CONNEXION
  • RetourJeux
    • Tests
    • Soluces
    • Previews
    • Sorties
    • Hit Parade
    • Les + attendus
    • Tous les Jeux
  • RetourActu
    • Culture Geek
    • Astuces
    • Réalité Virtuelle
    • Rétrogaming
    • Toutes les actus
  • RetourHigh-Tech
    • Actus JVTECH
    • Bons plans
    • Tutoriels
    • Tests produits High-Tech
    • Guides d'achat High-Tech
    • JVTECH
  • RetourVidéos
    • A la une
    • Gaming Live
    • Vidéos Tests
    • Vidéos Previews
    • Gameplay
    • Trailers
    • Chroniques
    • Replay Web TV
    • Toutes les vidéos
  • RetourForums
    • Hardware PC
    • PS5
    • Switch
    • Xbox Series
    • Overwatch 2
    • FUT 23
    • League of Legends
    • Genshin Impact
    • Tous les Forums
  • PC
  • PS5
  • Xbox Series
  • PS4
  • One
  • Switch
  • Wii U
  • iOS
  • Android
  • MMO
  • RPG
  • FPS
En ce moment Genshin Impact Valhalla Breath of the wild Animal Crossing GTA 5 Red dead 2
Etoile Abonnement RSS

Sujet : Concours d'écriture n°10

DébutPage précedente
1234567
Page suivanteFin
Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 04:24:01

Pas de cérémonie, pas de blabla d'ouverture, je suis pas d'humeur. Trois textes, trois points, amusez vous bien.

--------------------------------------------------
-------

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 04:29:54

Les lauriers de la victoire

Le soleil était radieux en ce jour, éclairant de mille feu la glorieuse cité d'Aldéra, capitale du monde d'Aldéran IV et du secteur Elonis dans son ensemble. En ce jour de fête, uns foule immense s'était répandue le long des avenues pavés, s’était assemblée aux fenêtres des immeubles de marbre blanc, s’était installée confortablement dans des barques antigravs pour les plus riches d’entre eux afin de contempler le glorieux spectacle du jour.

Car oui ce jour était glorieux, ce jour était triomphal, le triomphe d'un homme attendu depuis des siècles par plusieurs milliards. Partout résonnait le son des trompettes et des tambours, partout se déployaient les banderoles et les drapeaux, les cloches des cathédrales du culte impérial sonnaient à l'unisson pour célébrer la victoire de ce jour.

Pour la première fois depuis six cents ans et le début de la dix septième guerre technologique, les vaisseaux étaient revenus de l'orient galactique, non pas porteurs des tristes balafres d'une guerre sans fin mais bien décorés de l'or et de l'argent de la victoire. Pour la première fois un Haut Maréchal pouvait affirmer avoir réellement vaincu la nuit et pouvait revenir en triomphe sur son monde natal récolter les lauriers qui lui étaient dus.

Tout au long de l'avenue de la Victoire, des rangs infinis de soldats se succédaient, progressant au pas cadencé sous les hourras de la foule en liesse. A l'avant les glorieux Equites aldérans progressaient sur leurs nobles montures, descendantes des chevaux importés de Terra plus de trente mille ans plus tôt. Les rayons de lumière accrochaient le fer de leurs lances et se réverbéraient sur leur cuirasse d'argent cérémonielles, leur donnant l'aspect de chevaliers des mythes antiques décrivant la préhistoire planétaire. Au milieu des cavaliers qui progressaient en effectuant toute sortes de simples mais impressionnantes manœuvres, d'autres Equites montés sur de plus récents coursiers, progressaient avec toute la grâce rendue possible par leur maîtrise de leurs montures. Les sentinelles blindées issues de la technologie SCS étaient une nouvelle forme de cavalerie. Avançant majestueusement sur leurs longues jambes de métal, elles levaient occasionnellement la tête pour tirer une salve d'honneur de laser ou de gros calibres dans les cieux.

Derrière les équites venaient les Comitensis, fils et filles de la noblesse planétaire, élevés pour la guerre, ravis à leur monde dès leur plus tendre enfance mais enfin de retour après plus de dix ans de campagne pour certains. Leur procession s'étendait sur plus de six kilomètres sur cette seule avenue et des milliers d'autres défilaient dans le reste de la ville. Leurs uniformes noirs couverts d'une armure lourde bleue nuit auraient pu les faire passer pour ternes mais leurs ceintures d'un blanc immaculé et leurs décorations d'or et d'argent réussissaient néanmoins à attirer le regard. Ce n'était cependant pas leur apparence qui resplendissait le plus mais bien leur noblesse et ce qu'ils représentaient. Tous progressaient dans une parfaite harmonie, leurs pas cadencés résonnant dans les canyons naturels que formait la ville. Ils faisaient preuve d'une discipline enviée par tous les secteurs voisins de l'Impérium et cette maestria gonflait d'orgueil le cœur de chaque spectateur présent car tous savaient que dans cette masse d'une coordination exemplaire se trouvait un ami, un fils, un frère, une sœur, peut être même un père.

