ?! C’est poas de ma faute, c’est un réflexe nerveux, dès que je vois un truc qui brille… Pan !
- Bon, passons… J'te parie 1000 pesetas qu'il faut trouver ce qui va dans les mains de ces statues pour ouvrir le passage.
- Mouais, trop facile ton pari, vu tout ce qu'on a traversé jusque là et surtout le fait que personne dans les environs ne semble savoir ce qu'est une clé normale, ce serait pas étonnant !
Ils revinrent donc en arrière pour emprunter l'un des deux autres passages qui s'offraient à eux. Ils arrivèrent alors dans une salle avec deux statues d'armure et quatre dalles étranges au sol.
- P'tain, fit Léon, j'suis sur qu'il faut actionner les dalles en même temps mais y a que deux statues, comment on va faire ?
- Beeeeeeeen, p'têt en réfléchissant un minimum ? Lui répondit la blondasse.
C'est alors qu'elle se positionna sur l'une des dalles après que Léon eut poussé chacune des statues sur les autres... Le problème était en partie réglé mais il restait une dalle inoccupée, se dit Léon après une bonne heure de réflexion, voyant que notre héros ne semblait toujours pas trouver de réponse, Ashley lui conseilla alors de se positionner sur la dernière dalle.
- Ouais je le savais, mentit Léon, je voulais juste savoir si tu allais trouver la réponse à l’énigme !
- C'est cela oui...
La porte suivante fut alors ouverte, donnant sur une curieuse salle dans laquelle les attendait ce petit nain pas très grand et un peu minsucule de Salazar...
- Jeu vou zatandé, mé chair, jeu panse keu vou zavé véku sufizaman lontan kom sa et kil é mintenen tan pour vou deu mourire...
Il leva alors la main et des pics acérés surgirent par les trous du plafond qui commença à descendre lentement, tandis qu’Ashley n’avait rien trouvé de mieux à faire que de hurler de terreur… Avant de se stopper brusquement sous le regard étonné du kevin qui n'avait pas remarqué que Léon s'était amusé à tirer dans les curieuses lumières rouges pendant qu'il leur parlait !
- Argh ! Jeu savé bien kil falé ke jeu praine le maudel de pièj san cé putin de lumiaires rouje ala kon, mintenan je vé devoir apeulé leu sairvice aprèvante pour me fère ramboursé !
Et alors que Salazar s'enfuisit et que Léon et Ashley le poursuivirent, ils suivirent un long couloir mais furent subitement surpris par la brusque fermeture d'une grille, aussitôt après le mur du fond du couloir s'écroula pour révéler une inquiétante machine de mort pilotée par deux moines et équipée d'une sorte de trancheur-éminceur-mixeur dernier cri pour tout ce qui est de transformer n'importe qui en charpie...
- Mon Dieu, cria Ashley, il faut faire quelque chose avant que cette machine ne s'approche dangereusement !
- Pourquoi faire ? Je te signale qu'on est passé tout les deux avant que la grille se referme, du coup je ne vois pas ce que cette machine pourrait nous faire, vu qu'on est à l'abri maintenant...
Finalement, Léon dégomma quand même les deux moines pilotant la machine, histoire de faire quand même quelque chose en attendant, avant de reprendre son chemin. Ils mirent alors la main sur un curieux objet qui semblait être le graal de la reine (d'après l'étiquette collée dessus) avant de se remettre en route vers leur prochaine destination, le nabot ayant profité de l’instant pour s’enfuir…
Le second couloir qui s’offrait à eux était jonché de belles armures qui rappelaient à Ashley quelques mauvais souvenirs…
- Léon, je pense que tu devrais te méfier de ces armures, on ne sait jamais !
- Qu’est ce qui te fait dire ça ?
- Ben, une sorte de pressentiment, puis peut-être aussi parce que certaines de ces armures ont l’air d’être en position pour nous frapper avec leur hache…
- Tu racontes n’importe quoi, tu vois trop de films d’horreur ma p’tite ! C’est pas ces armures qui vont nous… Tiens ? Pourquoi y a deux boutons « L+R » qui viennent d’apparaître ?
- Attention !!!
Léon fit alors un superbe salto arrière sans trop comprendre pourquoi et l’armure, hyper vexée d’avoir loupé son coup, tomba en morceau par dépit… Ils continuèrent ainsi jusqu’à une petite salle au centre de laquelle se tenait une drôle de table. S’en approchant, ils virent alors un autre graal semblable à celui qu’il avaient trouvé précédemment accompagné d’un message disant « Nananèreuh… ! T’es po chiche de prendre le graal du roi ! »
