Bon bah allez, je me lance.

Bienvenus à tous sur ma propre fan fiction ! Vu qu'apparemment ça a l'air d'être la mode aujourd'hui, et que j'ai moi-même pas mal d'expérience en la matière, je me suis dis "Pourquoi pas ? Les gens d'ici sont plutôt cools et nombreux, ils méritent une histoire !".

J'ai pas mal réfléchi au sujet de cette histoire, et puis bon, la solution la plus simple est souvent la meilleure : ça va raconter la suite de la vie de Lara, son retour à la terre et ses aventures à suivre. Vous la connaissez tous, la plupart d'entre vous se sont attaché(e)s au personnage, donc j'espère que ça va vous plaire.

C'est un style un peu particulier et je me dois de le préciser : ça ne sera pas une fic "jeu vidéo", c'est-à-dire que je vais pas raconter ses aventures à la manière d'un jeu d'action/TPS. C'est plus un roman, avec une intrigue, des personnages, des rebondissements... Plus du format "série TV" que "jeu vidéo". Enfin vous allez bien voir, et j'espère que vous allez accrocher.

Quelques petites précisions avant que je commence :

-C'est la suite directe du reboot, pas une Lara inventée, pas des aventures différentes. Par contre, les élements qui n'ont pas (ou assez peu pour que je les remarque pas) été évoqué dans le jeu sur la vie de Lara, sa famille, etc... seront inventés. Je ferai mon possible pour que ça respecte le reboot.

- Ma connaissance des anciens Tomb Raider se limitent à deux heures de "la Révélation Finale". Je vous prie donc d'être indulgents et de ne pas en attendre trop du côté des références aux anciens TR.

- Comme vous allez le remarquer dans trente secondes, je fais des chapitres assez longs. Ça va de "long" à "très long", voir jusqu'à "très très long". C'est vous dire. Aussi, ne vous attendez pas à des petits bouts de texte chaque jours, mais plutôt à un grand chapitre chaque semaine/dizaine. Je suis en vacances vendredi prochain et j'aurais le temps d'assurer ça.

POINT IMPORTANT : Ce projet ne marchera pas sans vous ! Aussi, n'hésitez pas à commenter les chapitres, à émettre des hypothèses, à en discuter entre vous et avec moi, à soumettre des idées, et même à souligner des fautes ou des incohérences ! Tant que ça part pas en HS total, j'aimerais que ce topic reste suffisamment vivant d'un chapitre à l'autre ! VOUS êtes le carburant de ce projet !

- J'ai pas fait attention aux dates marquées dans le jeu, donc vous non plus. Si je marque "10 juillet, 16 jours après le voyage", même si dans le jeu c'est marqué que le voyage était le 2 janvier, vous en prenez pas compte. La seule chose vraie, c'est ce que je dis... Enfin ce que dit Lara.

- N'hésitez pas à faire de la pub sur d'autres topics/forums (si vous connaissez es gens là-bas, pas de pub abusive), plus on est de fous, plus on lit.

Bon, je poste mon introduction dans quelques minutes, le temps de faire quelques préparatifs. Bonne lecture à tous !

Intro - La vie continue

Bibliothèque de Southampton, Angleterre
25 juin 2013, 19:00

Je ne sais pas depuis combien d'heures je suis assise là, au milieu des piles de bouquins, de notes et de manuscrits en tous genres. Je ne sais pas depuis combien de jours je viens ici, dans cette salle, sur cette chaise précise. J'ai perdu toute notion du temps, mon cycle de sommeil est complètement décalé.

Et pour être franche, je n'en ai absolument rien à faire.

J'entends les cloches d'église sonner au loin. 19h. Rapide calcul : je suis dans cette bibliothèque depuis onze longues heures, dix et demi si on enlève la pause déjeuner. Je me détends dans ma chaise, m'étire et laisse la fatigue m'arracher un bâillement. Du bout de mon crayon à papier, je tapote sur le thermos. Celui-ci résonne beaucoup trop creux. C'est peut-être une bonne chose, après tout, étant donné que c'est le troisième litre depuis que je me suis levée ce matin. Si je m'écoutais, je me l'injecterais directement par intraveineuse.

