Et pourtant, c'est l'avenir

J'compte finir cette fanfic en vitesse, sans bâcler la fin toutefois, mais la motivation est en chute libre

Et je compte pas poster chaque chapitre avant d'avoir au moins 5 pages, et la première partie (sur 3) du chapitre 12 est pas encore finie.

Bon, petite annonce qui va en réjouir plus d'un *sourire cynique*.

Je sais que c'est pas bien, que c'est une erreur, que j'aurais pas du le faire, mais j'me suis lancé dans un autre projet en parallèle en attendant le retour de l'inspiration, tout en en reprenant deux autres à côté, donc la fic va prendre un coup au niveau de la productivité.

Mais je vous oublie pas, ayez foi en moi

Oulala le vilain Juste par curiosité, on pourrait avoir les liens des projets en question ? (et non promis c'est pas pour aller troller dessus )
En même temps si tu n'as plus d'idée pour la suite la pire chose à faire ce serait de te forcer pour en trouver...Je pense qu'écrire autre chose en même temps ça permet aussi de se "déconnecter" et de pouvoir revenir dessus après avec l'esprit plus vide. (Cette phrase est assez chelou mais je me comprend).
Donc bah voilà, si tu passes les liens de tes autres fic j'irais surement jeter un oeil (même si pour Fire Emblem je suis pas trop connaisseuse)et j'espère quand même que tu retrouveras vite l'inspiration pour celle-ci !

Je pense tout pareil que Gamile Sauf pour ce qui est de son intention de ne pas troller

• Prépare son matos de trollage*

D'accord, alors j'vais envoyer un MP à Camille

Méchant

Mp bien reçu, merci !
Par contre c'est Gamile, pas Camille

GG Viktoo pour ton idée.

Quelle idée ?

Ta fic et ton idée dans la Boite à Idée, sur Fire Emblem.

Ah, ça ^^
Merci.
Pour l'idée dans la BAI au fait on y réfléchit depuis pas mal de temps avec le forum de Fire Emblem Awakening.

tu veux combien pour finir cette fic

• 1000 , 2000 ,3000*

Ca te vas ?

• Remets une couche de carte Ra KI:U...En or*

Et maintenant

Ha ha désolé, mais en ce moment j'ai beaucoup bossé niveau écriture, entre un truc pour le collège, un truc pour un forum de RP (pour leur prouver que non je ne suis pas mort et parce que c'ets moi qui fais avancer l'histoire) sans oublier les cours de batterie et bien s^pur le collège, et quelques problèmes personnels, on a vu une grosse baisse de productivité au niveau de cette fic.

Mais je savais pas quoi faire ce soir (purée c'est rare les jours où j'ai rien à faire ! )donc je m'y remets.

Heureux de savoir qu'on peut à nouveau ésperer

• prepare son pistolet devant la maison de Victoo*

¨pan pan pan¨
la mère le père et le chien sont mort
-LA FIC BORDEL ON LA VEUT

• arme le mortier et l'artillerie, prêt à raser le village pour se débarasser des assaillants.*

Tu l'auras !
Quand j'me serais relu, après avoir fini mon chapitre, et c'est pas d'main la veille.
Et c'est un K à Viktoo.

dsl au fait ça te dit une partie ?

Et il suivit le même itinéraire que la dernière fois, entrant par une brèche dans la muraille, se jouant des gardes, traversant les salles richement décorées, les corridors longs, larges et lumineux, les escaliers décorés d'or...

Le château se composait de deux parties. La partie publique, et la partie des gardes. LA première, belle, spacieuse et décorée, était visible par tout le monde. La seconde, à côté, autour, au-dessus, en-dessous, était inaccessible et indétectable par quiconque ne connaissait pas son existence. Couloirs minuscules, pièces minables, ampoules nues... Les gardes et les domestiques passaient par là pour rejoindre les différentes parties du château, et on ne pouvait accéder que par là aux appartements de Hadès, et à la Dernière Forteresse, donjon imprenable sous Tartarus. Raven connaissait un passage, et disparut vite derrière une tenture représentant l'un des sept péchés capitaux : La luxure.

Il se glissa dans une minuscule salle à manger qui devait subvenir aux besoins des dix serviteurs de cette région du château, traversa de part en part l'immense cuisine qui abritait des centaines d'esclaves, hommes, femmes, enfants, qui travaillaient ici jour et nuit dans l'ombre, sans salaire, sans reconnaissance, se tuant à la tâche...

