Voilà voilà, ma énième fic est en cours
bon je mets le topic avant le premier chapitre par souci de vie du forum, plein de gens nous ayant subitement quitté.Cette fic sera différente des autres (j'ai le paquet figure de style, vocabulaire, ect ect... ainsi que le genre.
Bon après je sais que je n'aurais qu'un seul lecteur, mais au moins pour lui je la ferais.
J'attend
Intrigue intéressante.Sweet?
psychopate
zuuuuuut...
j'ai oublié quelques mots, c'est pas"la douleur et l’odeur lui étant insupportable" mais "la douleur et l’odeur des chairs calcinées lui étant insupportable"
Bien la grande faucheuse ?
Sérieux c'est...très spécial...
Mais j'aime Suite
ben tu va attendre parce que j'ai l'idée mais pas moyen de trouver comment y rendre bien décrit
pis j'ai besoin de noms
Ah...
Dommage
Si jamais tu as besoin d'aide, je suis là /
Même si je suis moi bon que toi
t'aurais pas des noms alors s'ilteplease?
parce que bon, les nom, c'est mon plus gros défaut, j'en trouve aucun
http://www.meilleursprenoms.com/
ONCHE ONCHE
Hum .... c'est glauque, ça tâche, c'est sale .... j'aime !
pavay césar
la mort de la petite fille a presque éveillé en moi de la pitié, profitez-en!
Chapitre 2
Dix ans à l’échelle humaine après cet incident. Un an à l’échelle des enfers les plus profonds. Le meurtre inconcevable d’une vingtaine de personnes disposant comme unique témoin un homme, Tanner, devenu fou et ayant un seul bras « capable » sans lui causer d’atroces douleurs. L’autre n’était que cendre, excepté certaines zones ou des lambeaux de peau brune restaient. Les veines ressortaient clairement, étant donné qu’elles n’avaient pas changé, alors qu’une grosse partie de ses muscles avait brulés.
La police ne comptait plus sur cet homme pour un jour avoir un témoignage clair. La nuit, il sanglotait et parlait d’un contrat qu’il aurait passé avec un démon. Le jour, il répétait sans arrêt « je suis désolé ». Ces amis pensaient qu’il demandait pardon à sa femme ou à son fils, qui, lui, aurait été épargné. Cependant, il ne fut toujours pas retrouvé.
Cent ans plus tard… Dix ans pour le jeune garçon sans parents... Excepté le cruel démon qui l’a élevé, sans lui caché la moindre vérité. Il a tué sa mère et maudis son père. Source de haine en son corps… L’unique raison de sa survie, également.
Il aurait préféré mourir plutôt que de subir ce qu’il endurait maintenant. Il savait que les gens de l’autre monde décédaient pour ce qu’il trouvait court. Leurs durées de vie si courte le rendait jaloux. Pourquoi, lui ne pouvait mourir, pourquoi lui n’avait ni passé ni futur ? Pourquoi lui et personne d’autre ? Pourquoi cette anormalité ?
Le démon, son unique responsable, mais également la seule personne qu’il connaissait le regarda dans le rouge de ses pupilles.
-Mes félicitations, Eléazar. Les dix sont passés là-bas. Tu va te faire payer ton premier contrat.
Sa voix froide et sèche ne montrait aucun sentiment. Eux, démons, restaient des coquilles vides, durant toutes leurs existences. Une torture éternelle.
-Ne reviens pas les mains propres. Tue. Tue-les et prends. Prends tout ce qui lui est cher… Détruis sa vie !
-Pourquoi faisons-nous ça ? Pourquoi existons-nous ?
-Je te l’ai déjà expliqué. Nous existons pour passer ses contrats… Récolté des âmes, détruire des vies est notre unique raison d’être. Dans l’autre monde, ils ont besoin de nous. Nous les vengeons… Et donnons le juste prix d’infliger la mort à quelqu’un. D’une certaine manière, nous sommes également là pour punir les gens au cœur hésitant.
-La vie n’a-t-elle aucune valeur ?