- Pour une raison inexplicable, je dirais que ça sent le gros piège, remarqua Ashley.
- Mouais pareil, tiens j’ai une bonne idée : dégage de là !
- Hein ?
- Ben, comme tu l’as dit, j’te parie que la grille de la porte va se fermer quand je vais chopper le gobelet, alors vaut mieux que tu sois en dehors de la salle lorsque ça arrivera…
- Wahou ! C’est très futé ça, tu m’impressionnes !
- En fait c’est juste que, comme il va y avoir de l’action là dedans, j’ai pas envie de voir ta tronche pendant ce temps, j’aurais peur d’avoir la gâchette un peu top facile !
Et c’est donc avec la joue douloureuse suite à une baffe de la miss partit se mettre à l’abri que Léon s’empara du gobelet, enclenchant ainsi le piège comme prévu et faisant apparaître d’autres armures bien vivantes…
Le combat n’était pas aisé, leurs corps de métal les protégaient bien et ces armures se rapprochaient toujours un peu plus dangereusement de Léon, leurs têtes semblaient une bonne cible jusqu’à ce que les parasites qui les habitaient n’en surgissent, augmentant dangereusement les risques… Pour ne rien arranger à la situation, d’autres armures apparaissaient et bientôt il fut très difficile à notre héros d’essayer de viser tout en évitant tous ces tentacules mortels (note de Léon : P’tain !!! Ils peuvent pas avoir une tête qui explose comme tout le monde, ceux-là ?!)
Voyant ses réserves de munition baisser de façon inquiétante, Léon se dit alors qu’il n’avait d’autre choix que de balancer une de ses grenades explosive mais, comme un blaireau, il confondit dans l’action avec une grenade aveuglante… Le résultat fut pourtant surprenant, tous les parasites explosèrent sous l’effet de la lumière intense, mettant fin de façon radicale à l’affrontement et libérant par la même occasion la grille vers la sortie. Passé cette émotion, Léon se remit en route et aperçut subitement une autre armure surgir de la porte pour lui foncer dessus…
- P’taaaaain !!! Y en a encore une ?!... Crève charogne !!!...
- Mais non Léon, c’est…
Pas le temps de comprendre quoi que se soit que Léon vida tout un chargeur de mitraillette dans la face de l’armure qui ne bougeait pas d’un poil et qui, étrangement, ne semblait pas agressive non plus… Avant de comprendre qu’il s’agissait en fait d’Ashley qui avait eu l’idée saugrenue de revêtir cette carapace de métal…
- Heeeu… Tu joues à quoi, là ? La dame de fer ? C’est pas encore le carnaval, tu sais !
- Ben quoi ? J’me suis dit que ça serait sûrement utile pour me protéger, parce que si je devais m’en remettre uniquement à toi pour me secourir ce serait pas gagné ! Tiens aussi, j’ai aussi trouvé cet habit de mafieux en même temps pour toi, regarde !
- Heeeeeeeeuuuuu…. Nan, j’en veux pas de ce costume pourri, pas moyen que je le mette !
Et c’est sur cette note vestimentaire déconcertante et avec les graals du roi et de la reine en poche que nos deux compagnons reprirent leur chemin vers la porte aux deux statues qu’ils purent alors ouvrir… Ils parvinrent dans une vaste salle qui présentait un curieux style de décoration : le sol était en partie effondré et au dessus d’eux se tenait ce qui ressemblait vaguement à une énorme ruche… Avançant prudemment, ils ne remarquèrent pas l’insecte géant qui arriva par derrière en volant pour tenter de se saisir de la jeune fille au passage et l’emporter au loin… Ce qu’il essaya tant bien que mal, tellement l’armure de cette dernière était lourde, Léon qui était occupé à jouer avec ses bouchons de bouteille ne remarqua pas ce qu’il se passait sur le coup…
- Léon, y a un...
- Taggle !
A peine le temps de faire quoi que se soit que l’insecte appela alors cinq autres de ses potes qui sortirent de la ruche pour l’aider à soulever la greluche (Note de Léon : quand je dis qu’elle est lourde, c’est pas pour rien… ! XD ) et finir par l’emporter au loin, sous le regard de Léon qui eut à peine le temps de réagir parce qu’il rangeait ses jouets et de s’apercevoir que, non seulement d’autres insectes débarquaient de partout mais aussi que le clôturage de chapitre arrivait, parce que ce (pas si) feignant d’auteur avait un peu mal au doigts d’avoir fait un si long chapitre… Laissant alors notre héros dans une situation légèrement emmerdante en attendant que la suite de ses péripéties n’arrive…