La grande salle de la bibliothèque est presque totalement vide. On est samedi, après tout. Quelle personne normalement équilibrée passerait son samedi dans une bibliothèque ? Je glisse un regard à ma gauche. Quelques tables plus loin, un groupe de jeunes est assis, quelques livres ouverts devant eux. Deux garçons, deux filles. Presque mon âge, peut-être un ou deux ans de moins. Un travail de classe ou un exposé, sans doute.

Au moment où je les regarde, tous les quatre baissent subitement le regard sur leurs feuilles, se mettant à parler en pointant des mots sur les livres. C'est un truc que j'ai souvent remarqué : quand une personne en espionne une autre, elle a tendance à rester silencieuse, mais se remet aussitôt à faire du bruit quand on la regarde. Par exemple, quand deux personnes chuchotent dans votre dos, que vous vous retournez et qu'elles se mettent à parler normalement, vous pouvez être sûrs que c'est de vous qu'elles parlaient.

Qu'est-ce que ces jeunes pouvaient bien se dire, en voyant cette jeune femme, aux lunettes de lecture qui dissimulaient à peine les grands cernes causés par de nombreuses insomnies, entourée de plus de livres, de schémas et de cartes que la table ne pouvait en supporter, et qui était là depuis des jours et des jours, inlassablement ? "Est-ce qu'elle a une vie sociale, des amis ?", "Qu'est-ce qu'elle recherche comme ça ?", "Pourquoi est-ce qu'elle a l'air si fatiguée ?"

Peut-être que ce sont ces questions-là qu'ils se posent. Ça serait probable, vu que je me les pose parfois moi-même. Mais je pense que ce n'est pas de ça qu'ils parlent. Ils parlent de la même chose que tout le monde, de la chose qui a fait le tour de la presse britannique depuis un mois. Un mois et quatre jours, très exactement. Cette chose, j'ai vu tellement de gens la chuchoter, en me regardant avec plus ou moins de discrétion, que j'arrive presque à la lire sur les lèvres.

"C'est Lara Croft, la rescapée de l'Endurance."

Oui, c'est bien Lara Croft. Fille de feu Thomas et Rosheen Croft, anciens propriétaires d'une grande compagnie automobile dans le sud de l'Angleterre, qui vivaient de manière prospère dans leur manoir à proximité de Southampton. Pour la fille : brune, 22 ans, née le 14 février 1991, signe du Zodiac verseau, plat préféré lasagnes au bœuf. Accessoirement, étudiante en archéologie. Mais tout ça, les gens s'en fichent complètement.

Ce qui les intéresse, ce pourquoi une fille comme moi est devenue célèbre, c'est mon statut de survivante de l'expédition Whitman. Un bateau rempli de chercheurs part un matin de Brighton, Sussex, dans l'anonymat le plus total - à part pour les spécialistes du milieu, qui s'intéresserait à des vestiges japonais perdus ? Probablement personne. - Disparu en mer au bout d'une semaine dans les eaux du Pacifique, des véhicules de secours sont envoyés. La presse s'enflamme. Les gens ne parlent plus que de ça. À part les mariages princiers et les scandales alimentaires, c'est vrai que les anglais n'ont pas grand chose à se mettre sous la dent.

Quelques jours plus tard, alors que les gens se résignaient à se dire que l'Endurance avait définitivement été détournée par des pirates/coulé par des récifs, quatre survivants sont trouvés en train de flotter sur un bout de ferraille rafistolé et recueillis par un navire de marchandise. On était même pas arrivés au port que la nouvelle s'était répandue comme une traînée de poudre : "On les a retrouvés".

C'est ainsi que, le 21 mai, sous une quarantaine d'appareils photo et de caméras en tous genres, les rescapés sont arrivés. Lavés et nourris, ils avaient toujours des têtes à faire peur. Des regards durs, fuyants, coupables. Les mêmes regards qu'on a quand on se réveille d'un cauchemar.

Seulement quatre ont survécu. La liste est plus simple à dresser, comme ça : la jeune héritière Lara Croft, son amie japonaise, et deux individus qui ont eu tôt fait de s'éclipser et de disparaître dans la nature avant que les caméras ne les capturent à leur tour.