Il resurgit dans la partie propre du château derrière une tenture de la gourmandise, et traversa le même grand corridor qu'au début. Plus aucune trace de l'homme à la cape verte. Une tenture de l'envie cette fois l'absorba, et il reparut derrière la paresse, sur une galerie qui faisait le tour, en hauteur, de la salle du trône de Hadès, où le dieu, sous forme humaine, dormait, son épée réparée plantée dans le sol à ses côtés.

Rupture du sort. Encore ce passage dans le Mode de Clairvoyance, puis son corps se retrouva là où était le clochard quelques secondes avant.

Cinq balles de paralysie, cinq de poison, cinq de feu... puis des dizaines de balles normales ou magiques, avec ou sans altérations... De toute façon une fois le dieu réveillé aucun coup ne lui infligerait plus d'un point de dégâts. Il devait donc mettre les altérations de dégâts sur la durée et les balles les plus puissantes au début de sa rafale, et compter ensuite sur sa cadence de tir. Et ne pas rater son coup. Raven visa.

Le silence comme l'air de la salle du trône furent déchirés par une rafale assourdissante qui semblait ne pas vouloir prendre fin. Le compteur de dégâts de la mitraillette s'emballait, puis ralentit brusquement. Paralysé, brûlé, empoisonné, le dieu se réveilla. Au bout de dix secondes, il fut de nouveau maître de ses mouvements. Il empoigna sa lame et bondit.

Raven bondit en arrière, jetant sur le côté sa mitraillette déchargée, et saisit son fusil à pompe. Maintenant il devait infliger des dégâts le plus vite possible, et, sans arme à rafale, les volées de dix plombs du fusil à pompe étaient la meilleure solution. Le dieu attaqua une fois de plus.
Raven bondit, sur le côté cette fois, et chuta, sur une distance de dix mètres.

AÏE ! Sur le dos, il respira deux bons coups, avant de rouler sur le côté. La lame du dieu se planta à quelques centimètres de son corps. Son visage se pencha vers l'agent.
-Alors, on vient me déranger dans mon sommeil ?
Raven répondit par un tir en plein dans l'oeil, à bout portant. La puissance de l'arme annula le pouvoir passif du dieu, qui réduisait un tous les dégâts et empêchait les altérations, et Hadès se retrouva bientôt à un pour cent de ses PVs.
-Maintenant ! Le sort de capture !

Les doigts de Raven volèrent, et bientôt le dieu en face de lui fut immobilisé. Raven finit son sort, et bientôt le maître des enfers avait disparu.
-Trop simple, fanfaronna Raven.
-Beau boulot. Tu peux rentrer à la base.

L'homme se jeta en avant, et envoya son poing vers le visage de son adversaire. Esquivé. Il enchaîna avec un coup de pied puissant, vers la tête une fois de plus. Esquivé encore. Son adversaire était loin d'être un empoté. Il tenta une fois de plus un coup de poing, de la main droite cette fois, et l'homme en face esquiva en se baissant. L'ancêtre frappa trois fois son agresseur, du tranchant de la main, au niveau des côtes, avant d'y projeter son épaule. Le plus musclé des deux hommes recula, prudent.

-Alors, Magnus, ne me dis pas que t'es incapable de battre un vieillard ? Provoqua Grey.
-Ha ha ha... tu veux vraiment que j'y aille à fond ?
-Ouais... Montre-moi c'que t'as dans le ventre, gamin !

Magnus se jeta une fois de plus à l'attaque. Son poing fendit l'air, suivi de l'autre, puis son pied vola. Grey para tous les coups avec une aisance déconcertante.
-Trop lent, combien de fois vais-je devoir te le répéter ? Frappe plus vite, plus fort, envoie ton poing tel une flèche ! Tu dois me frapper, me faire mal, me détruire !
-Ha ha ha... PRENDS ÇA !

Le coup passa juste à côté de la tête de Grey, qui avait esquivé au dernier moment.
-Continue !
Le suivant ne le rata pas, et le vétéran se retrouva au sol.

-HEADSHOT ! Explosa Caïn en riant.
-Waow ! Lâcha Jyn, assise à côté de lui ?
-Grey, ça va ? S'inquiéta Dolph.

Toutefois l'homme ne tarda pas à se relever, et à tendre vers son adversaire son poing, pouce levé.
-T'as fait des progrès.
-Hé hé...
-Dolph, à toi ! S'exclama Pit en se levant.

