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Sujet : [Jeu] Le Meilleur écrivain 3.0

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le-gros-touite le-gros-touite
MP
Niveau 10
09 mars 2014 à 19:21:44

"Master" Depuis quand Jet est un master et pas moi :snif:

Je me barre :snif2:

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
23 mars 2014 à 12:27:54

:gba: Keep Walking :gba:

Aujourd’hui, je me suis levé, et j’ai voulu porter un regard nouveau sur le monde. Pas comme si j’apprenais ou si je découvrais, pas comme si j’arrêtais de faire semblant. Regarder autour de soi. Voir les hommes, et plus loin. Ne pas s’arrêter aux barrières de la perception. Aujourd’hui, je me suis levé, et je me suis posé cette question : Où en sommes-nous ?
Alors j’ai observé.

Par terre j’ai vu les feuilles mortes soulevées par de petites bourrasques de vent, et accompagnées par des emballages plastique, dissimulant vicieusement les crottes de chiens. Le sol n’était qu’un goudron sale d’où ne partiraient jamais les traces rondes et découlant de teintes de noires laissées par de vieux chewing-gum. À quelque pas de là se trouvait encore une marque humide de pisse, pas sur que celle ci vienne d’un chien.

Ça m’a laissé un sentiment âpre, je ne trouvais pas ça beau à voir. J’ai relevé la tête, et je l’ai tournée, pour voir les hommes pressés, les gens qui flânent et les chiens errants. De l’autre coté, j’ai vu les travailleurs, les touristes et les clochards.

L’homme pressé est en costard cravate. Il peut avoir une mallette pendant au bout de son bras. Il à des lunettes fines, marche en faisant de grands pas, ne se soucie pas de ce qui l’entoure. Il avance, il sait où il va. Et il ne ralenti pas. Son visage n’est pas expressif. Ou peut être un sentiment d’agacement. Cet homme, il gagne de l’argent.
Le travailleur a le visage aussi morne que l’homme pressé. Lui, il porte une tenue d’éboueur, ou bien un gilet jaune fluorescent. Il marche lentement, traînant un chariot, un balai, une pince, un sac. Et dès qu’il voit quelques chose qui sort des normes qu’on lui a dictées, il s’en va, et fait en sorte que l’anomalies soit éliminée. Il n’est pas satisfait du travail accomplis. Mais il gagne sa vie.

Ceux qui flânent n’y font pas attention, ils passent à coté de lui, l’évitent et continuent leurs marches. Ils marchent d’un pas mesuré, pas trop vite, ils ne savent pas où ils vont. Mais ce n’est pas la destination qui les intéresse, c’et le voyage. Malheureusement pour eux, leurs voyages à tous sont similaires. Ils ont beau aller plus loin, changer de directions, c’est toujours le même paysage. Et ils se disent que demain, ils verront mieux, plus beau, plus grand. Ils vont juste refaire le pâté de maison encore une fois…
Le touriste à plus de chance. Lui ne connaît pas encore ce paysage. Quand il parcourt pour la première fois ces rues, il sourit, le visage à moitié cacher par un appareil photo. Il passera son séjour en voyant à travers, et sera heureux de conserver des images de ce voyage. Il le partagera avec d’autres. Mais au final, ne fait-il pas que faire le tour d’un autre pâté de maison que le sien ?

Le chien errant ressemble aux flâneurs. Mais lui à un petit air de maître des lieux. Peut être n’est-il jamais venu ici, mais il est en confiance. Il avance comme si rien ne pouvait l’inquiéter, que cet endroit n’avait d’autre raison d’exister qu’être là sous ses pattes, à ce moment. Marcherait-il encore un peu qu’il en oublierait par où il vient de passer, et tout ce qu’il à pu voir. Il avance, car il ne peut pas être immobile.
Le clochard. Les clochards, en groupes, oubliant leurs peines avec d’autres clochards, avec de l’alcool dans la mesure du possible. Ils ne sont plus pressés. Ils n’ont pas de but. Le pâté de maison, ils l’ont vu, trop de fois. Et ils ne veulent pas voir de nouvelles choses, de peur de voir que le quartier est encore plus moche qu’ils ne le croyaient. Ils ne veulent plus avancer. Ils sont las d’avancer sur ce bas-côté crasseux. Ils n’attendent même pas, ils se sont assis, et stagnent sur un bout de trottoir, parmi les déchets, les crottes et la pisse.