Les vivats s'élevèrent plus fort que jamais dans l'air frais de la matinée tandis qu'Aldéran souhaitait un bon retour à ses enfants perdus. Certains parmi la foule avaient traversé plus de la moitié de la planète pour assister à cette procession, d'autres étaient descendus des stations spatiales qui toujours leur avaient servi d'habitation mais aucun ne regrettait de pouvoir contempler la gloire de sa planète et ne plus simplement en pleurer les pertes.

Disséminés ici et là, quelques représentants de l'administratum, venus de mondes aussi lointains que Kar Duniash ne pouvaient s'empêcher de se trouver impressionnés et à la fois émus d'une telle vue. Sur la plupart des mondes de l'Impérium, l'écrasante majorité des hommes et femmes partis combattre dans les étoiles ne retrouvaient jamais leur foyer, pas même pour un instant fugace tel que celui ci. Sur des centaines de millier de planètes les hommes vivaient dans le désespoir le plus noir et pour eux ceux partis pouvaient aussi bien être morts. Voir qu'une telle ferveur pouvait naître de si peu était à la fois impressionnant et très intéressant, un moyen comme un autre de maintenir le moral de la population haut et de la détourner des promesses que l'Ennemi pouvait lui faire. Car pour ces observateurs extérieurs cette journée n'était clairement pas une simple fête mais bien un moyen de garder un monde de plus en plus agité sous contrôle. Cependant ils ne voyaient pas clairement à quel point ils pouvaient avoir raison.

Derrière les Comitensis vinrent les impressionnantes colonnes blindées. A quelques mètres à peine de la foule massée sur les trottoirs, des centaines de Chimères se mirent à défiler, leurs trappes supérieures ouvertes afin que les escouades à l'intérieur puissent elles aussi saluer leur monde et marquer leur retour. Entre elles se trouvaient d'autres chars légers tels les rapides Salamenders, les redoutables Hellhoud et les puissants Devil-Dog. Derrière eux venaient des centaines de chars Leman Russ mais aussi de chars lourds Macharius et quelques dizaines de chars super lourds sur châssis de Shadowsword. Le bruit des milliers de chenilles sur les pavés était assourdissant, faisant vibrer le moindre spectateur jusqu'au plus profond de lui même mais la fascination qu'exerçait un tel déploiement de force dépassait largement l'ampleur du désagrément.

Partout dans la ville défilait une armée d'un million et demi d'hommes et de femmes heureux d'être de retour sous les yeux de dizaines de millions de spectateurs heureux de voir un tel retour. Il n'y eut nulle trace de prisonnier ennemi, il n'y eut nulle trace des milliers de blessés et d'infirmes, nulle trace des neuf cent milles aldérans morts au cours de cette croisade dont on célébrait la fin. Trois jours plus tard on procéderait à leur inhumation dans les catacombes de glace d'Aldéran III, une autre planète du système solaire veillant dans les ténèbres d'une nuit éternelle. L'éclat de ce jour en revanche ne devait pas être terni par quoi que ce fut.

Les troupes convergeaient vers la place centrale de la capitale et son magnifique palais, siège du conseil Aldéran, gérant du secteur au nom de l'Immortel Empereur Dieu de l'Humanité. Les equites furent les premiers à y arriver et accomplir diverses prouesses équestres sur son immensité dallée de marbre. Les fantassins à leur tour se mirent à y déboucher et se répartirent sur tout son pourtour, s'organisant en bataillons et en manipule, faisant toujours montre de leur parfaite coordination. Cependant leur masse était telle que nombre d'entre eux se retrouvèrent à stationner dans les avenues accédant à la place, ne pouvant voir que les deux immenses statues qui siégeaient au centre de l'espace, représentant l'Empereur en personne serrant la main de Forus Aldéran, le héros qui dix mille ans plus tôt avait fait rejoindre à son domaine l'Impérium naissant d'alors.

Personne cependant n’osait s'approcher des immenses représentations de basalte de cobalt d'or d'argent et de marbre. Tous restèrent au loin, comme si ils attendaient quelque chose. Petit à petit les vivats de la foule se firent plus discret alors que les spectateurs eux aussi sentaient que quelque chose était sur le point de se passer, le point d'orgue de ce défiler.

Le silence finit pas être total alors que la ville entière retenait sa respiration.

