Ou se trouve t´il svp ! !!

c quoi ton rouckmoute sauvage parce que j´ai vu un animal dans la foret mais je ne sais pas ce que c´est. c´est peut ce que tu cherches si c´est ca il se trouve du coté droit de la foret.

Non, laisse tomber c´est une vanne. Cette personne vient d´un autre forum ( le meme que moi) et une personne est surnomée " rouckmoute" ( parce qu´il est roux). Dc c´est une vanne qui a foirée

34. Quand apparait le terme « Tiers monde » ? Quelle est sa signification ? Pourquoi peut-on dire que la Conférence afro-asiatique de Bandoeng marque la naissance du Tiers monde ? Cette conférence a-t-elle porté ses fruits ?

Le terme « Tiers monde » appraît la première fois en 1952 dans la revue L’observateur politique, économique et littéraire sous la plume d’un sociologue et démoraphe français. Ce sociologue donnera sa signification au mot en disant qu’il existe trois « mondes » sur la planète et comperera le Tiers monde au Tiers état. Le Tiers Monde, comme le Tiers état auparavant, est ignoré, méprisé et exploité mais veut lui aussi quelque chose. Cette expression se diffuse par la suite.

On peut dire que le Tiers monde va « naître » lors de la conférence de Bandoeng en 1955. Cette conférence rassemble 29 pays africains et asiatiques ( dont certains ne sont pas indépendants) qui vont décider de tourner le dos au colonialisme, et refuser de s’aligner sur les positions de l’U.R.S.S. ou des Etats-Unis pour évoquer un destin commun. Les nations du Tiers monde vont alors réclamer des realtions commerciales plus équitables avec les pays développés. C’est de cette conférence qu’est né le mythe d’un Tiers monde politiquement uni parce que solidaire sur le plan économique. Le sous-developpement sera uniquement attribué à la colonisation des nations impérialistes et le Tiers Monde va vouloir obtenir la réparation des préjudices subis et desrelations commerciales plus équitables. Le développement sera envisagé sous l’angle de la coopération économique, on va chercher à dévelopepr l’industrialisation, l’usage de techniques modernes et la liberté du commerce multilatéral.

Cette conférence va être très importante pour la suite. Le premier apport sera une accélération de la décolonisation, les pays du Sud accèdent à l’indépendance aidés par l’O.N.U.. Ensuite, cette conférence va aboutir à la création de nouvelels institutions internationales de développement ( comme le Fond spécial des Nations Unies pour le développement économique, la Confréence des Nations Unies pour le commerce et le développement, …). Enfin, un problème va surgir, les pays du Tiers monde, qui avaient décidés de ne pas s’aligner sur les positions des deux Grands ( cette notion avait été précisée lors de plusieurs conférence don’t celle de Belgrade en 1961), vont s’opposer entre ceux tournés vers l’U.R.S.S. et ceux tournés vers les U.S.A. plus de sens de parler de non-alignement.

35. Pourquoi dans les combats menés par le Tiers monde, le rapport Dag Hammarskjöld ( 1975) ouvre-t-il une voie originale par rapport au contenu de la demande d’un « nouvel ordre économique mondial » ? Ce rapport aura-t-il une suite ?

Le rapport ( Que faire ? ) de la fondation Hammarskjöld ( ancine secrétaire général des Nations Unies et du PNUD) va être réalisé en 1975. Ce rapport envisage de façon plus critique le développement que le NOEI ( le nouvel ordre économique international considérait le commerce international comme le moteur de la croissance et voulait faire ce dont le capitalisme mondial révait depuis longtemps, mieux intégrer les pays périphériques au système afin d’assurer sa croissance continue), et est original sur plusieurs points.