J’ai porté mon regard sur le monde que je voyais, et j’ai pu observer tant de chose qui d’habitude ne faisaient que glisser sous mes yeux, à la vitesse de mes pas arpentant le quartier. Mais j’étais immobile aujourd’hui. Ainsi c’était cela la Vie. Le quartier, le pâté de maison, la rue, le trottoir. Il n’est pas nécessaire d’être bon en calcul pour voir que les points négatifs font de l’ombre au bons. Et dans tout ça, moi ? Ne suis-je que l’observateur conscient de la médiocrité de ce quartier, impuissant face à la déchéance ? Mon parcours sera celui d’un homme pressé, d’un touriste, d’un flâneur ? Un chien peut être. Je suis bien partis pour finir clochard. Le clochard, c’est celui qui voit, et qui détourne le regard. Désabusé, harassé, finis. Le clochard à vu que ça ne valait pas la peine de continuer.

Et si… Et si il y avait d’autre type de personne dans ce quartier ? Pour qui le trottoir sale n’est pas un bout de goudron souillé pour l’éternité ? Une chose que l’on pourrait nettoyer, gratter, pour découvrir en dessous de l’herbe grasse ? Découvrir que rien n’est immuable, que tout ce qui existe peut changer. Est-il possible qu’une personne comme cela existe ?

Et comme pour répondre, une petite fille passe en courant à coté de moi, poursuivie par un petit garçon hilare. Ils ont la tête pointée vers le haut, vers le ciel. Je n’avais pas pensé à regarder par là… Ils regardent un oiseau, filant de branche en branche, et les deux gosses rient de le voir glisser dans l’air. Des Rêveurs. Le nom s’impose à moi. C’est la première fois que j’en vois, ils doivent être si peu nombreux…

Si on se laisse abattre par ce que l’on voit ici bas, autour de nous, on ne peut rejoindre que quelque type d’hommes, et rester à la place dans laquelle non s’est enfermés nous même. Où alors, on regarde vers le ciel, se disant que, si on veut que ça aille mieux, il faut y mette du siens. Se créer le quartier idéal, et œuvrer pour.

Aujourd’hui, j’ai repris mon chemin à travers le quartier, la tête dans les nuages.

]Portal2[ ]Portal2[
MP
Niveau 37
24 mars 2014 à 21:53:58

Le récit suivant n'est pas raconté de manière chronologique.

Elle
Démence poétique

https://www.youtube.com/watch?v=4Tr0otuiQuU

« Regardes ! Les oiseaux ! Qu'est-ce qu'ils sont beaux ! »

__

-Par pité, laisses-moi.

Il s'avançait à genoux, laissant une traînée de sang par où il passait.

-Je te le supplie... Ne me tue pas...

Des larmes coulaient tout le long de son visage.

-Je ne volerai plus jamais je te l'assure...

Je pointais mon arme entre ses yeux.

-Oh non par pité ! Par pité laisses-moi en paix. Dit-il juste avant de fondre en sanglots. P...par pitié. Balbutia-il.

La balle traversa son crâne, repeignant le mur et ma veste. Froidement et discrètement grâce à un pistolet silencieux. J'avalais un grand bol d'air avant de tout nettoyer et repartir.
Un criminel de moins.

__

J'adorais courir le matin. Je me levais et faisais mon jogging en sentant l'air froid pénétrer mes poumons. J'adorais courir. J'adorais. J'adorais vivre.
__

Il n'y a qu'un doigt entre le paradis et l'enfer. Ils sont à l'extrême opposé l'un de l'autre, mais sont aussi tellement proches... Mon esprit est emprisonné dans la souffrance. Ces barreaux invisibles m'y retiennent et me tuent à petit feu.
__

C'était une femme d'une trentaine d'années. Elle ferma les yeux et dit, pendant qu'une larme coulait le long de son visage :

-Pourquoi fais-tu tant de mal ? Tu iras en enfer pour ce que tu as fait.

-Peu importe ou j'irai, je connais pas mal de personnes des deux côtés...

Un silence régna dans la pièce quelques instants.

-Avant tout, saches que je fais ça pour le bien de tous. Ajoutais-je. Veux-tu quelque chose avant de mourir ?

-Pourquoi faire ?! Je vais crever alors fais vite ! Cria-t-elle avant de fondre en sanglots.

-La mort se doit d'être belle, ironique ou dramatique, mais en aucun cas elle ne doit être anodine.