Puis le « bang » assourdissant d'une escadre complète de chasseurs Lightning passant le mur du son mit fin à l'attente. Tels de majestueux aigles, un millier de chasseurs envahirent le ciel, laissant derrière eux des traînées d'or et d'argent. Plusieurs minutes durant les pilotes de chasse alternèrent loopings et tonneaux, pointes de vitesse et départ en chandelle. Des écrans pix géants dispersés partout dans la ville retransmirent des images prisent par divers appareils volants stationnaires afin de retransmettre toute la maestria de la représentation.
En un instant le silence fut brisé, remplacé par un tonnerre d'applaudissements et de sifflements approbateurs. Des cris montèrent par moment lorsqu'un pilote passait en rase motte au dessus de la cime des bâtiments ou frôlait une barque antigrav de la haute noblesse mais chaque manœuvre était parfaitement maîtrisée, chaque pilote ne devant son retour qu'à sa parfaite maîtrise des cieux développée au long de dix ans de guerre. Seuls les soldats restaient silencieux, gardant le regard fixe et conservant une incroyable impassibilité. Ils n'en étaient que plus impressionnants.

Enfin une nouvelle vague d'aéronefs descendit des cieux : les rapides et élégantes valkyries.

Contrairement aux chasseurs, elles manœuvraient sans fioriture, progressant en courbes élégantes et fendant les airs en quelques secondes pour se poser au centre de la place en une formation parfaite. A peine eurent elles touché sol que leurs portes s'ouvrirent et que dix mille hommes en armures carapaces bleu nuit en descendirent. Moins d'une minute après l'apparition du premier transporteur aérien sur les premiers écrans pix, ils s'étaient déployés en ordre de bataille, usant de leurs véhicules et des quelques arbres et bancs de la place comme couvert. Quiconque ayant un peu de connaissance en matière de tactique aurait pu voir la magnificence de leur formation qui en quelques secondes avait transformé un terrain découvert en une véritable forteresse.

Une nouvelle fois la foule avait retenu son souffle puis s'était déchaînée plus encore lorsqu'elle avait reconnu les cataphractaires aldérans, l'élite suprême de l'armée ici assemblée, homme faits armes par leur simple entraînement, vainqueurs de milliers de campagnes à travers les âges.

Enfin, une dernière vague d'appareils descendit des cieux, plus lente mais plus majestueuse encore, elle se composait de cinq navettes Aquila entourées de dix navettes Arvus. Toutes se posèrent juste devant la gargantuesque statue et très vite les écrans pix en relayèrent des gros plans. Peu de monde prit garde aux fantassins en armures noires et rouges qui descendirent des navettes arvus avec une maestria non moindre que celle des cataphractaires, mais tous saluèrent à grands cris les maîtres de la croisade qui enfin se montraient.

Trente officiers apparurent, tous rendus célèbres par les efforts de la propagande qui dix ans durant avait relaté les exploits de la campagne. Il y avait parmi eux des amiraux, des princeps, des généraux, des maréchaux, des maîtres de la chasse. Mais un seul Haut Maréchal.

Lorsqu'il posa le pied à terre, ce ne furent pas des cris ni des vivats qui s'élevèrent mais un seul mot répété par plus d'un million et demi de gorges, l'hommage d'une armée au seigneur de guerre qui avait su la conduire à la victoire totale:

-Tiberius! Tiberius! Tiberius!

Rapidement le cri fut reprit par la foule puis fut scandé par des hauts parleurs, faisant vibrer le sol et exaltant les cœurs.

L'homme en question salua humblement puis s'avança vers une estrade qui avait été placée face aux statues des héros du passé, savourant son statut d'idole du présent. Il lui fallut plus d'une minute pour obtenir le silence, s'assurant que les écrans pix ne retransmettaient plus que son image. Ainsi tous les habitants d'Aldéra purent voir cet homme au visage fin mais sévère, au corps musclé mais relativement sec, aux yeux noirs perçants et aux cheveux blancs coupés courts prendre la parole.

-Citoyens et soldats d'Aldéran, nobles représentants de Terra, fidèles auxiliaires venus de cinquante mondes, moi Tiberius Alonus vous salut!

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 04:30:46

Suite du texte 1 : Les lauriers de la victoire

Le haut maréchal dû se faire silence un instant le temps que les vivats se calment à nouveau.

-Aujourd'hui enfin je foule de nouveau le sol de ma planète natale après plus de vingt ans d'absence, vous portant la nouvelle d'une de mes modestes victoires et je voit qu'un triomphe m'a été préparé. Jamais je ne pourrais assez vous remercier, tous autant que vous êtes !

