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Sujet : [Fic]Le monde désolé

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Pluton3366 Pluton3366
MP
Niveau 5
27 janvier 2013 à 22:54:02

Voilà je poste ma fic, dites-moi ce que vous en pensez :)

https://www.noelshack.com/2013-04-1359323623-411422lemondedsol2.png

Chapitre premier : Le commencement

Nous sommes le 1er février 1990.
Je me trouvais dans ma maison de campagne, non loin de Montpellier. L'air était pur et le ciel bleu. Le crachin glacial nous rappelait qu'on était en février.
Je commençais à allumer un feu dans l'âtre lorsque je m'aperçu qu'il n'y avait plus de bois. Je partis donc en chercher.
Alors que je marchais dehors, j'entendis un coup de feu, au loin. Je me suis dis que cela devait probablement être des chasseurs, mais d'autre détonations se firent entendre. Puis, plus rien.
Le soleil commençait à pâlir, et je demandais qui serait assez fou pour aller chasser alors qu'il faisait nuit. Je cru entendre des cris, comme si quelqu'un était torturé. Je me suis dis que c'était certainement un animal ou juste le vent qui sifflait entre les branches.

Il était près de minuit. J'avais sommeil, je débarrassais donc la table, éteignis la télé et mis une grosse bûche dans le foyer, puis je partis me coucher.

Cette nuit-là, je fis de terribles cauchemars. Je finis par me réveiller au milieu de la nuit. Il devait être trois heures, peut-être quatre. Je descendis les marches en direction de ma cuisine, pour y prendre de quoi me rendormir. Alors que j'ouvrais un placard, j'entendis des bruits bizarres, en provenance de l'extérieur. On aurait dit qu'un animal tentait de rentrer chez moi, en grattant la porte.
La bête, ou quoi que ce soit d'autre, finit par comprendre que la porte était trop solide pour elle.
Je me recouchais en pensant que ce n'était certainement qu'une bête des bois, cherchant un logis pour la nuit.

Une heure plus tard, je fus réveillé par un bruit terrifiant. On montait les marches. Je fus saisis de frayeur, ne sachant que faire.
Alors que j'était pétrifié dans mon lis, les bruits de pas s'intensifiaient.
Je m'empressais de fermer la porte à double tour, et saisis la première chose qui me permettrait de me défendre contre un intrus : une barre de bois, qui s'était détachée d'une armoire.

Les bruits de pas s'étaient arrêtés. Pendant quelques secondes, je cru qu'il était parti ou que j'avais rêvé. Mais tout à coup, on donnait des grands coups dans la porte.
Une odeur de putréfaction commençait à emplir la pièce. La porte en bois n'allait pas tenir bien longtemps. Je me tenais là, prêt à en découdre avec cet intrus.
La porte céda. La chose entra dans la chambre. Je lui assenai un coup en pleine tête.

La lumière venait de révéler la véritable identité de l'intrus : c'était mon voisin. Tout du moins, c'est ce qu'il était avant.
J'étais stupéfait. Le coup que je lui avais porté ne semblait pas l'avoir affaiblit. La chose semblait très résistante.
L’odeur était à présent insupportable : on aurait dit du hareng fermenté tempé dans de la pisse de chat.
La chose se jeta sur moi, en poussant un cri effroyable. Je réussi à l'esquiver, de peu. Je couru vers la sortie, en dévalant les marches.
Mon ancien voisin me suivais, à la trace. Il semblait pouvoir me retrouver grâce à mon odeur, comme si j'étais un morceau de viande.

Je parvins enfin à m'enfermer dans la cave. La porte n'était guerre plus résistante que celle de ma chambre. Je cherchais un outil qui pourrait m'aider à terrasser ce monstre. Je pris une hache, posée sur un établi. Je m'approchai de la porte. Je levai la hache, et la planta de toutes mes forces dans la porte. Elle passa au travers, puis vint se loger dans quelque chose de plus mou. Un bruit épouvantable retentit : je lui avais fendu la tête.

Je restais là, pendant plusieurs minutes. J'essayais de comprendre ce qui venait de se passer. Du sang commençait à couler sous la porte, ruisselant dans l'escalier en béton de la cave.
Je pris finalement la décision de retourner en haut, armé d'une faue. Je dégageais ce qui restait de la porte.
Une fois de l'autre côté, je contemplais un spectacle épouvantable : un macchabée gisait sur le sol, la tête pourfendue par une hache, gisant dans une marre de sang.
La chose n'était plus humaine. Je la contemplais de plus près. C'est alors que je compris qu'il s'agissait d'un "zombie". J'en avais entendu parler dans des bouquins d'épouvante. Cette chose était certainement issue d'un virus qui avait contaminé mon voisin. Je me posais alors une question grave : étais-je moi aussi infecté ?