Dans un silence poétique, la trentenaire s'éteignit

__

On n'a pas toujours le choix ; moi je l'ai eu. J'ai conclu un pacte avec le démon. Un choix assez difficile à faire. Un pacte qui me ferait souffrir davantage, et qui surtout ferait souffrir d'autres individus. Mais j'obtenais en retour la clé qui me permettrait d'ouvrir la porte de sortie. Le seul moyen pour quitter cet enfer. J'ai affronté la souffrance comme je le pouvais. Mais mon épuisement mental a eu le dessus. J'ai utilisé les derniers restes de mon âme afin de réparer les choses. De trouver la voie du paradis, du moins un paradis pour moi.

__

« Et bien... Par où commencer ? Aujourd'hui je décide de mettre mes pensées à l'écrit car cela fait exactement 5 ans. Beaucoup de choses se sont passées depuis ce temps. Beaucoup de choses ont changé...
A l'heure ou j'écris ces mots ma montre indique qu'il est 11h25 du matin, il est mardi et il pleut.
Durant ces 5 dernières années, ma vie a été plus triste et plus étrange que jamais. J'ai fait tellement de choses, à tel point que je ne sais plus où j'en suis.
Jamais plus je n'ai vécu de moments simples ou l'on rit et discute seulement. Le passé me rattrape toujours et à chaque fois que je vais exprimer ne serais-ce qu'un léger sourire, il me rappelle tant de choses. Chaque moment, chaque instant, chaque millième de seconde de bonheur est spécial. Mais on ne s'en rend compte qu'après avoir eu des expériences plus tristes. Plus la mort fait partie de mon quotidien, plus je me rends compte que la vie est belle...
Paradoxe, n'est-ce pas ? »

__

Je me sentais devenir... fou. Bien que mes idées étaient très claires et mes actes réfléchis, le fait de me balader la nuit, une arme cachée dans la poche intérieure de ma veste, à la recherche d'un crime. Quelqu'un qui mériterait une punition. Mais je n'ai pas cessé de le faire. Les fous sont des incompris ; même avec des arguments.

__

C'était un mardi ensoleillé. Nous étions assis sur l'herbe en plein milieu du parc. Elle ne pouvait pas quitter mon regard. Son sourire angélique me fascinait. Si angélique qu'il en devenait presque démoniaque. Elle était tellement belle...

-Regardes ! Dit-elle en se tournant vers le ciel.

Je détournais mon regard de ses lèvres quelques instants et avant de pouvoir lui demander ce qu'il fallait regarder, elle dit d'un ton envoûté :

-Ils sont magnifiques, ces oiseaux ! Ils volent avec tant de liberté. Leurs plumes se frottant à l'air semblent si légères. Si je devais choisir quel animal je serais, ça ne fait aucun doute que je choisirais d'être un oiseau. Prendre mon envol quand bon me semble...

]Portal2[ ]Portal2[
MP
Niveau 37
24 mars 2014 à 21:54:32

__

La nuit ou j'ai compris que chacun de mes actes serait suspect. J'enlevais ma veste, mes chaussures et m'asseyais devant la télé. Voilà ce que je faisais tous les soirs quand je rentrais chez moi. Mais ce soir là a été différent.

« De récents meurtres ont interpellé la police. Bien que le type d'individus varie, la façon d'agir reste à peu près semblable. Les hommes et femmes décèdent tous dans une position qui invoque la pitié, comme si l'assassin leur laissait le temps de se rendre compte qu'ils allaient mourir. De plus, pour tous les meurtres qui semblent liés, il y a la même arme silencieuse qui a servi. Pour la police, il n'y a plus aucun doute : il y a bel et bien un tueur en série en liberté. Ce sont des crimes prémédités. Le commissaire a annoncé qu'ils seraient beaucoup plus attentifs à tout ce qui se passe et espère arrêter ce fou le plus vite possible.

-Nous examinons chaque indice. N'importe quoi qui pourrait nous mener jusqu'à lui. Il est malin, mais nous réussirons tôt ou tard par le trouver. Les tueurs en série commettent tous une erreur, à un moment ou un autre. »

Je me sentais incompris. J'avais des raisons d'agir ainsi. Et chaque personne assassinée n'était pas choisie au hasard. Les gens me prendraient pour un fou, mais j'étais très conscient de mes actes. Tout était réfléchi...
Comment être juste ? Comment faire comprendre aux autres que j'agissais avec pour objectif un lendemain plus juste ?