De nouveaux cris montèrent, des cris de remerciement, des cris d'adoration, des cris que le maréchal avait attendu.

-Je vous entends me remercier mais je ne mérite pas tant. Je ne suis pas celui qui depuis six cent ans doit endurer chaque jours les privations grandissantes dues à la guerre, je ne suis pas celui qui ait donné la chair de ma chair à sa nation, je ne suis pas celui qui à la pointe de sa baïonnette ait délogé nos ennemis ni celui dont l'habileté en vol nous a assuré la victoire. En ce jour je ne suis que celui qui tente par tous ses moyens d'user aux mieux de vos forces infinies pour m'assurer que tous puissent vivre en paix sous la protection de l'Empereur et du Conseil Aldéran. En ce jour je ne suis que votre humble serviteur et je vous demande tout aussi humblement votre soutien pour continuer à vous servir de mon mieux.

Les vivats reprirent plus fort encore, venant à la fois des soldats et des civils. Tous étaient debout, tous applaudissaient, tous scandaient à nouveau son nom, auxiliaire comme noble, fortuné comme nécessiteux. Il était le héros de ce jour et il comptait bien en profiter autant que possible.

-Je regrette de ne pas pouvoir rester plus longtemps mais je me dois de rencontrer le conseil sans tarder afin de décider de la course à suivre pour notre glorieuse planète et notre puissant secteur dans son ensemble. Profitez de ce jour où nous sommes réunis et ne craignez nulles ténèbres!

Tibérius entouré d'une dizaine de gardes traversaient la place à dos de purs sangs des plaines de Deloi, se dirigeant droit vers le palais pour achever ce qu'ils venaient de commencer. A ses cotés chevauchait une haute silhouette vêtue de noir qui toujours jusqu'à présent était restée en retrait. Cependant maintenant que l'attention semblait s'être légèrement détournée elle pouvait à nouveau se rapprocher de son puissant allié.

-Étais-je convaincant Sybile? Demanda le Haut Maréchal.

-Tu croyais à tes paroles bien plus que tu ne veux l'admettre, répondit son interlocuteur, je l'ai senti en toi. La porte est désormais ouverte, il suffit d'en finir.

-Cela fait maintenant près de deux cent ans que nous coopérons mais jamais je n'aurais pensé que nous irions aussi loin.

-Jamais je n'aurais pensé que la situation arrive au point où nous dussions aller aussi loin...

La petite procession passa rapidement les portes d'argent du palais et tous mirent pied à terre avant de se diriger vers la salle du conseil.

Le lieu d'assemblée était réellement glorieux avec ses cinq cent sièges de velours placés en arc de cercle, ses murs peints par les plus grands artistes aldérans afin d'en raconter la glorieuse Histoire. Le toit lui même formait un dôme entièrement décoré à l'exception d'un puits de jour de cristal qui laissait filtrer les rayons bleutés du soleil jusqu'à une immense estrade décorée de boiserie où devait siéger le président du conseil. Les armoiries des différentes maisons nobles et corporations marchandes ainsi que les blasons de l'Administratum, de l'Eclésiarchie du Mechanicum et de l'Ordre de la Lame Écarlate témoignaient des différentes places accordées aux nombreuses factions du conseil. Cependant plus de deux cent sièges étaient vides et si quelques représentants arrivaient avec précipitation du triomphe, Tibérius savait que nombre des nobles de l'assemblée ne viendraient pas, préférant se livrer à leurs petits plaisirs éphémères que d'accomplir leur devoir envers leur patrie.

-Haut Maréchal Alonus, commença la présidente de l'assemblée, Euphrati Akadia, le conseil Aldéran vous est reconnaissant de vos succès récents dans la guerre contre l'archérésie de Lincia. Au nom du Domaine en son ensemble et de l'Empereur en personne, nous tenions à vous remercier.

Tiberius se contenta d'incliner la tête:

-Il est du devoir de tout Haut Maréchal de s'assurer de la victoire totale du Domaine sur tous les fronts possible INACI.
-In Nominem Alderanii Consilii Imperatorque, reprirent en cœur les membres de l'Assemblée issus d'Aldéran.
-Cependant, reprit la présidente, le conseil estime que vous semblez dépasser quelque peu votre simple devoir d'officier. Votre ovation d'il y a quelque minutes n'était pas indispensable et encore moins souhaitable. La dévotion de tous les habitants du domaine doit aller en premier lieu au conseil et à l'Empereur, en aucun cas à un individu en particulier.
-Veuillez excuser le peuple Aldéran de témoigner un peu de reconnaissance à ceux qui ont le mieux servi l'Empereur cette dernière décennie.

