Oui, voilà une ébauche et une chronique trop longue pour ce site. Voici donc la version entière qui sera mise de côté pour un de mes nouveaux livres et la branche que je compte créer lorsque mon nouveau site officiel que j'ai dû fermer il y a quelques années, sera online.
Lisez ceci: les gamers pros (les friands avangardistes, anticonformistes et plus encore!) seront sûrement ravis de savoir qu'il existera un endroit où l'on pourra être objectif sur les œuvres vidéoludiques (même la scène underground et les sujets tabous); je veux dire, sans que ça sente les histoires de fric derrière des tests qui parfois me donnent une impression d'idées remâchées ou de style aseptisé.

Lisez donc ma chronique, bien que ce ne soit qu'une version pour ce site... mais elle finira, propre, pour le livre sur le dixième art et tous les sites aux services de ceux qui produisent et non ne créent.

Bonne lecture.

Octobre 2013

Avis sincère et général sur le 10ème art.

Ma chronique sur le jeu Dishonored et l’ensemble de la culture vidéoludique salie par le système, comme tout art.

Très bon jeu, de bonnes idées. Un mélange subtile dans le look des personnages: nazis et napoléoniens en plus d'une touche mécanique rappelant un certain Bioshock. Il rappelle aussi le magnifique Thief 3, mais malheureusement, Dishonored est assez fade aux côtés de celui-ci qui pourtant a une décade d'éloignement. Les graphismes manquent de précision, un peu vide et on aimerait pouvoir faire plus de choses. Il se finit aussi rapidement. Je vais tester les dlc, car je l'ai acheté à sa sortie et je suis curieux de voir ce qu'ils ont mis. C'est ça le problème d'acheter en précommande, il y a toujours un deluxe qui sort plus tard avec l'intégralité. C'est écœurant à force, on paye et on ne nous file même pas le season pass!!! Encore une particularité de notre système capitaliste. Payer une précommande et voir qu'il y a un coffret moins cher 1 à 2 ans après... et si on a été un peu pigeon, on se paye tous les dlc à des prix de fou: ce qui fait qu'on a mis la somme de trois jeux, même si on a fait une précommande et on voit plus tard au magasin, le jeu à un prix réduit, avec tous les dlc, un deluxe avec des tas de bonus en plus... il y a de quoi être dégoûté, nous, avec notre précommande sans un seul cadeau d'importance; je veux dire, ce n'est pas une ou deux armes spéciales et des fringues virtuelles qui vont nous apaiser de notre colère envers ce genre de mercantilisme. N'est-ce pas? Moi, quand j'achète une précommande, je souhaite quelque chose de valable et c'est normal. Je dis ça, car tous les derniers jeux collectors de plus haut niveau, genre Assassin's creed avec figurine, livret d'artistes peintres etc. m'offre en sus, un joli bug qui m’empêche d'avancer... c'est dire le respect qu'ils ont. OK, ça vaudra de l'or plus tard, mais à présent, j'en suis frustré de tout recommencer avec la peur au ventre que le bug se manifeste à nouveau. Donc voilà, sincèrement, ce que je pense de tout ce merchandising qui a finit par me faire sévèrement douter de l'importance des précommandes. Pour en revenir, certes, ce jeu qu'est Dishonored (ce nom tombe bien avec ce que je viens d'écrire)est plaisant, mais n'arrive pas à la cheville du charme qu'offre Thief 3, l'époque pas si lointaine où tout artiste prenait son temps pour bien faire: ce qui est de même avec des Assassin's creed (qui "était" super), ce genre qui sort un opus tous les six mois et que j'appelle "Fast culture", un peu comme les livres Harlequin, la musique et leurs émissions dédiés aux simples d'oreille et le Macdo, bon un instant et puis poubelle, à tout jamais. Voyez Dead space par exemple: une série prometteuse, une nouvelle branche pour le style très varié qu'est le "Survival-horror" et puis poum! ça tombe dans le cliché, le multi qui fait chi** (pour faire un alexandrin avec hémistiche) et tout part à vau-l'eau.
Je tiens à être honnête sur tout ça: par expérience sur cette culture depuis 30 ans, je peux me permettre de faire une synthèse objective sur les modes et ce qui mérite le respect d'un travail bien fait. Si la culture, en général, donne aux personnes expérimentées, un arrière-goût de répétition, de fadeur, sachez que ce n'est pas une crise de cynisme, c'est juste un réflexe de réalisme. Il n'y a qu'à voir les jeux bourrés d'originalité et tous les autres arts qui font de même, et ben ils font des crashs, car le peuple d'aujourd'hui, veut la facilité, et c'est encore là que le capitalisme a poser ça graine, sa mauvaise graine qui ne fait que prouver que nous vivons un nouvel obscurantisme, comme je l'avais déjà écrit dans mes travaux: "L'Obscurantisme 2.0" et ça m'attriste de voir que ça touche le 10ème art (c'est le nom que j'ai donné pour un de mes livres) qu'est la culture vidéoludique, encore toute jeune et déjà si corrompue...
Comme ça fait déjà un bail que je n'ai pas écrit de chronique sur ce site, ben il me faut tout regrouper et c'est Dishonored qui m'a inspiré en voyant tous ces dlc et surtout, en voyant qu'il fait partie des GOTY, c'est pareil que Best seller, une ânerie qui change de pays en pays et qui n'est qu'un calcul hypothétique, bien souvent falsifié, des titres mis à tord et à travers pour appâter le client, un peu comme le 99 dans les prix, vous savez, 99,99 euros, ça fait moins peur que 100...! Une belle ruse psychologique pour les personnes irréfléchies qui se ruent dès qu'ils voient ce genre d'étiquettes: la personne ne connaît pas, mais comme il y a noté ceci, il achète! Bref, un truc dégradant. Mais ce Dishonored, ben allez-y! Ca reste tout de même un chouette voyage vidéoludique lorsqu'on est novice, mais sachez, si vous avez des années de connaissance dans cette branche, que vous aurez cette impression de déjà-vu comme je l'ai écrit plus haut.
En final, je souhaite ajouter que depuis quelques années, je me fie aux chroniques des gamers, ça ne m'a jamais déçu, c'est plus juste, ça sent moins le lèche-bottes. C'est pourquoi, je compte ouvrir une branche sur mon nouveau site officiel, réservée aux chroniques de jeux vidéo et où tout le monde pourra être sincère et offrir la vérité de ce qu'il ressent vis-à-vis de telle œuvre. Comme je travaille en tant qu'écrivain et auteur-compositeur-interprète, connaissant le 10ème art depuis 84, j'aimerais offrir à cet art, une branche où tout le monde pourra donner des avis sincères sans crainte d'être censuré, et surtout, pas de note aux jeux... En plus, la scène underground et les sujets tabous y relatifs!

Ça a l'air intéressent mais je me suis arrêter à:

"Il rappelle aussi le magnifique Thief 3, mais malheureusement, Dishonored est assez fade aux côtés de celui-ci"

Idem.
Soit tu évites des commentaires sur ça (surtout que même si les bases sont les mêmes, le gameplay des 2 n'a rien à voir).
Soit tu parles de Thief 3 si tu aimes autant.

On dirait plus un article de COUCOU JE VEUX DU CLIC ET DES COMS, on dirait du morandini.