J'aurais dû faire comme eux. Mon Dieu, j'aurais dû faire comme eux.

On peut sans doute penser qu'on est revenus en "survivants", que les gens ont été patients avec nous, compréhensifs, qu'ils nous ont laissés le temps de nous remettre de nos épreuves. C'est se fourrer dans l'œil le doigt, la main et une bonne moitié de l'avant-bras. On est revenus en "héros". Les deux premières semaines n'auraient pas pu être plus chargées pour moi, seule rescapées digne d'intérêt : unes des magasines, émissions, reportages, interviews, talk shows, les médias britanniques m'ont ballotées dans tous les sens comme une pieuvre aux mille tentacules, qui voulait arracher chaque petit bout de sa Lara et les caser à l'écran. J'ai bien essayé de les freiner au début, "s'il vous plait, je voudrais me reposer, laissez-nous tranquilles moi et mon amie, je ne veux pas parler de ça". Ce n'est pas comme si ces gens se préoccupaient des personnes. Ils veulent des actes, des faits, et ont trouvé leur poule aux œufs d'or.

Vous connaissez Lost, la série américaine avec des naufragés sur une île déserte ? Eh bien l'Angleterre avait trouvé son Jack et sa Kate, et ceux-ci c'était des vrais de vrais. Le prétexte parfait pour inventer un tas de belles histoires. Par exemple, l'histoire de la jeune fille qui s'est battue contre une horde de loups à mains nues, l'histoire d'une tribu indigène vivant dans des ruines, l'histoire du Docteur James Whitman, mort en héros sur l'île alors qu'il gagnait du temps pour permettre à ses coéquipiers de s'échapper.

Rien de très imaginatif. Rien qui ne sorte trop d'un scénario hollywoodien. Surtout pas de science-fiction, surtout pas trop de sang ou de meurtres. "Ne choquons pas le public, c'est lui qui nous paie". Tout le monde est tellement, tellement loin du compte... Tellement attachés à leurs propres histoires qu'ils délaissent les récits des principales intéressées. "Un royaume perdu ? Une reine mystique ? Des monstres en armures ? Vous avez été victimes d'un traumatisme, mes chères enfants..."

Oui, j'ai été victime d'un traumatisme. Et ça m'a rendu plus lucide que jamais. Je me fiche qu'eux savent la vérité, tant que moi je la connais. Même si je voulais les en persuader, je ne serais rien d'autre qu'une pauvre folle sur qui le soleil a tapé un peu trop longtemps. Alors, je joue le jeu. "Oui, pratiquement tout l'équipage, dont son capitaine, a coulé lors du naufrage. Oui, les survivants restants ont passé leurs journées sur la plage à faire des feux et à former des messages de SOS, tombant les uns après les autres sous la faim et la soif. Non, personne n'a été chassé, persécuté ou sacrifié par des fanatiques. Oui, James Whitman a réagi en leader digne de confiance, permettant à ses protégés de rester en vie coûte que coûte, même s'il devait y rester.

C'est ce que vous voulez entendre ? Eh bien je vous le dis. Ça me fait pleurer de haine ou vomir de honte en cachette, mais je vous le dis. Et entre deux interviews et trois nuits blanches, je recherche. Je fais mon bout de chemin, je m'occupe de ma meilleure amie, et vous restez dans vos illusions. Chacun à sa place.

C'est pour cette raison que je me replonge, pour la énième fois, dans ce document, ce livre, cette carte. Parce que les réponses sont dedans. J'ai été amenée sur cette île pour une raison, des gens y ont laissé leurs vies pour une raison, des choses surnaturelles s'y sont déroulées sous mes yeux pour une raison. Et je suis là pour trouver laquelle.

Je m'appelle Lara Croft, je suis archéologue et non, je n'ai pas rêvé.