Des murmures se mirent à monter de la part de nombreuses très grandes familles ainsi que de la part des tribunes dédiées au culte de mars. Un magos en particulier prit la parole:

-Selon nous celui qui a sacrifié près d'une trentaine d'avatars de l'Empereur-Omnimessie au nom de sa quête de pouvoir ne peut pas être considéré comme le meilleur de Ses serviteurs.
-La maison Tiria ajoute que de nombreux maréchaux ont par le passé eut l'honneur du triomphe mais qu'aucun n’a jamais eut la prétention de se placer au devant du conseil.
-La corporation Erstus ajoute que ce triomphe dépasse un certain nombre de closes concernant l'organisation des représentations militaires en ville, vous avez déployé un régiment entier sur la place de la Concorde, ce qui est une violation évidente de la sacralité du lieux. De plus le fait de faire venir des chars super lourds en ville a causé un grand nombre de dommage aux chaussés que nos experts sont déjà en train de chiffrer et dont la réparation en reviendra probablement au conseil.
-En tant que présidente, repris Euphrati, je ne puis en outre tolérer que l'un des représentants de la puissante Aldéran en ait été réduit à négocier un cessez le feu avec notre ennemi, avec une hérésie du plus grand ordre. Ce simple fait peut vous valoir très cher Alonus, l'Ordo Praetor veille et...

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 04:31:06

Méprisables, tous autant qu'ils étaient.

Ils le remerciaient de ses victoires sans en voir la portée ne se rendant pas compte de la menace sous laquelle se trouvait le secteur. Ils étaient en guerre, en guerre contre les ténèbres les plus sombres comme l'était l'Impérium entier. L'Empire Tau au sud est se faisait menaçant alors que l'empire hérétique de Lincia au nord menaçait chaque jour de plonger le Domaine dans l'esclavage et le culte des dieux noirs. Et dans le même temps ces bureaucrates ne voyaient que le risque que perdre leurs pouvoirs. Ils étaient souillés, derniers seigneurs d'un système à l'agonie. En ce jour Tibérius était le héros, il était fier d'être loué par son peuple mais il fallait à ce peuple un nouveau souverain pour le sauver de la nuit.

-Présidente, vous parlez de pacte avec l'ennemi, mais qu'en est il du vôtre?

Le silence revint soudainement alors que tous fixaient la noble prise totalement au dépourvu.

-Je... je ne voit pas de quoi vous voulez parler je...
-Vous savez parfaitement, reprit Tibérius, que ce magnifique précepteur que vous avez choisit à votre fille et qui vous tient lieu de tendre compagnie depuis la perte tragique de votre mari est un adorateur des sombres puissances de même que votre propre enfant et peut être que vous...
-Comment osez vo...
-Quand au cartel Estrus, pensez vous réellement que le commerce de drogue linciane dont les origines se trouvent probablement au fin fond du warp soit la plus noble initiative?

Le représentant de l'ensemble marchand resta sans voix.

-Vous parliez de l'Ordo Praetor, il se trouve que j'ai avec moi son nouveau maître, l'Inquisiteur Sybile et il a eut la peine la plus terrible de découvrir un très grand nombre de choses sur ce conseil.

Alors même que le Maréchal continuait de parler, une centaine d'hommes dans les armures rouges et noires des troupes de choc de l'inquisition se déversèrent dans la salle d'assemblée et se dirigèrent droit vers une quarantaine de nobles qui avaient été prouvés coupable de connivence avec l'ennemi.

-Conseillers d'Aldéran, fils et filles de grandes familles, éminents représentants de l'autorité de Terra, vous savez qu'en notre sombre époque il n'y a que la guerre. Depuis deux cents ans je combat les ennemis de l'Impérium et d'Aldéran partout où je peux les trouver même en cette auguste assemblée. Cependant, je ne peux agir par mon seul titre de Maréchal, je ne peux faire preuve de la force nécessaire pour que Sa volonté soit fait en ce Domaine. Aussi je vous demande de me remettre votre confiance ainsi que le titre de Dictator Alderanii, de Maître de Guerre du Secteur Emelia.

-Vous n’êtes rien, cracha la présidente alors que des soldats tentaient de la saisir. Personne ne peut saisir le conseil Aldéran. Nous représentons le peuple de tout un secteur, notre règne dure depuis les ténèbres de la Longue Nuit. Même les autorités impériales ne peuvent aller contre la volonté du conseil, contre la volonté du peuple, contre la volonté d’Aldéran elle-même !

-Entendez vous Euphrati, répondit le Haut Maréchal, entendez vous les cris de la foule ? Ce n’est pas votre nom qu’ils scandent mais bien le mien. En ce jour je suis le peuple Aldéran et par la même je suis le conseil. Ceux qui s’opposent à moi n’ont plus lieu d’être.