__

La démence a pris possession de mon corps et esprit. J'ai subi une transformation psychologique tout en étant très conscient. J'avais de nouveaux objectifs, une nouvelle manière de penser.

__

On roulait de nuit. Nous revenions d'une fête. Elle dormait, la tête contre la vitre. J'avais un peu d'alcool dans le sang, mais rien m'empêchant de conduire. Le silence m'endormait presque, mais je fixais bien la route et était très concentré. Presque trop. Je me suis arrêté quelques minutes sur une station essence vide pour faire le plein d'essence. Je tremblais en remplissant le réservoir. Le vent sec s'abattait sur ma peau. Je courais vers l'intérieur de la voiture pour reprendre la route. Aussitôt repartit, il ne fallut pas deux minutes pour que tout bascule. Si je ne m'étais pas arrêté. Si j'avais roulé plus vite. Si j'étais resté plus longtemps à la station. Ce ne fut qu'une question de secondes. Quelques secondes qui ont gâchées ma vie. Qui en ont détruit d'autres.

--

J'avais la mission de nettoyer le monde. Retirer tous les violeurs, bandits, assassins. J'ai voulu faire de notre monde un paradis, mais seul le Diable est venu me voir. Tout s'est transformé en enfer...
J'ai essayé de rendre justice à ceux qui en avaient besoin ; je ne pense pas avoir réussi jusqu'à présent. J'ai compris que je n'ai fait qu'empirer les choses. J'ai emprunté diverses routes et aucune ne m'a conduit au bon endroit. Il ne me reste plus qu'une.

--

Je roulais toujours à la même vitesse, avec le même et faible taux d'alcool dans le sang, avec le même silence et la même concentration. Mais brusquement, un cerf traversa la route et j'ai appuyé de toute ma force sur la pédale de frein. Elle aurait été projetée sur le pare-brise si sa ceinture n'était pas attachée. Mais j'ai perdu le contrôle du véhicule, nous faisant déraper et éjecter à l'extérieur de la route pour terminer la tête à l'envers après avoir fait quelques tonneaux.
Je criais. Je l'appelais. Mais seule ma voix s'entendait...
Je voyais encore flou, mais je pouvais voir son sang suinter sur la vitre latérale. Elle ne bougeait plus. Je la secouais mais elle semblait pas réagir. Comme si elle ne s'était jamais réveillée.
Son visage inexpressif voulait tout dire.

__

J'ai perdu mes repères. J'ai essayé de retrouver le chemin duquel je m'étais égaré. En vain...
J'ai alors essayé d'aider les autres. De faire en sorte que plus aucune injustice ne nous détruise.

__

C'était une nuit sombre. J'étais assis à un banc en buvant un coca quand soudain un homme habillé d'un blouson en cuir entra dans le night-shop au coin de la rue. Sa démarche rapide et sûre avait l'air suspecte. Inconsciemment, je l'ai suivi du regard. Je me suis levé et avant d'arriver à hauteur du night-shop j'entendis un cri étouffé par le bruit d'une arme à feu. L'homme au blouson noir sortit en courant. Il arrivait à moi tandis que je continuais à marcher lentement, juste en observant. A la seconde ou il se retrouva dans le même mètre carré que moi, je sortis mon arme. Un deuxième coup de feu retentit dans la rue. Cette fois-ci, venant de mon pistolet. Je continuais mon chemin calmement. Deux coups de feux. Deux morts. Un innocent. Un criminel. 50% d'injustice. 50% de justice.

__

Mon âme est déjà morte. Seul mon corps est encore vivant. Le 357 Magnum entre mes mains est la clé. Je pourrais enfin abandonner ce monde et trouver le paradis. Je n'aurais jamais cru autant désirer quitter cet enfer pour m'engloutir dans les entrailles de l'univers. Personne ne croirait en cela. Vouloir ne jamais être né, être oublié, partir sans être retenu.

Le soleil se lève et illumine les sapins longeant la route humide à cause de cette nuit pluvieuse. Les nuages s'effacent pour laisser place à un ciel vide, tel un nouveau début, un recommencement.

Mon regard est attiré par un bel oiseau survolant les cieux, battant ses longues ailes blanches. Je l'observe percer l'air librement et sans réel but. Il me fait penser à elle... Elle aimait les oiseaux.

FIN

Que chacun vive sa mort telle une poésie.

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
27 mars 2014 à 20:25:39

Hey tous, je suis de retour! :noel:

Après ces quelques jours d'absence, je vois que ça a pas tellement bougé, et il n'y a même pas assez de textes pour voter. Pas de vaicqueur pour cette édition, on votera en mp.