Il vint se placer au milieu du sable, et appela Dolph à le rejoindre. Ils furent vite tous les deux debout sur le sable chaud, l'un en face de l'autre, torse nu, se défiant du regard.
-Tu connais le principe, Dolph, et ton problème.
-Le combat en armure à mains nues ?
-Voilà. J'vais mettre une armure rembourrée, en mousse pour pas te faire mal, et tu vas essayer de m'infliger cinq mille points de dégâts, le plus vite possible.
-D'accord. Par contre je risque de galérer.
Pit finit d'enfiler son heaume de mousse, qui complétait un plastron, des spalières, et le reste d'une armure peu solide, avant de répondre.
-Ha ha non, pas de galère. Les choses se compliquent au niveau de la guerre, on doit devenir plus forts qu'on ne l'est déjà. Chaque jour on doit s'améliorer. Tu as fait cinq minutes hier. Quatre cinquante maximum aujourd'hui, sinon tu payes un coup en taverne à Magnus.
-Argh, c'est terriblement cruel ça mon général ! Lança Caïn. Toutes ses économies vont y passer !
-Tu ne veux pas, hein ? Alors arrange-toi pour me faire mal. GO !

La réaction ne se fit pas attendre, et très vite l'armure encaissa ses premiers dégâts.
-Plus fort ! Lança Pit. Je n'sens rien ! Pense à ton fric !
Les coups gagnèrent en puissance, les dégâts montèrent plus vite, mais c'était pas encore génial. Les poings pleuvaient, les pieds volaient, l'armure subissait, Plusieurs fois l'ange ferma les yeux en voyant une jambe s'approcher de son visage à une vitesse folle.

Dolph finit par trouver le moyen d'infliger des gros dégâts. Solidement campé sur une jambe, il envoyait à répétition son autre pied dans le torse de Pit, qui ne tarda pas à réagir. Il saisit la jambe, s'écarta, tira, et envoya son poing dans le visage de Dolph.
-Tu te bats contre un homme, pas un pantin ! Quand on se fait frapper, on réagit ! A chaque fois que tu utilises le même coup, tu augmentes les chances de te faire contrer. Surtout que te foutre par terre quand tu tapes comme ça est simple, sur un champ de bataille tu serais déjà mort. Nous ne sommes pas des dieux, memento mori. Dolph, adapte-toi, change de coup à chaque fois, débrouille-toi, mais maintenant je vais me défendre. On remet le compteur à zéro, et pas de coup à tes frais pour Magnus. Descends-moi le plus vite possible. Atteins aussi rapidement que tu le peux les trois mille dégâts.

-GO !
Dolph comme son adversaire se jetèrent en avant, et les épaules se rencontrèrent. Pit frappa du coude, mais le poing de son partenaire d'entraînement atteignit son visage, et Dolph se mit hors de portée. Pas longtemps. Il bondit, et en redescendant frappa au visage encore, du pied. La violence du coup fit chanceler Pit, un coup de poing le fit reculer, un autre pencher dangereusement vers l'arrière, et un troisième le mit au sol.
-Quand tu es là, achève ton adversaire en vitesse, pour passer à un autre le plus rapidement possible. Chaque seconde perdue est une occasion de mourir. Achève-moi !

Le heaume prit la plupart des dégâts, mais Pit regretta ses paroles. Quand le pied de Dolph quitta son visage au bout du dixième coup de la plante, le compteur de dégâts était loin au-dessus des trois mille.
-Comme ça ?
-Ouais, mais là on est à l'entraînement. Enfin, tu t'es très bien débrouillé.

-Excusez-moi...
Tous se retournèrent vers celui qui avait parlé. Un jeune homme, avec des cheveux roux encadrant un visage légèrement arrogant sans manquer de charme, nonchalamment adossé au Pommier d'Or, venait de prendre la parole.
-Oui ? Demanda Pit, sans aménité, mais sans animosité non plus.
-Est-ce que vous prenez des apprentis ? Ma famille est pauvre, ma mère est malade, j'ai besoin de coeurs pour acheter des médicaments, et je veux me battre pour la Nature, et...
-Viens, ordonna Pit.

Il s'approcha.
-On va te tester. Trois minutes. Si tu n'as pas été mis KO à la fin du temps, c'est à dire à terre pendant dix secondes, alors on peut envisager les choses. Sinon c'est mort. Si tu arrives à infliger quelques dégâts à Magnus, tu te fais un bagage. Une minute de préparation. Jyn, occupe-toi du nouveau ! Griffes Boxeur, sans bonus, avec de la puissance au CàC ! Magnus, tu t'équipes tout seul, griffes Rembourrées, pour le reste tu te débrouilles.
-Ça roule ! Viens par ici, vite !
-OK...