L’inquisiteur lui-même avait fendu l’assemblée et avant qu’elle ne s’en rende compte, la préidente s’était retrouvé avec le bout de son arme de force sous la gorge.

-Vous êtes le passé, un passé de honte et de défaites. Maintenant disparaissez et laissez moi batir l’avenir.

Les choses étaient allées à toute vitesse et l'assemblée resta figée un moment à l'exception des quelques nobles qui se débattaient ou même tentaient de fuir devant les troupes de choc inquisitoriales. Puis tel un murmure un mot se remit à courir, prenant de l'ampleur, partant des places des petites familles et des autres hauts généraux pour atteindre finalement tous les gradins:

-Alonus! Alonus! Alonus!

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 04:55:43

Suite texte 2

L'Eldar avait observé toute la scène sans le moindre mouvement. Mais pour lui, c'était l'heure d'agir. Il passa silencieusement une de ses mains dans son dos, saisit son
fusil et le passa doucement au-dessus de lui. Soudain, le bout du canon heurta l'une des chauve-souris présentes dans l'échafaudage. Dans un incroyable boucan, toute la colonie
se réveilla et s'envola, envahissant toute la pièce. Les adorateurs, surpris, furent dégagés de leur transe et se mirent à paniquer, ne sachant ce qu'il se passait. L'homme en armure resta totalement neutre, aucune expression de surprise ne s'inscrivait sur son visage.

D'une voix toujours aussi puissante, il prononça une poignée de mots. A peine eut-il fini que toutes les bestioles furent comme paralysées dans les airs, avant de s'abattre au sol,
à l'extérieur du cercle. Alors que les adorateurs se calmaient, l'homme en armure fit de nouveau tonner sa voix, son regard orienté vers l'échafaudage :
- Sors de là, Eldar !

D'un seul bond, il quitta sa cachette et se retrouva par terre, face à celui qui l'avait découvert. Il se savait en infériorité numérique, mais il restait confiant. Du haut d'une pose fière, il examinait la scène, cherchant toutes les possibilités, et lisant la peur qui s'inscrivait sur le visage des adorateurs. Ces derniers murmuraient sans cesse entre eux. Ils s'interrogeaient, s'intéressaient, mais surtout craignaient l'être qui venait d'apparaître. Ils
regardaient sans cesse vers leur sorcier, comme s'ils attendaient un ordre.
- Silence ! hurla l'homme en armure, excédé par ces bavardages. Vos parlottes inutiles feraient fuir un ork tellement ça le dégoûterait ! Et surtout, vous êtes indignes du seigneur ! Cet Eldar lui ferait un excellent sacrifice, tant son savoir doit être étendu.

A ces mots, les adorateurs s'avancèrent en une formation serrée, très hésitants. L'Eldar les regardait, interloqué. N'étaient-ils vraiment qu'une bande de pleutres ?
- Inutile, dit-il en posant la main sur son fusil. Je n'ai aucune chance de m'en sortir, alors je préfère me rendre. Tenez, mon arme.

D'un geste souple, il la jeta vers l'adorateur de tête, qui la rattrapa sans réel problème. Fasciné par le fusil, il le fit tourner dans tous les sens, le regardant sous ses
moindres coutures. Mais soudain, son visage d'admiration se transforma en une grimace d'horreur, avant qu'une violente explosion ne secoue la crypte. La déflagration emporta
une grande partie des adorateurs. Une rapide nuée de filaments blancs perça la fumée pour achever ceux ayant survécu. Les restes de la détonation se dissipèrent pour montrer une série de cadavres. L'Eldar, lui, avait disparu.

L'homme en armure recula tranquillement, retourna au fond de la pièce, puis se baissa pour ramasser quelque chose. Il se tourna puis pointa un énorme pistolet vers l'échafaudage. Une balle siffla un instant après, et fit voler une poutre en éclats, sans atteindre sa cible. L'Eldar avait quitté sa
cachette à temps, et pointait maintenant deux magnifiques armes de poing blanches vers le sorcier. Il appuya sur les détentes, et une nouvelle nuée de filaments trancha l'air en un éclair, mais vint pourtant s'échouer sur l'armure. Le tireur courait partout, décrivant des trajectoires complètement aléatoires, et lâchant une courte rafale à chaque virage, cherchant à harasser son ennemi. Soudain, il rangea l'un de ses pistolets, porta sa main libre à sa ceinture, et lança quelques billes partout dans la salle.