de toujours aussi drôle

C'est de la bombe

Rien à dire, encore une fois ...

excellent comme d'habitude bravo

j'ai lu toute la paro et elle est bien mieu que toutes les autres
elle reste tout le temps drole et les gags sont bien mieux
en bref, continue

c'est la meilleure du forum re4

Oui j'avoue
____________________________________________
O¤o¤°¤oOTh€©hatManOo¤°¤o¤O

moi aussi j'avoue je serai incapable de faire une paro pareille

Salut Kidmicro, j'ai comencer a lire ta paro j'en suis a la page 2 je continuré demain,enfin j'ai tenue a lacher un coms parsque je me suis tordue de rire elle est magnifique cette parodie c'est géant!

elle est la meilleure parodie du forum

sa se vois

Hu ! Hu ! Hu ! J'suis ravi que ma paro vous plaise toujours autant, même si les nouveaux chapitres mettent un peu (très beaucoup) de temps à venir et que je suis pas toujours sur de la qualité de l'humour !
Sur ce, pour vous récompenser de votre patience, voilà donc le nouveau :

Chapitre Trululu :

La situation de Léon n'était pas des plus brillantes, les insectes bourdonnaient partout autour de lui et il était difficile de les viser avec précision, d'autant plus qu'à chaque fois qu'il en dégommait, d'autres sortaient de la ruche...
- P'tain j'en ai marre, se plaignit notre héros, y en a pas un seul qu'est foutu de me filer un oeil bleu, c'est le dernier qui me manque pour compléter la jolie lampe que j'ai trouvée avant !
Sur ce, observant la ruche, il fut tenté d'utiliser son lance-roquette pour la détruire mais comme il n'avait qu'une seule roquette, il jugea plus sur de garder son joujou au cas où il tomberait sur un monstre bien pénible... Il décida finalement de mettre les mines qui lui restait dans la chose qui explosa sur le coup, laissant tomber une pluie de pierres précieuses tandis qu'un des insectes restant pleura sa mère qui était restée dans la ruche... Récupérant au passage le fameux oeil bleu qui lui manquait, notre héros continua son chemin après avoir dégommé les derniers insectes scandalisés par la destruction de leur demeure.
Après avoir actionné un levier, traversé un couloir et flingué le marchand qui trainait dans le coin car il n’avait rien de nouveau à lui proposer, notre héros arriva finalement devant une grande tour surmontée d'une horloge. A peine se dirigeait-il vers la grande porte d'entrée de la tour qui était barricadée qu'il fut accueilli par quelques moines ainsi que quelques projectiles enflammés lancés par des catapultes au loin... Juste le temps de fusil-à-pomper les uns et de headshotiser les autres et il trouva enfin une autre entrée... Tout semblait calme à l'intérieur de la tour, même les mécanismes étaient curieusement immobiles. En grimpant, Léon remarqua de curieuses planches de bois encastrées dans les rouages, probablement dans le but de bloquer tout ça. Ayant à peine le temps de se demander comment ses foutus moines s'étaient démerdé pour foutre des planches à ces endroits, il dégagea tout ça de quelques balles bien placées avant de remettre la machine en route, ce qui fit pivoter le pont par lequel il était arrivé afin de permettre le passage vers la suite.
En redescendant, quelques moines surgirent pour lui bloquer la route, juste le temps pour certain de se prendre quelques cartouches dans le bide et les autres de se faire exploser par la dynamite que le maladroit du tas balançait un peu partout, Léon continua en flinguant tout ça joyeusement sans perdre trop de temps.
