Bonjour a tous !

Voila je sais qu'il y en a deja au moins deux, mais j'espere que celle ci sortira du lot. Mon idée serait d'integrer des soldats de notre époque dans cet enfer que fut l'Ishimura. Comment cela pourrait etre possible me demanderez vous ?

He bien, lisez la suite, vous comprendrez. Mon style d'ecriture est surtout basé sur les dialogues. Donc ça plait ou ça plait pas... quoiqu'il en soit, j'espere que tout ca tiendra la route !

2010
France,
Bunker sous terrain de l'armée de terre.
Lieu tenu Secret.

-Ce sera une mission périlleuse capitaine, je suis sur que vous saurez quoi faire en temps voulu.
-Pardon ? Effectivement je saurais quoi faire, mais qu'est ce qui vous dit que cette équipe de bras cassés me suivra.
-Tout simplement parce que s'ils désobéïssent a vos ordres, capitaine, ils seront abattus des leur retour.
-J'espère bien que cette menace fera regner l'ordre dans le groupe, mon seul charisme ne pourra pas les tenir, je sais quel est ce genre de soldat, et ils sont pret a tout pour...je ne sais pas. Ils ont le profil type du mercenaire.

Le soldat était inquiet, il savait qu'on le menait droit à l'abatoir, ses yeux ne se détachaient pas de l'homme en noir. Il voulait a tout prix le faire changer d'avis. Mais il n'avait malheureusement aucun pouvoir. L'individu gigantesque qui se tenait devant lui reprit :

-Mais c'est bien pour ca qu'ils ont été mis au arrets. Nous ne faisons que leur donner une seconde chance.

-Tous ces critères me semblent montrer en tout points qu'il s'agit d'une mission suicide. On dirait que vous savez exactement sur quoi nous allons tomber une fois que nous serons partis.

-Ne dites pas de sottises, capitaine. Je sais a peine de quoi il s'agit, tout comme vous.

Un silence de glace s'installa. Le regard agé du ministre de l'intérieur impressionnait le noble petit capitaine qui tentait de lui arracher des bribes d'information. Rien ne pouvait l'aider. L'ambiance était pesante. Le néon éclairait mal la pièce ou se trouvaient les deux hommes. La poussière en suspension était étouffante. Le soldat finit par se faire une raison :

-Et quand est ce que l'opération commence ? J'ai une semaine de préparation comme d'habitude ?

Le politique se mit a rire :

-Vous n'y pensez pas capitaine ? Nous ne savons toujours pas combien de temps la
Dalle restera fonctionnelle ! Il faut emprunter sa voie des maintenant !

Le regard du capitaine était percant dans l'obscurité. Il savait reconnaitre les missions périlleuses, dangereuses, inconscientes et suicidaires rien qu'au briefing grâce a sa courte expérience.

-Je suppose que les hommes sont entrainés et sont au courrant de se qu'il se passe...Monsieur le ministre ?

Son ton était très autoritaire, très audacieux et insolent. LE bunker sans lequel il se trouvait renfermait les pires soldats francais encore vivants. Mercenaires, officiers véreux, ou soldats d'elites corrompus, tous très intelligents et très dangereux. Lui seul pouvait se permettre de commander une poignée de ces hommes, de par sa formation à toute épreuve.

-Mon garçon, ne vous attendez pas a côtoyer des hommes digne des bérets verts comme vous le faisiez autrefois, car vous n'en êtes plus digne de toute façon.

Le capitaine Frasier insista sur chaque mot.

-Je croyais avoir posé une question, ou même deux.

-Ces hommes, comme vous les appelez, sont emprisonnés depuis 4 à 5 ans et n'ont donc pas recu d'entrainement digne de ce nom depuis cette période.

-Génial. Je quitte cette mission, je rentre chez moi.

Le capitaine ramassa son béret posé sur la table, salua le ministre, claqua des talons, et se dirigea vers la porte. C'est alors que deux gardes armés, fusils a l'épaule, lui barrèrent le chemin.

-C'est malheureusement impossible, capitaine. Vous avez été mis au courrant d'un secret d'état extrêmement important. Vous ne pouvez plus sortir avant d'avoir accompli votre mission. Il faut un minimum de personnes au courrant.

Un ton moqueur avait accompagné la voie du ministre.
L'officier déchu se retourna, résigné.

-Je suppose par la même occasion, que les hommes ne sont pas non plus au courant de quoi que ce soit ?

-Nous comptions sur vous pour leur expliquer capitaine.