Elles éclatèrent à l'unisson, libérant un épais nuage de fumée qui envahit la crypte. Le sorcier n'eut même
pas le temps de se mettre à chercher l'Eldar qu'il vit une lame bleutée lui sortir du torse. Sa cible était derrière lui, fermement accrochée à la poignée d'une épée énergétique.
Sans même faiblir, l'homme en armure fit un rapide tour sur lui-même, faisant lâcher prise à son ennemi. Il lui asséna immédiatement après un violent coup de pied dans le ventre,
l'éjectant à travers toute la crypte.
- Misérable Eldar, cracha-t-il. Tu ne peux rien contre le seigneur du changement. Il avait prévu ton arrivée et toutes tes actions. Il m'a donné ce qu'il faut pour te faire
disparaître. Admire !

La sphère d'énergie qui trônait au milieu de la salle se mit à rayonner et à s'agrandir à mesure que le sorcier parlait en langue noire. L'Eldar, fortement blessé, leva les yeux pour regarder la scène. Il mit sa main droite sur son poignet, et esquissa un léger sourire. Un instant après, un minuscule bip sonore se fit entendre dans le dos de l'armure, qui fut immédiatement noyée dans une violente explosion. Une autre détonation fit voler en éclats la torche centrale, et disparaître la boule d'énergie. Lorsque la fumée se dissipa, le sorcier était toujours là, tremblant, son armure détruite révélant une peau meurtrie. Son visage se tordait sous un effroyable rictus nerveux.
- Misérable fou ! hurla-t-il d'une voix bizarrement aigüe. Je vais te massacrer, je vais te tuer, je vais te détruire, toi et ta pierre esprit !

Il se mit à courir à toute allure vers l'Eldar, montrant la ferme intention d'en finir. Le tireur, au sol, sourit de nouveau et dégaina ses pistolets, avant de vider les chargeurs vers le sorcier, le criblant d'impacts. Sa course fut arrêtée nette. L'homme en armure vacilla, puis s'effondra. Les regards des deux êtres se croisèrent, la froideur du devoir croisa la folie de l'échec.

Lorsque l'équipe impériale arriva le lendemain, tout avait disparu. Le château dans la montagne n'était plus qu'un tas de ruines. Seules les incroyables montagnes restaient
témoins du culte noir.

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 05:01:42

Le commencement

Une nuit noire, comme les autres. Les caniveaux de Quintus étaient abreuvés par les cieux qui déchainaient sur la ville une pluie acide. Une atmosphère lourde et oppressante régnait sur le labyrinthe sombre des ruelles. Les lumiglobes, qui ne parvenaient pas à éclairer correctement les allées, ne faisaient que renforcer cette impression. Une nuit noire, sombre et terrifiante, comme les autres.

Cela faisait plusieurs décennies que le crime n’était plus le problème majeur de la planète. Il y avait veillé. Lorsqu’il était jeune, il n’avait pas pu l’accepter. Et aujourd’hui, ça n’avait pas changé. Rien n’avait changé, en réalité, toujours la même nuit, toujours cette ville, toujours lui-même. Il observait la planète depuis l’orbite, son vaisseau ancré non loin de Tenemor. Elle non plus n’avait pas changé. Elle était restée la pâle lueur de son cœur, voilée et ténébreuse, comme la lune qu’elle était, rien de plus. Un roc de certitudes indissoluble. Il s’identifiait à elle selon ces critères, et de toutes façon, pourquoi en aurait-il choisit d’autres ?

Du temps où il faisait personnellement la loi sur son monde, on racontait qu’un cauchemar paré d’ombres hantait les rues de Quintus. Auparavant, la terreur induite par les criminels de grand nom était à même de plier la ville en deux par leur simple volonté. Puis, il était venu. Très jeune, disaient certains, mais avec la force, la volonté et la stature d’un seigneur de l’Enfer. Il avait édité ses propres règles, et personne n’y échappait, pas même les anciens maitres des lieux. Il avait su distiller la crainte de son châtiment dans le cœur de ses ennemis. Il avait répandu une terreur qu’il avait soigneusement élaboré, comme un scientifique cherchant un remède à une maladie spirituelle. On retrouvait certains matins les corps de ceux qui transgressaient la loi. Éviscérés ou décapités, parfois même mutilés au-delà de l’imagination des pauvres témoins. Ces actes lui servaient à faire passer le message.

« C’est ce qui vous arrivera si vous n’obéissez pas. »

Un édit simple et efficace, renforcé et exécuté par l’homme qu’on surnommait désormais « Hante-La-Nuit, le Night Haunter ».