Tout d’abord, il considère le développement comme un tout et pas seulement comme un processus économique. Le développement n’a pas de formule universelle et ne doit pas se limiter à l’imitation des sociétés développées.
Ensuite, le développement doit être orienté vers la satisfaction des desoins essentiels des popualtions les plus pauvres, mais pour y parvenir celles-ci doivent compter sur leurs propres forces.
Troisièment, ce rapport reconnaît que l’état des pays du Tiers monde à son origine dans le Nord, mais il affirme que les classes dirigeantes des pays du Sud ont continué d’exploiter ces pays. En conséquence, l’aide ne doit être apportée qu’aux pays qui s’engagent à corriger les inégalités internes.
Quatrièmement, le développement doit tenir compte des limites écologiques, liées aux systèmes sociaux et technologiques. En conséquence, les pays du Nord doivent modifier leur style de vie afin de réajuster leurs économies et les orienter dans le sens d’une plus grande justice dans les relations commerciales et internationales.
Cinquièmement, le système des Nations Unies doit être profondément modifié afin de tenir compte des transformations politiques depuis la fin de la deuxième guerre mondiale. Il convient d’alléger et de centraliser son fonctionnement pour servir une coopération internationale renouvelée dont les ressources additionelles pourraient provenir d’une taxe sur les revenus du patrimoine de l’humanité et d’une réaffectation des dépenses militaires.
Enfin, le rapport opte pour un contrôle du contenu de la croissance en fonction de ses conséquences à long terme ( surtout écologiques) et affirme que la primauté économique ne doit plus avoir lieu.

Ce rapport ne va pas connaître de suite malheureusement pour les pays du Sud à cause de l’intransigeance des pays industrialisés. Les rapports suivants se contenteront de voeux pieux, l’Organisation internationale du travail ( censée défendre les travailleurs) s’allie avec la Banque mondiale, et le pire est sans doute arrivé quand on frappe une médaille à l’éffigie de Mère Thérèsa en symbole d’aide au Tiers monde.

36. Quand et dans quelles circonstances apparaît la notion de développement durable ? Indiquez les forces et les faiblesses du rapport rédigé par la comission Gro Harlem Bruntland ( 1988).

Cette notion de « développement durable » naît au début des années 1980, grâce la mode occidentale de l’écologie et le rapportd e madame Buntland. L’assemblée génerale des Nations Unies décide de nommer une comission mondiale sur l’environnement et le développement, avec à sa tête le premier ministre norvégien, Gro Harlem Bruntland. Cette comission de 30 personnes ( 15 personnes politiques et 15 personnes liées au domain de l’environnement) vont publier un rapport ( Notre avenir à tous) dans lequel le concept d’environement sera lié à celui de développement.

Le grand mérite de ce rapport sera de faire un inventaire presque exhaustif des problèmes qui menacent l’équilibre écologique de la planète ( déforestation, dégradation des sols, extinction des espèces animales, approvisionement en eau, …)

Les problèmes de ce rapport vont surgir lorsqu’il va essayer de concillier, grâce à la notion de « développement durable », deux faits qui paraissent opposés : d’une part le développement, synonyme de détérioration de l’environement, et d’autre part le fait qu’il inconcevable de ne pas accélérer le processus de développement des pays pauvres. Le rapport tentera donc de concilier les notions de respect et de justice.
Cependant, la notion de développement durable n’est pas bien définie. Le rapport ne propose pas de renouvellement de la problématique. Il dénonce le fait que l’interraction entre économie et politique peut être catastrophique mais il conclut que ce dont on n’a besoin c’est d’une croissance resepctant l’environement. De plus, le rapport est assez frileux lorsqu’il s’agit de remetrer enquestion le mode de vie des pays autant ua Nord qu’au Sud et elle ne propose pas de mesures qui permettraient aux pays industrialisés de revoir leur style de vie puisqu’elle préconise l’augmentation de la croissance dans le but que tout le monde en profite.
En outre, les mesures préconisées constistent en souhaits raisonnables ou en appels solennels à gérer de façon le plus efficacement possible les ressources. La comission ne s’engage pas et se borne à des recommandations généreuses pour tous et propose plus des mesures palliatives ( recyclage et rationnaliser) qu’à des mesures radicales.
Enfin, le rapport connaîtra quand même un succès avec l’organisation du Sommet de la Terre à Rio ( 1992), car elle avait recommandée aux Nations Unies d’organiser une conférence posant les jalons du progrès qui respecterait la nature.