Mais avant, j'aimerais qu'on commente les deux textes, histoires que notre travail nous donne quelques retours :hap:

Donc si vous avez des idées de thèmes, proposez :hap:

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
30 mars 2014 à 23:32:00

Bon, je dois avouer que ton texte est très déconcertant, tu utilise un style assez étonnant, on un qu'un très mince fil conducteur, et tu le dis, il n'y a pas vraiment de chronologie. Je pense que tu as surtout essayer de faire passer des sentiments plutôt que des images. En soi, si c'était bel et bien ton intention, c'est une approche louable, mais beaucoup plus difficile à manier. Je trouve ça dommage car j'ai eu l'impression de me perdre dans ton texte. Mais pas comme on se perdrait dans l'histoire, mais dans la compréhension de celle ci.

Tu enchaine sensation, pensées et action. On dirait que tu veut nous pousser à la réflexion par ces phases, et que tu assouvis des pulsion avec l'action, mettant en opposé corps et esprit, comme tu oppose au début enfer et paradis, tout en insistant sur leurs différence et leur proximité. Et tu mets les phase paragraphe après paragraphe, très proches les uns des autres, et pourtant different. Je sais pas si c'est moi qui me fait des films, mais je trouve ça bien fait. :ok:

"Tu iras en enfer pour ce que tu as fait.

-Peu importe ou j'irai, je connais pas mal de personnes des deux côtés... "

Cette Punch Line! :bave:

L'histoire m'échappe un peu, tu fais une sorte de vengeur, ou d'homme de main du diable à la ghost rider, ou un gars détraqué en mission d'épuration... J'ai pas trop saisis, le style m'a vraiment déstabilisé en fait.

Désolé de pas m'attarder sur l'histoire, mais je l'ai mal comprise, donc je préfère ne pas m’alourdir la dessus.

Par contre, ton écriture et tes phrases bien trouvées en font un texte agréable à lire, mais je n'y ai pas trouvé ce qui me coupe le souffle dans certain de tes textes.

]Portal2[ ]Portal2[
MP
Niveau 37
31 mars 2014 à 21:43:09

Merci pour cette critique :)

Mon objectif était justement que le lecteur se perde dans l'histoire, mais que au fur et à mesure de la lecture, il comprenne petit à petit qui est le personnage, même s'il y a beaucoup de flou autour de lui, et ce qui le motive :) Mais après relecture je trouve que c'est moins agréable à lire qu'un texte "normal". En tout cas c'était mon objectif de faire un texte flou dans lequel on se perd. Je sais pas si c'est raté ou pas, en tout cas je sais qu'il est possible de faire mieux et surtout, c'était un essai, donc un apprentissage :-)

"
Tu enchaine sensation, pensées et action. On dirait que tu veut nous pousser à la réflexion par ces phases, et que tu assouvis des pulsion avec l'action, mettant en opposé corps et esprit, comme tu oppose au début enfer et paradis, tout en insistant sur leurs différence et leur proximité. Et tu mets les phase paragraphe après paragraphe, très proches les uns des autres, et pourtant different. Je sais pas si c'est moi qui me fait des films, mais je trouve ça bien fait. :ok: "

:d) C'est pas pour me la péter, mais oui, c'est ça :noel: mais bon, la manière dont tu le dis sonne très philosophique et complexe :rire2:

"
"Tu iras en enfer pour ce que tu as fait.

-Peu importe ou j'irai, je connais pas mal de personnes des deux côtés... "

Cette Punch Line! :bave: "

:d) J'avoue, moi aussi je l'adore :fier:

"Désolé de pas m'attarder sur l'histoire, mais je l'ai mal comprise, donc je préfère ne pas m’alourdir la dessus. "

:d) C'est un gars qui perd sa compagne dans un accident de voiture. Ce n'est ni sa faute, ni la faute à personne. Cela se résume en une simple injustice. Il ne peut s'en prendre à personne et se perd. Détruit, il devient fou et essaye de supprimer toutes les injustices du monde... tout en sachant que c'est impossible et qu'il est lui même injuste. Alors que son but n'est pas mauvais, il est, et est vu, comme un tueur en série dangereux. Il finit par s'y perdre et est psychologiquement détruit, tandis que son corps n'est que chaire et os. Rien de plus. Plus d'âme en faite. Il se rend compte qu'il a créé son propre enfer et la voie vers le paradis se trouve dans la mort.
D'ailleurs la notion enfer/paradis revient plusieurs fois, comme par exemple avant la mort de sa compagne, le paradis, et après, l'enfer :) cela pousse à réfléxion notemment par le fait que tout peut basculer.