Ressortant de la tour et empruntant le nouveau passage, il arriva devant de grandes portes mais fut surpris par d'autres moines déboulant d'un peu partout, dont un armé d’un lance-roquette qu’il comptait utiliser pour faire de la bouillie de Léon pour son p’tit-déjeuner. Notre, héros, rusé comme l’éclair et rapide comme le renard dégomma celui-ci en premier et s’empara rapidos de son lance-roquette pour faire de la purée avec les moines qui restaient et qui avaient eu la géniale idée de rester en groupe, content au passage de pouvoir faire un feu d’artifice rigolo sans devoir utiliser son propre joujou.
Passant finalement la porte après s’être assuré que plus rien ne bougeait dans le tas de viande morte, il déboucha dans une salle dans laquelle l’attendaient quelques moines ainsi que deux copains du cousin aveugle de Wolverine qui patientaient au fond en jouant à colin-maillard… A peine le temps de flinguer les moines qui traînaient dans les pattes que les deux griffus entendirent les coups de feu et se précipitèrent à la baston, toutes griffes dehors. La situation n’était pas des plus joyeuses et Léon se faisait aussi silencieux que possible, ses deux adversaires cherchant autour d’eux en épiant le moindre son susceptible de le trahir. Apercevant une cloche se trouvant à quelques mètres de sa position, Léon eut alors l’idée de la faire sonner d’une petite balle bien placée, le résultat fut à moitié concluant, l’un des deux aveugles se précipita vers la cloche alors que l’autre, sans doute un peu plus malin, avait repéré d’où venait la détonation et se précipitait vers notre héros qui esquiva l’attaque de justesse, laissant l’ennemi planter ses griffes dans le mur… Voyant la une belle occasion de dégommer le point faible situé dans le dos, Léon s’apprêta à tirer lorsqu’il remarqua alors que l’autre se ramenait par ici, ayant entendu le bruit causé par son pote et s’approchant doucement pour vérifier… Notre héros eu alors une idée un peu débile mais plus ou moins efficace…
- Hé, le bigleux, C’est pas toi qui aurait joué le méchant dans les tortues ninja, par hasard ?
Le garrador sortit alors ses griffes en hurlant, se précipitant vers l’origine des paroles pour l’embrocher aussi sec… Malheureusement pour lui, il ne vit pas (normal vu qu’il est aveugle !) que Léon s’était décalé sur le côté et qu’il venait d’embrocher le point faible de son pote qui avait toujours les griffes coincées dans le mur…
- Ah bah zut alors, j’ai tué Rodrigo, lui qui voulait sa revanche à colin-maillard, c’est rapé maintenant !
- T’inquiètes pas pour ça, répondit Léon, il aura sa revanche dès que je t’enverrais le rejoindre en enfer !
- Aha ! Tu viens de te trahir, abruti, je sais où tu es et je vais t’embrocher ! Yahaaaa !!!...
- Oops !... Je suis mal barré, là ! Mais… heeeu… attends… c’est quoi ce truc derrière toi ?
- Hein ?
Le garrador se retourna alors pour vérifier ce que disais Léon mais réalisa juste à ce moment qu’il venait de tomber dans une ruse débile de notre héros qui en profita alors pour lui coller une ou deux balles de magnum dans le dos. Une fois son ennemi à terre pour de bon, Léon continua son chemin droit devant lui pour finalement atterir dans une grande pièce qui semblait être la salle du trône sur lequel était assis le nabot, ce dernier attendait Léon, la greluche assise à côté et retenue en otage par les deux encagoulés bizarres…
- Ashley, fit Léon.
- Léon, fit Ashley.
- Ashley, refit Léon.
- Léon, refit Ashley...
- Ashley, rerefit Léon...