37. Pourquoi, à la fin des années 1980, le Tiers monde apparaît-il comme une réalité éclatée ? Peut-on affirmer que le fossé s’élargi entre le Nord et le Sud ?

On peut affirmer aujourd’hui que le Tiers monde n’est plus d’un seul « bloc » mais a éclaté en différents groupes de qualité différente : des pays émergent et quittent le Tiers monde en Asie principalement mais aussi en Amérique latine, tandis que la majorité de l’Afrique et de l’Asie du Sud sont toujours en crise.

Plusieurs pays émergents ont quitté le Tiers monde car ils n’ont plus rien à envier aux nations développées en terme d’espérance de vie, de revenu moyen par habitant et de niveau éducatif. D’autres pays de « l’ancien Tiers monde » constituent de véritables puissances économiques ( et pafois réclament un siège permanent au conseil de sécurité de l’O.N.U.). Parmi ces pays qui ont quitté le Tiers monde, on retrouve les « dragons » d’Asie de l’Est ( Corée du Sud, Hong Kong Singapour, Taiwan), les « tigres » ( Thaïlande, Malaisie, Indonésie), le Brésil, l’Afrique du Sud, l’Indes, la Chine, … Les années 1970-1990 vont être bénéfiques pouyr les pays exportateurs de pétrole ( mais négative pour les pays du Tiers monde n’ayant pas de pétrole, l’écart va s’agrandir entre eux). L’O.P.E.P. sera crée en 1960 dans le but de réagir contre lam mainmise des 7 compagnies pétrolières qui contrôlaient la région.

Pour les pays les moins avancés ( P.M.A.), la situation est toujours aussi désastreuse. De plus, ils sont désormais marginalisés. Ces pays, au nombre de 47, ont un revenu par habitant et par an inférieur à 350 dollars ; une part de la production industielle dans le P.N.B. inférieure à 10% et un taux d’alphabétisation de mois de 20%. Les P.M.A. se situent principalement en Asie du Sud et en Afrique subsaharienne, ils représentent la moitié de la population mondiale mais moins de 5% du P.M.B. ( produit mondial brut). L’Afrique ne parveint pas à réaliser le défi d’un accroissement démographique en constante augmentation et à surmonter ces conflits politiques ( guerres tribales, etc). La croissance de l’Afrique à même été négative durant les années 1980. De plus, la situation en fait qu’empirer car les capitaux privés désertent le continent à la recherche de marchés plus porteurs.

Quant à l’Amérique latine, kon pourrait la constituée comme « classe moyenne » du Tiers monde par son revenu moyen par habitant. Mais la notion de « revenu moyen apr habitant » n’a aps vraiemnt de sens sur ce continent tant les écarts de richesse y sont importants. L’Amérique latine semblait revenir en force à la fin des années 1980 acr le capitaux y affluaient malgré les régimes politiques. Cepndant, depuis 1994, les capitaux partent vers d’autre places financières. Pourtant, son énorme richesse agricole et minière pourrait permettre à l’Amérique latine plus soucieuse de justice sociale et de palnification à long terme d’entrer dans la voie du développement. Les réformes ont transformé cette partie du monde en une championne du libéralisme économique ce qui n’est pas sans conséquence pour les populations défavorisés et les classes moyenens qui sont victimes des plans de rigueur imposés.

De plus, à l’intérieur même des continents il existe des disaprités criantes entre les pays riches et les pays pauvres. Ces disaprités sont dues aux choix économiques effectués dans le spays et au soutin extérieur dont ils ont bénéficié suivant leur intérêt géo-politique et leur orientation idéologique.