"Par contre, ton écriture et tes phrases bien trouvées en font un texte agréable à lire, mais je n'y ai pas trouvé ce qui me coupe le souffle dans certain de tes textes."

:d) Moi même je ne trouve pas ce texte vraiment très réussi. Mais finalement, l'objectif est rempli. Il n'est pas super mais il m'a permis d'apprendre. Par contre, j'aime la façon dont c'est écrit; assez poétique je trouve. Mais bon, pour le prochain texte je reviendrai dans mon style et dans le type d'histoire que j'aime :) (parce-que l'histoire de ce récit n'était qu'un support pour pouvoir raconter des évenements dans le désordre. Je peux et j'ai fait beaucoup mieux )

__

Je critiquerai ton texte plus tard car là j'ai pas vraiment le temps (j'allais le faire mais vu le temps que j'ai pris pour ce pavé :noel: )

Et pour le prochain thème, qui est chaud pour "liberté"? :-)

Sora Sora
MP
Niveau 10
31 mars 2014 à 21:44:16

Je lis vos textes d'ici deux trois jours les mecs, j'suis certaine que j'aurais plein de chose à dire :noel:

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
31 mars 2014 à 22:43:20

On attends ça avec impatience Sora :noel:

Alors pour le coup, je suis fier de moi, j'ai cru que je 'étais chauffé, à imaginer quelque chose, alors que en fait c'était ta volonté. Y a pas à être modeste, de un ça veut dire que tu as suffisamment bien écrit pour que ça se remarque sans sauter aux yeux, et moi j'ai réussis à le voir. Victoire pour chacun! :noel:

Et liberté me plait énormément :oui:

]Portal2[ ]Portal2[
MP
Niveau 37
01 avril 2014 à 20:12:00

(avant toute chose, je ne mettrai pas de smiley car comme vous le savez nous sommes le 1er Avril et JV.COM nous emmerde avec leur petit smiley qui se rajoute à la place de celui qu'on voulait mettre: :fish: )

Jet --> Comme toujours... tes textes m'impressionnent. Celui encore plus! Je ne me souviens plus trop des autres mais en tout cas je suis sur d'une chose, celui-ci est sans aucun doute à classer parmi les meilleurs. Je ne m'avance pas trop, mais j'ai même envie de dire que c'est le meilleur.
Je parlerai pas de l'écriture, du style, etc. , car comme toujours elle est excelente. Je parlerai plutôt de l'histoire. C'est typiquement ce que j'aime. Un gars qui réfléchit et qui décrit ce qu'il observe. C'est le genre de truc que j'aurais pu pondre! On dirait que t'es allé fouiller dans mon imagination pour ressortir ce texte. C'est d'ailleurs pour ça que je l'ai aimé je pense.
Le protagoniste désigne et décrit les hommes et femmes de manière objective et réaliste, et on se rend compte à quel point nous sommes débiles. (je veux dire par là le fait de marcher tout droit, tel un robot, avec un objectif et c'est tout.)
C'est facile à lire et surtout agréable. Il est comme je les aime: simple et intelligent.
Un grand bravo!

"Aujourd’hui, j’ai repris mon chemin à travers le quartier, la tête dans les nuages. "

J'adore cette conclusion grâce à son double-sens. Le gars a la tête dans les nuages, il est donc distrait, mais cela rejoint aussi le fait qu'il regarde vers le ciel

Jet_lag Jet_lag
MP
Niveau 10
04 avril 2014 à 23:31:58

Portal, ça me fait beaucoup plaisir ce que tu dis, et ça me surprends plutôt. Car j'ai fais ce texte avec un style que je n'avais pas encore utilisé. Et selon moi, il était plutôt raté, dans le sens où je l'avais fait sans trop penser à ce que j'écrivais. Ce que je veut dire, c'est que j'écrivais sans vraiment de fil conducteur, ou du moins pas ceux que j'ai l'habitude d'utiliser.

Mais à priori ça t'as plu, et pas qu'un peu car tu le pose en best position de mes textes. ça me fait plaisir, car tu me montre que je peux encore m'améliorer, que je stagne pas p dasn l'écriture, merci :oui:

Oui, j'aime bien finir mes texte avec une phrase à double sens :fier:

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