-Tu parle comme eux… Nous sommes considérés comme des monstres. Cependant, nous ne faisons que passer des contrats. Tu es trop jeune pour comprendre. Mais ne perd jamais de vue ton objectif, qui est en ce moment même de tuer la petite fille de cette femme.
Un sourire carnassier apparut sur cette lèvre presque inexistante.
-N’ai aucune pitié.
-Oui.
Sur ses mots, Eléazar disparut dans un grand nuage de fumée noire, pour réapparaitre devant un immeuble gris terne, se fondant dans le triste décor des nuages gris dans le ciel. Cependant, ce temps était accordé pour l’événement de la soirée. Le cœur serré, le jeune démon s’avança jusqu’à la porte d’entrée du bâtiment, et regarda à quel étage se trouvait sa cible. La jeune Sabine, âgée de cinq ans dormait d’un profond sommeil au quatrième. La porte, qui n’aurait dut s’ouvrir que si l’un des locataires donnait son approbation, s’ouvrit brusquement sur le passage d’Eléazar. Il gravit les marches de pierres une à une, lentement. Il savait ce qu’il devait faire. Une fois arrivé sur le palier, il ouvrit doucement la porte d’entré de l’appartement, et constata que tout le monde dormait. L’extraction d’âme devait commencer.
Les contrats, répétés inlassablement, révélait la vraie nature des gens. Ce qui l’aidait à tenir, c’était de penser profondément que ce qu’il faisait était juste. On leur demandait de tuer quelqu‘un, au prix faramineux de la vie. Les contractants, désirait la mort d’autre gens. Il paraissait normal de gâcher leur vie, de leur infliger l’une des pires tortures qu’il soit. En fonctions de leurs peurs et de leur crainte, ils vivaient leurs derniers instants « serein » en voyant ce qu’ils avaient de plus chers détruits. Une fois l’âme retirée du corps, ils pouvaient sombrer dans les folies les plus complètes, comme son père, selon le démon, ou encore devenir une « coquille vide » ne faisant simplement qu’exister. Ni sentiments, ni pensées. Et le pire, on leurs retirait avec l’âme leur mortalité. Ne pouvant mourir, ils étaient condamnés à juste se souvenir de leurs peurs réalisées.
Eléazar pénétra silencieusement dans le hall, ses yeux brillant tels deux braises.
En général, il lui fallait des déguisements très complets pour ce mêlé à une foule. Ces cheveux blanc-gris lui retombant sur le visage en mèches rebelles le rendait facilement repérable, sans compter ses yeux rouges. Sa taille paraissait défier la logique. A dix ans, il faisait déjà 1m75 et pesait 55kg. S’habillant toujours de vêtements sombres, il ne ressemblait en rien à un humain, que se soit mental ou physique. Ne se posant sans cesse les mêmes questions, il paraissait dérangé.
Il arriva devant la porte de la chambre de la fillette, la chose la plus précieuse de sa mère. Il la poussa doucement et rentra dans la pièce rectangulaire de 7mètres carrés. Quand Sabine se réveilla, elle l’interrogea :
-Hein ? Vous êtes qui vous ?
Eléazar s’attendait à ça. Il ne broncha pas un instant, malgré ses yeux s’emplissant de tristesse.
-Je suis venu te tuer.
Son instinct animal de démon que lui avait légué son « père » se réveilla. Il se mit à sourire.
-Pour faire souffrir ta mère.
La petite fille en pyjama rose se leva et descendit de son lit, son ours en peluche rose dans la main.
- Je veux pas !
-Crois-tu réellement que le choix t’appartient ?
Elle sortit en courant de sa chambre, allant vers celle de sa mère.
-Fuir… est inutile. On ne peut fuir quelque chose comme l’avenir ou le destin.
Il disparut et commença ce qui pour lui devint un jeu. SON jeu.
-Que la partie commence. La partie pour ta vie.
Elle rentra précipitamment dans la chambre de sa mère et la réveilla aussitôt.
-Maman ! Maman ! Y a un monsieur qui dit qu’il veut me tuer !
