Tout d'abord, un énorme merci à Meeliss,grâce à qui j'ai eu le courage de vouloir publier mon histoire,en espérant qu'elle sera aussi bonne que celle de Meliss !
et de rien j'ai hâte de la lire!
11 février à 9.05.
Un journal intime ou plutôt un vieux cahier trouvée sous mon matelas.Voilà à quoi je suis réduite de faire pour me divertir chez moi.Donc voilà,je me nomme Lena,j'ai eu 15 ans aujourd'hui et je suis coincée dans ma "chambre",un matelas avec une bougie à côté,tandis que mes parents parlent au rez de chaussée... Que vont-ils m'annoncer comme nouvelle... J'aimerais tellement partir de ce trou ! Je vis dans une sorte de cahute étant donnée que je suis issue d'une famille très pauvre.
Bon,comme je l'avais prédit,j'entends du bruit.Mes parents descendent.Je te donnerai des nouvelles plus tard ! (je me mets à tutoyer un livre maintenant...).
Suite
11 février à 10.15.
A l'heure où je t'écris j'ai déjà été jetée dans un train avec un billet que mes parents m'avaient donné vers une direction m'étant inconnue.En effet,réalisant mon rêve secret,mes parents avaient décidé de me "virer" de la maison,jugeant que j'étais assez grand pour avoir de l'autonomie.J'ai déjà surpris mes parents dans une discussion en train d'argumenter mon départ le jour de mon anniversaire: si elle part,nous aurons plus d'argent pour nous...Moi je dis: Parents indignes même si je les aime encore.Je ne sais pas si je dois m'attendre à des lettres de leur part.A propos,mon père est mineur,il revient très rarement pour discuter avec ma mère.En effet,nous sommes toujours pauvres car mon père ne trouve rien,absolument rien.J'ai toujours rêvé que mon père touche le jackpot.Evidemment,qu'un rêve.Maintenant,le jackpot,JE vais devoir le toucher dans ma nouvelle ville de résidence,Salou d'après mon billet...
Ligne 3: grande*
11 février à 11.21.
En dehors de la gare,une carte à la main en tirant ma valise,je parcourais les mini-allées de Salou.Salou... Ce village n'était pas si mal tout de même ! Mon village était mignon,des petites fleurs et des arbres frutiers ornaient les beaux chemins du village... Mon rêve quoi ! Tandis que je me rendais à la mairie,j'eus l'occasion d'observer mon entourage en détails.
Une fois à la mairie,Opelie la secrétaire,me donna l'occasion de louer une petite maison qui pourrait,avec des travaux,
devenir une villa ! J'ai louer une maison au toit rouge au bord de la mer,comme je les aime ! Mais le problème,c'est que
je n'ai aucune clochette (monnaie officielle de Salou).Mais je me suis rendue chez moi où je m'y suis rapidement endormie...
Juste un conseil, évite de faire des suites trop rapidement. Fais une partie par jour, pour faire durer le suspense, et pour qu'elle soit plus longue.
12 février à 9.25.
Ce matin,je me suis réveillée tôt pour me promener,ainsi je vis la petite boutique des Soeurs Doigts de Fée,le magasin de Tom Nook,le fameux raton laveur censé construire ma maison...Mais en repassant devant ma maison,je vis un colis au travers de la fente destinée aux lettres...
Je ne pu résister à l'envie de regarder ce colis."Lena Tiesdale-Papa" était inscrit dessus.Une lettre y était jointe:
"Ma Lena,
J'ai du te faire partir à contre-coeur mais sache que je t'aime plus que tout.J'ai décroché le jackpot aux mines et je t'en envoie l'intégralité.Je ne peux hélas venir te chercher
dans ta nouvelle ville.Fais bon usage de toutes ces pierres,
Je t'aime
Papa."
Stop.
Sinon, ta fiction est superbement rédigée, il manque juste des epaces après les virgules et les points.
Suiiiiite!
Oui, une longue suite demain.
suiiiiiiiiite
Merci pour tout les compliments ! Merci pour les conseils Meeliss !
J'aime, pour une fois que j'ai pas la flemme de lire.
12 février, quelques minutes plus tard...
J'étais abasourdie par le poids de toutes ces pierres précieuses. J'avais du mal à réaliser que j'étais à présent riche. Même très très riche. J'étais au bord des larmes. J'ai toujours su que mon père se laissait toujours mener par le bout du nez par ma mère. Celle-ci ne devait même pas savoir que j'étais en possession de ce colis. Elle ne devait même pas savoir non plus que mon père avait trouvé quelque chose. Il avait du rentrer à la maison avec une fausse mine triste,et dit à ma mère que les recherches était toujours vaines. Je ne pouvais hélas envoyer de lettre à mon père pour le remercier, étant donné que ma mère elle seule possédait les clés de la boîte aux lettres.
mais plus de temps à perdre: je devais me rendre en ville pour estimer tout ces joyaux,en garder quelques uns en souvenir de mon père que je ne reverrais sans doute jamais,et vendre le reste pour pouvoir vivre et reconstruire ma maison.
Je suis assise sous l'arrêt de bus et j'attends celui-ci.
Voyons,je suis assez pressée comme ça ! Ah,le voilà,je dois te refermer.Je te promets de m'assoir quelque part pour t'informer.
Merci Manon
Je suis en train d'écrire ma suite.
Je vous la soumets bientôt !