Le fossé ne cesse de s’élargir entre les pays riches et les pays pauvres. Au début des années 1990, 23% de la popualtion mondiale gagnaient 85% du rebenu mondial. Le rapport était de 30/70 dans les années 1970. Les pays riches concentrent la richesse parce qu’ils détiennent la maîtrise des processus technologiques et parce qu’ils ont les moyens d’investir des sommes importantes dans la recherchre-développmeent.

38. Après avoir mis en lumière les causes qui ont entrainé la levée du rideau de fer, dégagez les conséquences géopolitiques de cet évènement.

La levée du rideau de fer ( 1989) a été causée par deux évènements, l’ouvreture par la Hongrie de sa frontière commune avec l’Autriche et l’action de Mikhail Gorbatchev. Cela aura trois conséquences : la réunification de l’Allemagne, la fin des réguimes communistes en Europe centrale et orientale et une nouvelle conception de l’Europe.

La première cause de la levée du « rideau de fer » ( marquée symboliquement par la chute du Mur de Berlin) c’est l’ouverture par la Hongrie de sa frontière commune avec l’Autriche et le démentèlement de ses fortifications en mai 1989. Grâce à cette brèche, les Allemands de l’Est vont partir en RFA ce qui provoquera, fin 1989, la chute dun Mur de Berlin. Ce mouvement n’est pas le premier, d’autres mouvement libertaires avaient déjà eu lieu auparavant en Pologne et en Hongrie.
La seconde cause c’est l’action de Mikhail Gorbatchev ( secrétaire général du Parti Communiste), qui parce qu’il prend conscience des changements à l’Est va changer la mentalité de l’U.R.S.S. et dire que l’on va vers un monde nouveau fait de nouvelles relations. Pour cela, il va tenter de démocratiser le système politique et réorganiser l’économie soviétique dans le cadre du socialisme. Sous les mots perestroïka ( restructuration) et glasnost ( transparence), il avait initié un vaste mouvement de réformes qui avait bouleversé la société soviétique et les relations avec les puissances occidentales.

La première conséquence c’est la réunification de l’Allemagne ( alors partagée entre RFA et RDA) le 3 octobre 1990, ce processus avait été accéléré grâce à l’action du CDU d’Allemagne de l’Est qui remporte les élections.
La seconde conséquence c’est la fin des régimes communiste en Europe centrale et orientale. Suite à la « révolution de velours » à Prague, les régimes communistes d’Europe de l’Est tombent les uns après les autres. Le régime communiste et dictatorial roumain tombe sous le couo d’une révolution de palais ( pas populaire au départ).
Enfin, la troisième conséquence, c’est la naissance d’une nouvelle conception de l’Europe. Cependant, au départ, la levée du rideau de fer n’aviat pas rendu une unité à l’Europe mais avait plutôt mis en évidence les différences qui avaient été masquées par cette fracture ( frontières ethniques, religieuses, …). Les Européens doivent en quelques sorte redéfinir de nouvelles frontières qui seront tracées en pleine conscience et pas en raison du rideau de fer. De plus, les etats de l’Europe orientale et centrale ( PECO) envisagent de rejoindre l’Union européenne. Enfin, l’immogration va s’intensifier.

39. Retracez les étapes qui ont conduit à l’implosion de l’U.R.S.S. et à la création de la Communauté des États indépendants ( CEI). Ensuite, dégagez les conséquences de cette implosion.

Il y aura trois étapes dans l’implosion de l’U.R.S.S. et la formation de la CEI : la volonté de la Russie de garder sa suprématie mais qui doit céder de plus en plus de terrain, la dislcoationd de l’empire soviétique et la création de la CEI. Ces évènements auront six conséquences : l’effondrement d’une ideologie, l’inquiétude de l’occident, le renforcement de la croyance aux bienfaits du libre marché et la disqprition d’un modèle pour le Tiers Monde, un manque d’appui au terrorisme internatioanl et la transformation de l’OTAN.