-Très bien, j'accepte. Je ferais tout ce que vous voudrez. Puisque c'est la seule manière raisonnable de retrouver une vie normale.

-Oh croyez moi, je suis sur qu'après être revenu, vous ne pourrez plus jamais gouter aux joies d'une "vie normale".

La capitaine Frasier passa enfin la porte, ayant obtenu la grace des deux gardes. C'est alors que la voix du ministre le retint :

-Oh capitaine !

-Qu'y a t'il monsieur le ministre ?

-étant donné l'importance de la mission, et des grades de vos futur troufions, je vous nomme au grade de Lieutenant.
Félicitations.

Aucune joie ne rempli l'esprit du nouveau lieutnant Marc Frasier. Il savait que jamais il ne pourrait sortir de ce bunker de toute sa vie. Qu'importe. Il n'est plus capable d'aimer quoique ce soit au jour d'aujourd'hui. A quoi bon s'attacher a quelque chose que nous ne pouvons plus désirer. Adieu la vie normale. Bonjour l'enfer sur Terre . Ou plutot, Sous- Terre.

Tout en avançant dans les couloir qui ressemblaient à une descentes aux enfer, il se rappelait ce qu'était cette mystérieuse DALLE dont parlait le ministre. Un artefact découvert en égypte par nos courageux archéologues de l'époque Napoléonienne. Il posséde des pouvoir magique parait il.

"Conneries" pensa le lieutnant Frasier.

Mouais ça va pas de fautes d'orthographe,je suis pas prof
Lamise en page:c'est un peu gênant au niveau des espaces entre les dialogues mais c'est pas bien grave

ça va dans l'ensemble ça va,reste à voir la suite

C'est pas que ta fic est nulle mais j'ai horreur des trucs qui passent par la case gouvernement avec des discussions plutôt chiantes je trouve.
J'attends de l'action

Moi ça me gène pas

Tu voulais qu'elle se démarque, eh ben moi je trouve qu'elle réussit plutot bien

Ca nous fait quoi... 6 fics en cours sur le forum je crois

boh faut plus compter celle d'ahmed ni celle de mini donc 4 ouf

Celle-là, celle d'R1, la tienne, celle de mini, celle de nof, et la mienne, ça fait 6

ben mini la fait plus et je croyais que tu comptais celle d'ahmed

Celle d'ahmed est finie, je suis pas con à ce point, sinon j'aurais compté la première d'ahmed, ma première et celle de Spoot

Kole Je te suis pas

T'en fais pas il se foutais de maglle

mais sinon mini ne la fait plus

J'ai vraiment bien aimé. Bravo, et continues comme ça.

Ah ca fait plaisir

Bon je trouverai le temps demain matin pour continuer...

Ne vous inquietez pas pour la case gouvernement tout ça...quand tout le monde partira dans le vaisseau on n'en reparlera plus.

Le Lieutenant frasier repensait aussi aux évennements qui le menèrent tout droit dans ce trou.
Un coup de pas de chance. Ou plusieurs de suite plutot. La presse l'avait surnommé "l'incompétent, l'enfant aux commande, le couard." Sans cesse, tous ces souvenirs horribles tournaient dans sa tête. Il était colérique des qu'ils revenaient.
Un sergent venu de l'administration arriva a sa rencontre en courant.

-Mon capitaine ! On m'a chargé de vous prevenir qu'on vous attend dans la salle 12 !

-Merci sergent. Mais dorénavant ce sera lieutenant s'il vous plait.

Le sergent salua de nouveau.

-Bien mon lieutenant.

Et il s'empressa de recourir dans une autre direction.
Marc pensa, encore sous le coup de la colère :

-Mais qu'est ce que je peux etre con ! Qu'est ce qu'on en a a branler de ton grade connard ??? Il ne te reverra jamais de sa vie ce petit con !"

Salle 12.
2h33

La pièce ressemblait a une salle de classe, des tables étaient disposées en ordres, tous était très éclairé, et sur chaque table se trouvait un homme body-buildé, au crane rasé, chacun à mi chemin entre le militaire et l'homme des cavernes. Ils étaient 6.

-Bonjour à tous, je vois qu'on vous a tous restitué votre grade, c'est très bien, ca facilitera la tâche.
Marc se dirigea vers le tableau en face du groupe. Personne n'avait ouvert la bouche depuis son arrivé

-Est ce que l'un de vous sait pourquoi vous êtes tous la ?
L'un deux pris la parole. C'était le seul a avoir gardé sa silhouette normale, il semblait plus intelligent que le reste du groupe :

"Surement un crétin qui avait répondu à son supérieur, pensa t'il".