Magnus partit prendre des Griffes Rembourrées, pendant que Jyn fouillait dans le tas d'armes d'entraînement.
-Tu t'es peut-être déjà battu, dans la ville de la Nature. Toutefois ça n'a rien à voir avec ce que tu vas subir. Tu dois absolument éviter de prendre le moindre coup. Le moindre coup ! N'importe quelle touche peut t'être fatale, et c'est pas tes gants qui vont t'aider. Ils ne sont là que pour te faire croire que t'as une chance de toucher Magnus.
-Avec un coach aussi beau que le mien, vous pensez vraiment que je peux perdre ?
-Tu penses vraiment que tu peux gagner ? On dit dans Lux que vaincre Magnus en duel est impossible.
-Tous savaient que c'était impossible. Puis un est arrivé qui ne le savait pas, et il l'a fait. C'était écrit dans ma salle de maths pendant quatre ans, c'est imprimé dans mon cerveau.
-Est-ce que ces griffes te vont ?

Il les essaya avant de répondre :
-Comme un gant, si je peux me permettre un jeu de mots...
-OK. Base tout ton combat sur l'esquive, essaye éventuellement de frapper du pied s'il s'approche trop, mais ne tente pas d'assaut barbare, et ne baisse jamais ta garde. Bonne chance !
-Merci !
-Les duellistes, sur l'arène ! Ordonna Pit.

William jeta un dernier coup d'œil sur la belle blonde qui l'avait équipé. Pas qu'il ne l'avait pas encore matée, loin de là, mais elle était loin d'être moche. Il n'avait jamais perdu un duel, lui, chef d'un des plus grands gangs de Shizen, la capitale de la Nature. Rester sur la défensive et esquiver...

Dès que le gong retentit, il se jeta en avant. Apparemment surpris, son adversaire frappa. William leva les bras. Trop tard ! Le poing passa entre, et l'atteignit en plein dans le visage. Il se sentit s'envoler, et atterrit trois mètres plus loin, la figure en sang. Il allait se relever, quand un pied énorme chaussé d'une sandale se posa sur son torse.
-Un... Deux... Trois... Quatre... commença Pit.
Solution... vite ! Une solution !!
-Cinq... Six...

Récapitulatif : A terre, tronche en sang, pied, torse, dix, sandale... Sandale !
-Sept... Huit...
William saisit entre deux doigt le petit orteil de Magnus, et le tordit sauvagement. L'homme retira son pied avec un cri, et l'adolescent roula au sol et se releva.
-Neuf... Ça va ?

-Ouais, répondit William après avoir craché un peu du sang qui avait coulé dans sa bouche.
Il ne pouvait pas abandonner. Son nez était en miettes, il devait avoir une arcade fendue et la lèvre probablement explosée, il ne devait pas être beau à voir, mais il ne pouvait pas abandonner. A part que... Il l'avait trop négligée, trop repoussée. Là elle revenait au galop, frappante, puissante, terrifiante, violente... La douleur.

Le sang battait à ses tempes, chaque coup de son coeur faisait pulser sa douleur dans son visage, et la souffrance de son torse écrasé. Il avait répondu « Ouais » ? Ses parents n'auraient pas été fiers. « Le mensonge est le premier pas sur le chemin de l'escroquerie », lui avait appris son père. Et lui... Raah ! De toute façon, il n'avait pas le choix. Il devait gagner de l'argent !

Il se jeta sur le côté, esquivant un coup de poing violent, puis roula au sol pour ne pas prendre un pied dans le visage. Il se retrouva près de sa coach.
-Ta garde !
Les poings fermés de William se placèrent instantanément devant son visage.
-Bien ! Protège ta tête, mais fais attention à ton torse ! Et évite le contact le plus possible. Fais-le courir et taper dans le vide !

Il s'exécuta, fuyant quand son ennemi se rapprochait, crachant à intervalles réguliers le sang qui emplissait sa bouche, et esquivant les coups quand ils arrivaient, faisant traverser l'arène à Magnus et à son corps qui commençait à fatiguer de courir dans le sable.
-Trente secondes, annonça Pit d'une voix neutre.

William recommença à espérer.

Pas longtemps. Il dut se jeter à plat ventre pour esquiver un crochet, rouler en avant pour ne pas prendre un coup de pied, et s'éloigner par bonds successifs de son ennemi.
-Alors, tu fatigues ? Lança ce dernier, provocateur.
Les yeux verts de William croisèrent ceux, noirs, de Magnus. Tous deux étaient déterminés. William voulait gagner du temps, Magnus ne pas en perdre, mais il savait que c'était fini. Il en restait que dix secondes, même s'il le mettait à terre, la fin du combat serait déclarée avant le KO.

William se contenta de cracher un peu de sang avant de répondre, comme il le pouvait (sa lèvre supérieure avait triplé de volume) :
-J'ai déjà plus de tronche, alors si je devais continuer à me battre...
-Fin du combat ! Annonça Pit.