Tout d’abord, l’U.R.S.S. va tenter de garder sa suprématie lorsque, au début des années 1990 quand l’U.R.S.S. veut sde lancer dans l’économie de marché, les pays qui composent l’Union soviétique modifient son action. Les dirigeants de ces pays affirment la primauté des lois des républiques sur celles de l’Union et la propriété nationale des richesses locales. Cela va entrainer une réaction au départ positive de l’U.R.S.S. mais celel-ci va petit à petit durcir sa position. Mias le président Gorbatchev doit céder de plus en plus de terrain face aux républiques, et faut de pouvoir impser son pouvoir aux républiques, il recourt à la violence.
Mais, la montée en puissance d’un mouvement social exigeant la démission du gouvernement et la popualrité grandissante de Boris Eltsine, élu à la présidence russe en 1991, obligent l’Gorbatchev à revoir ses positions. Gorbatchev voualnt élaborer un traité d’Union avec ces répûbliques manque d’être déposé par des institutions clés. L’action est empéchée par le président Eltsine, les autres républiques et les forces démocratiques. En conséquence, U.R.S.S. se disloque, les pays baltes font sécession tandis que les satellites proclament leur indépendance.
L’Union soviétique tente de survivre par des institutions provisoires et la relance du traité fédéral, mais le 8 décembre 1991, l’Ukraine, la Russie et la Biélorussie proclament que l’U.R.S.S. a cessé d’exister. Ces trois républiques vont former la Communauté des états indépendants ( CEI), qui va être rejointe par l’Arménie et l’Azerbaïdjan. La CEI joue un rôle floçu, elle est chargée de maintenair les liens tissés mais surtout de gérer l’Armée rouge don’t une grand epartie du matériel se trouve hors Russie. Le 25 décembre 1991, l’U.R.S.S. meurt définitivement lorsque que Gorbatchev quitte le Kremliin pour y laisser la place à Eltsine.

La première conséquence de la mort de l’U.R.S.S. sera l’effondrement d’une idéologie qui s’était installée en Russie en 1917 et avait gagné le monde après 1945.
Ensuite, la deuxième conséquence, c’est l’inquiétude qui va naître en Occident à cause de la présence d’armes nucléaires dans les républiques nouvellement constituées.
La troisème conséquence, c’est le renforcement de la croyance aux bienfaits du libre marché. Le délabrement social et économique des pays de l’Est achèvent de montrer qu’il est impossible de se développer avec des règles contraignantes et de spolitiques volontaristes.
La quatrième conséquence, c’est la disparation d’un modèle pour le Tiers monde. En effet, ceux-ci voyaient en l’U.R.S.S. un modèle qui leur permettait de croire en la réussite des économies socialistes. Il est devenu impossible d’entretenir l’illusion de la perfectiond es voies socialistes de développement. Des pays comme Cuba sont obligés de revoir leur position, notamment économique.
La cinquième conséquence, c’est un amnque d’appui au terrorisme international, qui a cause de l’efforndrement de l’U.R.S.S. ne peut plus compter sur son aide financière ou logistique. Ils doivent chercher de nouvelels sources de revenus ( narcotrafic, …)
Enfin, la dernière conséquence c’est la transformation de l’OTAN. Au paravant sa mission était de se protéger contre les Soviétiques. Désormais, il devient un lieu de concertation, de coopération et de dialogue en vue d’une meilleure cohésion de l’Europe. Toutefois, la capacité de défense colelctive est réaffirmée. Lors de la seconde moitié des années1990, de nombreux accords sont signés avec les pays de l’Est et trois d’entre eux ( Pologne, Hongrie et République Tchèque) rejoignent l’OTAN.