Mes sources documentaires ont pris une apparence nouvelle depuis que je suis rentrée. Pas parce que les récits de voyages de grands explorateurs sont devenus plus clairs et précis, ça serait trop facile. Mais parce que j'ai un nouvel outil avec lequel les retrancher : les mythes. Les légendes. Les contes. Il y a deux mois, vous auriez affirmé à la jeune Lara "Les légendes sont vraies, des choses étranges arrivent vraiment", elle vous aurait sûrement regardé de la tête aux pieds d'un air condescendant et vous aurait conseillé de réduire la consommation d'opiacés. Mais, voir la résurrection d'un souverain fantôme vieux de plusieurs siècles, ça fait revoir son point de vue sur ce genre de "détails".

Les lettres tourbillonnent devant-moi, se floutent et se mélangent. Je peux soit aller recharger le café en vitesse, soit rentrer me coucher, chaque heure de sommeil étant une heure gâchée. Peut-être que je suis en burn out. Sam me le répète dès qu'elle me voit, que j'ai une gueule horrible. Elle est pas vraiment mieux que moi, mais pour des raisons différentes. Peut-être que je devrais arrêter une petite journée, prendre des vacances, aller à la plage, au cinéma...

Je remarque alors une silhouette à côté de ma table. Je tourne la tête vers elle : c'est une des jeunes étudiantes du groupe d'à côté, qui se tient timidement à distance tout en me faisant face. Cheveux roux et longs, tâches de rousseur sur le nez, yeux verts. Je me redresse sur ma chaise, me tourne vers elle avec un sourire et dis :

- Bonjour ?

- Vous êtes Lara Croft ? répond-elle avec une admiration très mal dissimulée.

 
     Note à moi-même : remplacer les "Bonjour" ou toute autre formule de politesse par "Oui, je suis Lara Croft", ça gagnera sûrement du temps. Sans faire de réflexion pour ne pas la gêner d'avantage, j'hoche simplement la tête.

- J'admire énormément ce que vous faites, Lara ! dit-elle avec émotion.

     Accent d'Irlande du Nord. Je jette un petit regard par-dessus son épaule : le reste de son groupe nous observe sans même me le cacher, cette fois.

- Oh... Merci.

- Je vous dérange ? Vous étiez en train de travailler ?

     J'ouvre la bouche pour lui répondre que "oui, là, un peu", mais je sais au fond de moi que le moindre regard vers mes cartes me ferait saigner du nez et des oreilles. Je secoue la tête. Aussitôt, elle tire une chaise et s'assoit juste à côté de moi.

- J'ai lu beaucoup de vos interviews, continue-t-elle, le regarda brillant. Tous vos articles. Ils sont passionnants.

- "Mes articles" ? je réponds, avec un haussement de sourcil pour souligner l'ironie, vu que je n’en ai jamais publié moi-même ni eu l’occasion de le faire.

- Je fais un blog sur vous, continue-t-elle en ignorant le sarcasme. Un site où je raconte vos aventures. Vos VRAIES aventures.

     Elle me tend la main, un grand sourire aux lèvres. Je fixe ses doigts pendant une seconde, hésitante. Mon Dieu, ce que je dois avoir l'air d'un zombie... Je finis quand même par la lui serrer. Elle rougit en baissant les yeux au sol. Pourvu qu'elle ne me demande pas d'autographe...

- Je me demandais si je pouvais vous posez quelques questions, sur votre voyage et sur vos...

- Excuse-moi, comment tu t'appelles ? je la coupe.

     Elle rougit de plus belle.

- Oh, euh... Caroline. Caroline Brooke.

- Tutoie-moi, Caroline. Par pitié.

Elle est tellement rouge que je vois presque les capillaires sous sa peau. J'ai un peu de remords à la mettre mal à l'aise comme ça, elle a l'air plutôt gentille. Qu'elle blâme le thermos de café vide.

- Je... J'aimerais beaucoup que v... tu me parles de ce qu'il s'est passé, là-bas. Pour faire une source officielle, que tout le monde sache la vérité.

Je soupire, à voix haute :

- J'ai déjà essayé de le dire au monde. Il n'est pas très réceptif.

- Moi, je vous crois.

Le tutoiement n'aura pas duré très longtemps, décidément.

- C'est très gentil de ta part, Caroline. Vraiment.

Mon portable vibre doucement, posé sur une pile de papiers. Caroline sursaute comme si elle venait de se souvenir de quelque chose d'important, plonge une main dans sa poche de jean et en sors un bout de papier et un petit crayon.