-A mon avis, ce sera surement pour foutre la merde !

Finalement, il avait seulement l'air intelligent, repensa t'il.
Tout le monde approuva, criant son nom :

-Ouais Judie ! Tu l'as dis ! On leur a manqué a ces enculés ils veulent qu'on reviennent.
Un vacarme d'insanité envahis la pièce.
Marc était déjà a bout de patience :

-Est ce que vous pourriez avoir l'amabilité de FERMER VOS PUTAINS DE GUEULES ?!

par miracle, le silence revint, une telle autorité était impressionnante.
Le lieutenant se reprit :

- Dorénavant c'est moi qui donne la parole.

Il sorti son arme de point, puis la posa sur le bureau.

-Me suis je bien fait comprendre ?

L'assemblé entonna un tonitruant :

-OUI MON CAPITAINE !

-C'est lieut...bon on s'en branle de mon grade.

Tout le monde se mit a rire, Marc avait réussi sa mission : il avait les hommes en poche.

-Je vais donc commencer par vous raconter une petite histoire. Accrochez vous, ca va être dur a suivre. Du moins, pour vous je crois bien.

Il repris sa respiration.

-Cela fait 15 minutes que je suis au courant, donc ne me posez pas de question, a la fin de mon récit, vous en saurez autant que moi. Pour être clair, je vais virer quelques détails, et faire des phrases courtes :

En 1802, la France "fit l'acquisition" d'un vestige archéologique trouvé en Egypte appelé sous le nom de code "Dalle".
Il s'agit d'une sorte de pierre circulaire et plate, faisant un diamètre de 7 mètres.
Parait il, qu'elle possède certaines facultés. Sa première particularité est qu'elle a été trouvé avec "un mode d'emploi" expliqué en Japonais. Celui ci est gravé directement dessus. Il explique que lorsque cette pierre l'indiquera, nous pourrons "parcourir le temps et l'espave".

Nouveau silence.
Judie pris la parole :

-Mais qu'est ce que c'est que cette histoire à la con ?!

Marc le coupa :

-De 1 : je donne la parole caporal.
De 2 : ce n'est pas mon histoire
De 3 : j'avais précisé pas de questions !
Est ce clair ?

La silence du caporal Julien Sherbatsky était assez explicite.

Marc repris la parole :
-Quoiqu'il en soit, depuis 5 heures, la dalle a viré au "vert fluorescent", ce qui pour monsieur le ministre de l'intérieur, est "un signe de son fonctionnement total".

Un soldat leva la main.

-Oui sergent ?
-Et c'est quoi notre mission au juste mon capitaine ?

-Notre mission sera de s'équiper de caméra armées de disques dur assez gros pour contenir 2 jours d'images en très haute définition. On se met sur la dalle, on voyage dans le temps, on reste deux jours et on se casse dans le sens inverse.

Tout le monde avait la bouche bée, s'attendant à une farce.

-Mais ne vous inquiétez pas, rien ne va marcher. C'est de la pierre verte de merde. On restera tranquillement dans ce bunker de chiottes et...

Marc s'arretta de parler. Il réalisa que la Dalle était son dernier espoir de s'en sortir. Peut etre marche t'elle ? Peut etre qu'elle l'emmenera dans un monde merveilleux, ou aucun probleme de pourra l'attendre.

-Tout compte fait, il vaudrait mieux qu'elle marche. Nous sommes tous condamnés de toutes façon, et de vous a moi, deux jours ailleurs qu'ici sera merveilleux.

-Pourquoi deux jours ? demanda Judie.

-Parce que d'après le mode d'emploi japonais vieux de 2000 ans, elle refonctionnerra 2 jours plus tard dans le sens inverse. Voila pourquoi.

Mais Marc avait déja son idée en tête, il ne reviendrait pour rien au monde.

-Mais mon capitaine, je croyais que ce truc avait 200 ans ? Et pourquoi vous avez parlé de japonais à un moment ?

-On sait que la Dalle est vieille de 2000 ans car ca fait 2000 ans qu'elle existe. On l'a juste retrouvé il y a 200 ans. Et pour le texte en japonais gravé dessus (au laser parait il) nous n'avons aucune explication. Je suppose qu'il était hors de question de demandez des réponse au gouvernenment japonais. Si notre pays sera capable de manipuler l'espace temps, personne ne devra le savoir.

Mais Marc savait très bien qu'ils risqueraient de tous être abattus dès leur retour. Ne serait ce que pour garder le secret. Il était loin aussi d'imaginer dans quel enfer il se trouverait.