-Mumm… Tu as du faire un mauvais rêve Sabine… Retourne te coucher…
-Elle n’a pas rêvé.
Au son de cette voix, elle se souvint. Il y a longtemps, pour tuer le père de Sabine, qui les battaient toutes les deux, elle eut passé ce contrat. Qui stipulait clairement qu’elle verrait sa vie être détruite. Mais elle s’imaginait qu’elle mourrait simplement. Mourir pour sa fille ne la dérangeait, mais l’inverse…
-NE FAIS PAS CA !
-HAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! MAAAAAAMAAAAAAAAAAAAAAAAAN !
Ses ongles tombèrent un à un, doucement, sous le sourire d’Eléazar et sous le regard terrifié de sa mère. Des larmes de sang coulèrent des yeux de Sabine. Un filet humide trempa le pantalon du pyjama. Qu’elle se soit fait dessus aurait été compréhensible au vu de ce qu’elle vivait. Le plus inquiétant fut la teinte rougeâtre que prenait le rose.
-Ha ha ! Regarde, elle s’est faite dessus ! Ses jambes me paraissent inutiles étant donné qu’elle ne bouge pas et son pantalon est sale. L’heure du lavage est arrivé ; ding dong !
Il fit un geste du bras, et les jambes de la fillette furent comme projetées pour se cognées contre le mur, arrosant la pièce et le lit deux personnes de la mère de sang. Le buste de la petite fille ne cessait de trembler, son regard se fit vitreux, absent. Normalement, elle serait morte. Elle saignait abondement, et ses blessures laissaient entendre que ses organes internes n’étaient pas forcément en bon état. Mais le jeune démon la maintenait en vie, la pitié qu’il éprouvait enfouie en son cœur.
-ARRETE ! JE T’EN PRIE ARRETE !
Elle fonça sur Eléazar et tenta un coup de poing au visage. Mais sa main se désintégra en une poussière très fine.
- Tu vas mourir si tu m’approche trop, tu sais. Tiens, tu vas avoir besoin d’une nouvelle main.
Il prit la main tremblante et trempée de sueur de Sabine, et l’arracha dessus comme on arrache la languette d’une boite alimentaire.
-Tiens, c’est cadeau.
Alors qu’elle tenait son moignon, du sang dégoulinant de sa main, elle vit celle du démon tendre celle de sa petite fille.
-MONSTRE !
Elle se jeta dans ses bras en espérant en finir… mais atterrit simplement dans les bras d’Eléazar.
-Oups, t’est pas morte ? Aurais-je mentis en disant que tu avais le droit de mourir ?
Une vague prise de conscience fit remonter sa pitié enfouie loin en lui… et décida d’en terminer, elle avait assez souffert. Elle avait perdu la partie depuis longtemps. Il explosa les restes de la fille, et récita une sorte de prière.
-Sa…bine…Ma…fille…
Une sorte de filet brumeux argenté s’en vint de sa poitrine et fut comme absorbé par un cristal rouge, rouge pourpre comme le sang. Eléazar partit, en prononçant ces derniers mots :
-Le contrat est payé. Désormais, tu es condamnée à vivre, quoiqu’il arrive aux autres. Tu es immortelle… Essaie d’en tirer profit.
Le nage de fumée noire l’avala, laissant seule la pauvre femme agenouillée sur la mare de sang et d’organes de sa petite fille.
Ow...en fait, le truc qui me derange le plus dans ce chapitre, c'est plus les cheveux blanc-gris du heros, tu vois ?
Sinon, c'est gore. Tres gore.
j'expliquerais les raisons très précises de son physique plus tard, mvois-tu, stoo
sinon, ben voui... la destruction de ce qu'ils ont de plus cher au monde, autrement dit la gosse pour cette jeune mere
j'expliquerais les raisons très précises de son physique plus tard, mvois-tu, stoo
sinon, ben voui... la destruction de ce qu'ils ont de plus cher au monde, autrement dit la gosse pour cette jeune mere
C'est...c'est...
Tu fais ressortir le Jigsaw qui est en moi
Jigsaw
qu'est ce donc?