- Je vous écris l'adresse de mon site et mon adresse mail. Envoyez-moi un message n'importe quand, quand vous êtes libre. Je veux pas vous presser.

Elle me tend le bout de papier froissé avec un grand sourire. Je le prends et le regarde un instant. Si je le note pas quelque part, je risque de totalement oublier de la recontacter. Ça me ferait mal de froisser quelqu'un qui écoute vraiment ce que je dis.

- Ok... Merci bien.

Mon portable vibre à nouveau. Caroline le remarque, et se lève de sa chaise en hâte. Elle me tend à nouveau la main. Vous avez déjà essayé de jouer au badminton en étant sous morphine ? Moi non, mais c'est exactement ce qu'on doit ressentir en discutant avec cette fille dans mon état actuel : elle bouge et parle beaucoup trop vite.

- Vous avez beaucoup de monde derrière-vous, Lara, me dit-elle pendant qu'on échange une poignée de main. Vous ne le savez pas encore, mais c'est vrai.

Avant que je ne puisse répondre le moindre mot, elle tourne les talons et rejoint ses amis, qui s'empressent de lui demander les détails de la conversation. Je continue de les fixer, ses mots résonnant dans ma tête. J'ai beaucoup de monde derrière-moi. Malgré tout le respect que je te dois, Caroline, permets-moi d'en douter.

Mon portable vibre une troisième fois. Je sursaute et tends la main vers lui en lâchant un "Putain, mais quoi encore ?". Sur l'écran, trois messages de Sam.

"Passe chez moi avant de rentrer."

"Et passe chercher des lasagnes sur le chemin."

"Il faut vraiment que je te parle."
 
 

Voilà ! Oh, petite précision : je suis habitué à faire des romans à la troisième personne et au passé. Donc c'est possible qu'il y ait quelques problèmes d'adaptation des temps, quelques passés simples qui trainent par-ci par-là, n'hésitez pas à me le faire remarquer !

Jack, j'ai lu ton premier chapitre.

J'adore , mais n'ai plus le temps de lire la suite.

J'adore vraiment, je continue tout à l'heure

moi aussi pas le temps de tout lire et en plus j'ai beaucoup de mal a lire de grand texte sur pc pourtant je lis regulierement des livre mais j'ai beaucoup de mal sur écran mais le peu que j'en ai lu ca a l'air plutot pas mal

Ok, merci.

PS : tout ça c'est un seul chapitre. D'habitude je peux mettre plus de texte par message mais là je sais pas pourquoi, j'ai été obligé de couper en 4.

christ Ben c'est l'occasion d'apprendre, alors.

oui je prefere un bon vieux livre en papier installer confortablement sur mon canapé ou dans mon lit
et oui les nouvelle technologie on des limite pour un vieux comme moi

Roooh...

Très bon
La suite !

Yay, merci !

La suite ça va être un peu compliqué avant le week-end prochain (exams obligent), mais quand je serai en vacs je pourrais en faire plus souvent.

Me revoila avec mon gsm. Je continue vite ma lecture car j'adore. Je lis vite le 2e chapitre.
T'inquiete pas pour continuer car j'adore les romans. Ca fait partie de mes passe temps préféré.
Bon je lis le 2e chapitre en vitesse car pas le temps mais je voulais voir la suite. Ca va etre chiant sur mon gsm mais pas grave

Bon ben j'ai pas pu m'empêcher de terminer en entier.
J'adore vraiment et veux la suite au plus vite. En tout cas tu ferais un bon ecrivain et je ne plaisante pas. A mon prochain chapitre.