Pluton3366 Pluton3366
MP
Niveau 5
27 janvier 2013 à 22:54:19

Second chapitre : Passé décomposé

Si vous lisez mon journal, cela signifie que je ne suis plus des vôtres. Je m’appelle Michael Belinski, j'ai 28 ans et je suis employé dans une compagnie d'assurance. Avant que tout ce bordel commence, je menais une vie tranquille. Je passais mes vacances dans ma petite maison de campagne, avec mon chien Pluto.
Il est mort il y a quelques semaines de cela, un peu avant que ces choses apparaissent, comme s'il avait présentit le danger.
Je n'avais plus de famille en France, mais je connaissais bien quelques collègues du travail. Ils venaient de temps en temps me rendre visite, dans mon appartement à Montpellier.
J'ai commencé à écrire ce journal peu après que je sois tombé sur le premier zombie. J'espère que ce que vous y lirez vous permettra de mieux vous battre contre ces choses, qui ne semblent pas avoir de point faible particulier.
Un courant d'air frais venait balayer la maison. Je vis alors qu'une fenêtre était brisée : le zombie était certainement entré par là. Je traînai le corps putride de mon ancien voisin dehors, et nettoyai la zone.
Je ne savais pas vraiment quoi penser de tout cela. Étions-nous tous menacés ? Était-ce seulement un cas isolé ? Comment devenait-on l'un des leurs ? Toutes ces questions revenaient dans ma tête, et je ne trouvais aucune réponse.

Je commençai instinctivement à barricader ma maison, à l'aide de planches de bois et de clous. Je pris soin de laisser suffisamment d'espace pour que l'on puisse voir à l'extérieur. Une fois la besogne effectuée, je me rendis dehors : c'était l'aube, et il y avait cet étrange brouillard, épais et gris. Je vérifiais une énième fois que toutes les barricades étaient en place.
Mais je me rendis compte que je n'allais pas pouvoir tenir bien longtemps, même si ces choses ne pouvaient pas entrer : il me fallait de la nourriture.

Il devait être environ deux heures de l'après-midi, j'avais terminé de nettoyer la maison et de clouer les accès. J'étais fatigué et je ne m'étais toujours pas remis des évènements récents. J'avais fais l'inventaire de ce qu'il me restait : il y avait suffisamment de nourriture pour tenir trois jours, peut-être quatre.
Je venais de me rendre compte que je n'avais pas essayé d'allumer ma télévision ou d'utiliser le téléphone. Je me rappelais bien avoir regardé un film la veille, il n'y avait pas eu de problème particulier. J'essayai donc de l'allumer : aucun signal. Je vérifiai les câbles, tout était branché.
J'essayai ensuite de téléphoner : aucune tonalité. Tout semblait déréglé et arrêté. Je craignais le pire, bien que l'eau et le courant furent encore en marche.

Il faisait alors nuit dehors. Tout était calme, trop calme. Il ne semblait pas y avoir âme qui vive. Même la nature semblait s'être arrêtée. Je commençais à avoir vraiment sommeil, mais je me demandais si c'était vraiment une bonne idée d'aller se coucher, avec ce qui pouvait rôder dehors. Je finis malgré moi par céder à la fatigue.

La nuit sembla se passer calmement. Je vérifiai toutes les barricades, aucune ne semblait avoir été forcée.
Tout cela m'étonnait. Ce n'était peut-être qu'un cas isolé, un virus qui aurait muté. Quant à ma ligne, il pouvait très bien y avoir un problème technique quelconque. Je décidai donc d'aller dehors, non sans appréhension. Le soleil était encore bas dans le ciel, et l’atmosphère était toujours aussi étrange. Tout était calme, il ne semblait pas y avoir le moindre bruit. Il y avait la même brume grisâtre que la veille.

Ma maison se trouvait au milieu d'un grand pré, entourés de haies. Les maisons avoisinantes se trouvaient à un quart d'heure de marche.
Je décidai de ne pas prendre ma voiture, par crainte d'épuiser le peu d'essence qu'il me restait. Je marchais donc en direction de la maison la plus proche, dans un brouillard toujours plus épais.

Quelques minutes plus tard, je me retrouvais devant la maison de mon voisin, celui qui avait essayé de me dévorer. La porte était ouverte.
Je pénétrais dans cette demeure plutôt grande et inquiétante. L'endroit était assez bien tenu. Des cadres ornaient les murs et il y avait plusieurs meubles d'antiquaires. Des toiles d’araignées poussiéreuses étaient disposées ci et là. J'explorais les lieux lorsque je trouvai ce qui semblait être un bureau.

La pièce était exiguë, des étagères étaient emplies de classeurs. Des documents divers étaient empilés un peu partout.
Je ne savais pas exactement quel était son métier, mais il devait certainement avoir à faire beaucoup de paperasse. Je lisais des documents quand un titre m'interpella : "l’expérience 115". Le dossier était ouvert sur le bureau, comme si c'était la dernière chose que monsieur Ludwig avait faite, avant d'être transformé...

jaymlayblabla jaymlayblabla
MP
Niveau 10
27 janvier 2013 à 22:55:03

First :coeur:

CharlieLeChat CharlieLeChat
MP
Niveau 6
27 janvier 2013 à 22:55:25

Super ! Continue, je veux lire la suite! Pourquoi ils ont lock ton autre topic??

d'ailleurs la fic d'origine se trouve ici

http://www.blackops2-zombie.com/forum/?mingleforumaction=viewtopic&t=40.0

Kalinine Kalinine
MP
Niveau 10
27 janvier 2013 à 22:56:14

Pour les Fic c'est :

[HS] *titre de la fic* [FIC]

Dans le cas contraire, le topic est lock.

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