C'est alors qu'un soldat fit irruption dans la salle :

-Mon lieutenant, il est temps.
-Temps pour quoi soldat ?
-Il faut vous équiper et "partir".

Très bon. A part quelques petites fautes. Rien de bien grave.

Meme chose pour moi

j'aime bien c'est déjà bien mieux que ton intro en plus j'aime bien ta façon de parler

je sais ce qu'il va se passer à la dalle:

il y a marc qui va se faire depasser et son équipe va se transformer en necro ou alors(moins bien)ils iront à un endroit infesté de necromorphs non?

bah euh...vous verrez bien mais je vais faire très classique n'ayez crainte

La suite, j'espère que quelques uns suiveront sinon je vois pas pourquoi je continuerai...

Sur ce, j'espère que vous avez passé un bon week end, ne jouez pas trop ca va vous griller le cerveau !

Marc se retourna vers ses hommes :

-Ok les gars, tout le monde se lève et me suis.

Tout le long du couloir, Marc s'inquiétait pour son avenir. Il réfléchissait a comment se racheter auprès du monde entier, des familles meurtries qu'il avait laissé.
Les dires perdus des hommes dans son dos lui effleuraient les oreilles :

-Qu'est ce que c'est que cette mission a la mord moi le nœud ?

-C'est la caméra cachée ?

-J'en sais rien, je fais cette connerie deux jours et je rentre enfin chez moi ! Je vais pouvoir retourner au Stade ! Ca va être énorme !

-Je le sens pas ce truc, ca sent la merde à plein nez.

-Quand je vous disais que l'état nous cachait des trucs ! Si on a ca en France qu'est ce qu'ont les américains ? Hein ? Ils travaillent en cachette avec des extraterrestres moi je vous le dis !

Marc se retourna enfin pour faire taire ces belles paroles :

-Ouais et Mikael Jakson vient de former un group avec Elvis en Alabama ! Cesser vos conneries on arrive a l'armurerie.

Un homme se tenait derrière un comptoir grillagé, celui ci machouillait sont chewing gum tout en fixant le nouveau lieutenant.

-C'est pour quoi ?

Marc fronça des sourcils

-C'est pour la mission spéciale, vous avez nos jouets soldats ?
-Quelle mission spéciale ?
-Bon je vois que t'es le débile qui est au courant de rien : donne nous tout un arsenal et magne toi !

Marc completa ses dires en lui remettant une autorisation spéciale, autorisant le port d'armes de niveau maximal.

-ah oui je vois que vous n'etes pas la pour rigoler, faites attention surtout, c'est du top niveau ce que je vais vous donner.

Le soldat ouvrit la porte blidée a tout le groupe, qui s'engouffra dans une vaste pièce remplie de munition en tout genre, avec les armes correspondantes accrochées aux murs.
Marc reprit la parole :

-Bien, je veux pour tout le monde des armes conventionnelles, donc chacun prend un FAMAS modèle FELIN, et un maximum de grenade. Prenez chacun comme arme de poing un Dersert eagle .50 , vous verrez, ce truc m'a sauvé la vie plus d'une fois

http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/7/7f/FAMAS_Felin_501556_fh000002.jpg

http://www.pyramydair.com/blog/images/loaded-desert-eagle-web.jpg

Tout le groupe se réjoui d'avoir enfin une arme ultime.
Une fois que tout les hommes furent équipés, tout le groupe se mit en marche vers la salle 0. La salle 0 est la salle la plus gardée de France. Uniquement les hauts fonctionnaires avaient le droit d'y pénétrer.

"Nous savons aujourd'hui qu'elle contenait cette foutue Dalle." Pensa Marc.

-OK les mec, avant de rentrer la dedans, faites les fiers, vous êtes attendus. Ayez au moins l'air de vrais soldats.

La porte blindée s'ouvrit de l'intérieur pour les laisser passer. La pièce était plongée dans le noir. Le noir était chassé par une lumière verte fluo qui fendait les airs. Elle émanait bien d'une Dalle posée au millieu. Des chercheurs avec masques et combinaison antiradioactive prenaient des notes.
L'un d'eux s'approcha.

-ha vous voila enfin !

Il toisa du regard tout le monde.

-Dites moi vous etes parti pour attaquer la Corée du Nord ou quoi ???

-Vous avez quelque chose d'important a nous dire ? Cretin ?

La réponse du lieutenant ne se fit pas attendre.
Le caporal Judie renchérissa :

-Ouais crétin ! Remballe ton calepin et laisse faire les pros !