Merci beaucoup !

belle ecriture. performance convenable. par contre evite les foritures descriptives a chaque dialogue. cela perturbe le rythme grammaticale..et l'intensité dramatique du dialogue s'en voit atteinte, car elle perd de sa superbe, alors que tu as une belle fougue littéraire. mons avis car c'est ce que tu veux...: 「「les plus」」une belle intensité, une histoire en crescendo qui donne envie de lire et d'apprécier au mieux tes qualités d'écrivain. 「「les moins」」la lourdeur parfois inutile de certains passage dû a une description pompeuse et opaque perturbant le rythme du texte. une belle prise de risque parfois maladroite. pas la peine de faire un long texte. raconter peu cest raconter bien. et cela clarifie la perspective littéraire du lecteur. ne fais pas de maupassant je t'en supplie. saches adapter aussi un discours moderne. dans le sens ou tes phrases sont longues souvent en manquent de temps et d'atténuation. phrases courtes et élancées sont aussi l'idéal pour une meilleure rythmique narrative. tu voulais une critique j'espère qu'elle aura pu être constructive pour tes prochains chapitres. je continuerais s'il le faut car j'ai vraiment accroché a ton histoire et vivement qu'elle se poursuive...penses a tout cela. et continue!!
merci.
V.

si..des mots des fois mal choisis. par exemple "pas", au début, non adapté. 'plus' aurait été plus convenable. fais attention a la grammaticalité, et au vocabulaire. en tout cas encore une fois continue, car c'est aussi ce qui te fait améliorer et gagner en expérience. je serais déçu de ne pas connaître cette suite autour de mon perso préféré.

Moi aussi je veux connaitre la suite, car j'ai vraiment accroché.
Par contre, je ne suis pas d'accord, il faut du descriptif pour bien rentrer dans l'histoire, pour l'imaginer au mieux la scène à chaque fois.

J'ai l'habitude de lire des romans de 1000 pages, et bourrés de descriptifs ( Anita Blake, Hunger games, le journal d'un Vampire ), et je trouve qu'au contraire cette histoire-ci est vraiment bien racontée et me donne autant envie de connaitre la suite que les romans que je lis.

Surtout qu'ici c'est avec mon personnage de jeu vidéo préféré

justement cest lourd, répétitif et bourratif. ce que je veux dire et que tu ne comprends pas cest que trop de descriptions nuisent a la rythmique et a la contextualité. il peut y avoir une grosse description lorsqu'il y a un aspevt filmique a celle-ci. or ici dans le style d'écriture cest ce qu'il manque comme dans beaucoup de littératire jeunesse comme hunger games, tara dunka, révélations, et d'autres que tu as pu me citer. je ne juge pas ce que tu lis car il y a trop peu de gens qui lisent...et pour cela continue, c'est vraiment important de lire et que tu t'enfiles des pavés a ton age. maintenant, pars sur des lectures plus scénarisées, comme légend, orcs, ou bien meme level 25 si tu aimes l'héroic, mystere et aventure...car les description sont plus scénarisé, je veux dire par la plus interprétative d'une transcription filmique. ensuite effectivement je comprends maintenant pourquoi j'en viens a juger. je suis desolé. je n'avais pas vu l'age qu'avait jack. vraiment continue et approfondi ton style. car il y a vraiment un beau niveau. mais je t'en supplie ne tombe pas dans la facilité de pondre des rouleaux de PQ littéraire juste parce que cela plaît. pour ma part je suis déçu d'avoir fait ce genre d'erreur. pondre un livre que je n'aime pas mais qui marche auprès de 15-20..c'est dure car mon editeur le veut bien et attend cela. c'est pourquoi je te le dis..les pavés a suites ne sont pas de la littérature a proprement parlé. ce sont des fictions qui plaisent car elles appartiennent a une mode relatif au jeunisme actuelle. mais de la a dire qu'elles sont bien ecrites...bref. tout le monde il a tord et tout le monde il a raison. c'est un point de vue que je partage avec de nombreuses personnes tt comme ton point de vue est relatif a de nombreuses personnes egalement. tu me diras que ces divers bouquins sont de la littérature, qu'il y a une exemplarité littéraire absolue, et que les descriptions sont tout a fait appropriées. c'est ton point de vue. maintenant..apprécions le roman et apportes plutôt des remarques qui permettraient a jack d'améliorer au mieux son histoire et de renforcé la virtuosité du texte. car oui, moi aussi je trouve cela bien..mais si tu n'entends pas de critique constructive tu n'avances pas...et c'est important pour s'améliorer, tout comme j'ai pu aussi en recevoir...cela m'a permis d'avancer...
cordialement.