- Oui bon, vous allez pas vous répéter pendant trois plombes non plus, fit Salazar.
- Salazar, fit Léon.
- Léon, fit Salazar.
- Verdugo, fit l’un des encagoulés.
- Verdugo aussi, fit l’autre encagoulé.
- Welcome, fit le marchand qui passait dans le coin.
- Bon, c’est fini ses conneries, oui ?! Fit l’auteur qui commençait légèrement à être agacé.
- Ok, jeu croa kilé mintenan tan pour vou de mouryre, Mr. Scott Kennedy ! Fit Salazar en levant le bras pour le rabaisser aussitôt afin d’appuyer sur un bouton se trouvant sur l’accoudoir de son trône, déclenchant alors l’ouverture d’un trou au sol pour piéger notre héros…
- Léon !!! Fit à nouveau Ashley.
- Oui, qu’y a t-il ? Répondit alors celui-ci.
- Heeeu… Non rien, en fait !
- Aaaaaaaaaah, je tombe !!! Fit le marchand qui venait justement de tomber dans le piège.
- Argh ! Pourkoa se kon damérikin né pa tombé den mon pièj… Dayeur pourkoa mon pièj né pa fasse o traune kom dabytude ?
- Ben, vous avez du oublier que, quand vous avez refait la déco de la salle, vous avez déplacé votre trône en même temps mais le piège est resté à la même place, lui répondit l’un de ses sbires.
- Est-ce que quelqu’un pourrait me venir en aide ? Fit le marchand qui continuait à tomber pendant ce temps. Ce serait con de mourir en plus, moi qui avait de nouvelles pièces pour améliorer les armes…
- P’tain de… Il me les faut !!! Fit Léon qui sauta alors courageusement dans le trou.
Dans sa chute, Léon rattrapa alors le marchand et lui empoigna le bras…
- Cool ! Je te remercie d’être venu à mon secours, stranger !
- Y a pas de quoi, c’est mon métier de sauver les gens… Bon alors, et ces nouvelles pièces d’armement ?
- Heeeu… Je serais ravi de te les montrer, mais là on est en train de continuer à tomber je te signale !
- Arf ! C’est vrai, j’ai pas pensé à ce détail, qu’est ce qu’on va faire ?
- Beeeeen… Si tu utilisais le grappin accroché à ta ceinture ?
- Ah oui, tiens, je m’en souvenais plus de ce truc ! D’ailleurs, moi qui me disais que ça pourrait m’être utile avant de partir à l’aventure, je m’en suis encore jamais servi jusqu’à maintenant, c’est marrant non ?
- Oui, c’est hyper drôle, sauf que là on va finir empalés sur les pics qu’on aperçoit au fond du trou si tu ne fais rien, stranger !
- Ouais bon, pas la peine de s’énerver non plus… Allez hop, grappin, agis tout de suite !!!
Léon lança donc son grappin qui s’accrocha de justesse pour éviter l’empalement fatal… Au même moment un peu plus au dessus, Salazar écoutait ce qu’il se passait à l’aide d’un appareil et se demandait pourquoi est ce que le doux bruit de l’empalement ne se faisait pas entendre, ce à quoi Léon lui répondit en lâchant un gros pet bien gras dans le cornet servant à entendre.
- Argh ! Cé dégueu !!! Koman ozetil ?!... Bon, sa sufy mintenen, on ne jou pu ! Keu l’in de vous deu aille le tué mintenan !!!
Sur ces mots, l’un des deux encagoulés se mit alors en route pour retrouver notre héros qui profitait alors du moment pour arriver au fond du trou sans trop de bobos avec le marchand dont il venait de sauver la vie juste avant de lui flinguer la tronche histoire d’essayer ces nouvelles pièces d’armement qu’il venait tout juste de lui acheter. Ce fut également pendant ce temps que Salazar décida d’emmener Ashley autre part pour la préparer à un étrange rituel et que le clôturage de chapitre frappait à nouveau sournoisement…

super comme d'hab !!!!

Bien poilant

Jerry

mdr les policier qui se suicide need suite