Mais le groupe était deja assez soudé pour répondre unanimement :

-Ta gueule Judie.

Le scientifique n'était pas impressionné :

-Euh...il faut vous équiper des caméras. On vous en avait parlé non ?

Marc approuva d'un hochement de tête.

-Bien, dans ce cas suivez moi.

Chaque soldat se vit fixer sur son casque un petit boitier équipé d'un mini objectif.

-Voila, veuillez y prendre soin, si ceci venait a casser, vous en avez un de secour dans votre barda. Prenez en soin, sans ça, la mission n'a plu d'interet !

-Faites nous confiance.

Le premier ministre se trouvait parmis la foule de scientifiques. Tout le monde s'était arreté pour voir le spectacle qui allait se dérouler. Le haut fonctionnaire serra la main de chacun des soldats, leur dit de belles paroles puis les convia a se positionner en rang sur la Dalle.

-Allez les gars ! en route !

Personne ne se pressa pour poser le pied dessus. Marc était le premier a le faire, en tant qu'officier.

-N'ayez crainte, c'est de la pierrre fluorescente, mais ca reste de la pierre

Tout lemonde s'executa. L'equipe était au grand complet, cote a cote. Leur ombre était projetée au plafond. 7 taches noires allaient faire un voyage hors du commun.
2 secondes plus tard, Judie brisa la silence solennel :

-Ca marche pas cette m....

Il n'eut pas le temps de terminer sa phrase que la lumière se fit plus intense. Ils se sentaient tous voler, devenir leger. Très leger. Marc compris que tout ceci n'était pas des sottises. Il était en sueur. Il avait peur. Il ne savait pas il allait. Il avait la charge de ses hommes, et ne pouvait pas garantir leur sécurité. Il était devenu l'espoir de tout un pays. La France pourrait redevenir la première puissance militaire grace a lui. Ils pourraient manipuler l'espace temps, dans la mesure ou ils pourraient manipuler la Dalle. Dans un dernier élan, il fit ce que tout patriote aurait fait a sa place. Lorqu'il voyait encore les hommes de science devant lui, lorqu'il n'était pas encore aveuglé par la lumière de plus en plus puissante, et étourdi par un bruit de plus en plus strident, il fit le salut militaire en direction du 1er ministre, et prononça ses dernières paroles sur terre :

-Pour la France !

A present, tous flotaient dans l'espace. tout semblait paisible. Ils étaient comme dans un rêve. Ils voyaient la Terre de loin. De très très loin. Elle vieillissait sans eux. Des villes s'élevèrent, des bombes explosèrent, puis de nouvelles villes prirent la place des détruites. Puis tout s'accélèra. Tout devint blanc. Les étoiles fusaient autour d'eux. Ou peut être était ce eux qui se déplaçait. Tout le groupe commança a paniquer. Marc cria de se calmer mais sa voix ne portait pas, elle semblait se perdre dans le vide intersidéral. Soudain, tout s'arretta. Tout redevint normal. Tout les soldats retombèrent sur leur jambes. Le silence se fit. La lumière s'éteigna. Tout était inerte. Tout semblait...mort.

Marc tappa du pied sur le sol, il n'y voyait rien. IL se taisait car il croyait que sa voix ne portait toujours pas. De toute évidence, ils étaient toujours sur la Dalle. C'est alors que l'un des soldats pris la parole :

-Bon Dieu y'a une panne de courrant !

Mais Marc n'était pas dupe :

-Non, les pannes de courrant n'existent pas dans le bunker ou on se TROUVAIT.
-Comment ca ou on se "trouvait" ?
-Vous aurez bientot plein de réponses, activez vos lunettes thermiques !

Chacun regarda dans son viseur. Ils étaient dans le noir, mais voyaient. Ils étaient a présent terrorisés. Ils voyaient plusieurs hommes, en face. Ils se cachaient deriere les meubles qui semblaient remplir la pièce. Ils les fixaient de leur yeux noirs. La lunette thermique permettait de les voir en rouge sur fond noir.

"On dirait une embuscade" pensa Marc. Il donna ses ordres.

-CHACUN CHOISI SA CIBLE ! EN JOUE ! PRET A TIRER !

Tout le monde enleva sa sécurité, mit l'arme a l'épaule.

Marc était déterminé, en tant qu'officier sur le front, il avait fait son choix et ne pouvait plus faire marche arière. Il ne devait jamais hésiter.

-A mon commandement !

Super
Un peu trop patriote quand même
Mais j'attends la suite
En parlant de ça il faut que je fasse la mienne aussi