L’insécurité des rues de Quintus avait fini par faire partie du passé, hormis pour ceux qui continuaient à narguer le Night Haunter. Ceux-là lui échappaient le temps d’une nuit, voir deux. Jamais plus. Il les traquait impitoyablement. Partout, jusque dans les égouts des bas-fonds de la ville. C’était dans ces moments que son instinct faisait surface. A la manière d’un chat sur la piste d’une souris, sans jamais se laisser distraire par quoique ce soit. Puis il les trouvait, tremblants de peur, terrés au plus profond du trou qu’ils avaient pu dénicher, priant il ne savait quelle divinité de leur épargner le sort qu’il leur réservait. Espoir futile des ignorants et des faibles, se répétait-il. Comment un dieu, si puissant fut-il, pouvait leur épargner sa justice ? Ils le méritaient, ces misérables. Nul ne passerait outre sa loi juste sous son nez.

Il aimait cette époque. Il était maitre d’une ville et d’une planète entière dominées par les ténèbres et la terreur. Il avait tissé sa toile. Tel une chauve-souris, il avait étendu les ailes noires de la nuit perpétuelle sur le cœur des habitants de Nostramo, des plus humbles miniers aux plus puissants seigneurs aristocrates de Nostramo Primus.

Mais Il était arrivé. Lui seul avait réussi à faire courber l’échine au Night Haunter. Et il lui avait offert un présent magnifique : des enfants ! Ses enfants, ses élèves. Les Night Lords !

Cet homme paré d’or lui avait donné ce qu’il n’aurait jamais imaginé. Le contrôle d’une Légion de Space Marines à qui il pourrait enseigner sa loi ! Et il n’avait pas trainé, se lançant à corps perdu dans la Grande Croisade de son père, montrant l’exemple aux Night Lords, anciens comme nouveaux. Les mondes conquis par sa Légion tombaient sous son joug comme était tombée Nostramo : par la violence, la force, et par-dessus tout, la peur.

Et lui seul savait combien ces succès renforçaient le cœur de la légion. Pas de compromis, pas de pitié, pliez-vous à la loi du primarque ou périssez, telle était l’éthique des Night Lords, et ce pour l’éternité !
Ces pathétiques humains n’étaient pas toujours à même de comprendre l’intérêt de leur campagne, qu’à cela ne tienne, si ces faibles n’avaient pas l’intelligence requise pour ça, ils n’étaient même pas dignes d’être citoyens de l’Impérium.

Konrad Curze n’était cependant pas dupe. Il savait que de sales petits rats scribouillards faisaient l’aller-retour entre sa flotte et Terra, et que ses méthodes, si efficaces fussent-elles, n’étaient pas appréciées de ses frères ou même encore de son père. Mais qui étaient-ils pour le juger !? Qui !? Ils étaient là à se comporter comme les bergers d’un troupeau d’imbéciles, et ils osaient lui reprocher de mener sa tâche plus durement ? Eux qui n’étaient pas capables de laisser un monde sécurisé derrière eux, sans violence ni crime, faute de leur avoir suffisamment fais comprendre qui étaient leurs maîtres ? Faute de la peur qu’ils fussent sensés leur insuffler ? Trop prétentieux pour admettre leurs faiblesses devant un homme qui prétendait unir la galaxie sous…sous quelle bannière !? L’amour et l’honneur ? Il n’y a pas d’honneur à être maître d’une galaxie en flammes, pas d’amour là où la violence règne ! Et ils continuaient de le juger sur des préjugés qu’ils n’étaient mêmes pas capables d’appréhender !

Ce prétendu Empereur avait tout de même insisté pour qu’il vienne rendre des comptes au Palais Impérial. Il se terrait là depuis des années, lâche qu’il était, sans avoir la moindre idée de se que ressentaient ses fils. Le Night Haunter avait quand même prévu de faire escale sur Nostramo. Il n’avait presque pas eut de nouvelles de sa planète depuis qu’il en était parti, et ce qu’il apprit par la suite le révulsa, puis le plongea dans une froide colère. Nostramo, sa planète, son premier domaine, celle à qui il avait tant donné, était de nouveau en proie au fléau que le Primarque avait tenté d’éradiqué. Pire que tout, c’était cet échec qui le frustrait. Cet échec et la faiblesse des habitants à ne pas différencier le bien du mal. Les humains étaient vraiment indignes de confiance, indignes qu’on leur témoigne de l’importance. Le Haunter ne donnait jamais de seconde chance. Ils avaient choisis de ne pas suivre le chemin qu’il leur avait tracé. Soit. Ils le regretteraient.

Il regardait cette planète. Nostramo. Plongée dans l’ombre. La sienne, ou celle de Tenemor ? Au final, ça n’avait pas d’importance, on en revenait toujours au même constat.
L’homme plongé dans la terreur succombe tôt ou tard, tandis que celui qui instille cette terreur traverse le temps sans altérations.

Il en allait de même avec les astres.

Sa flotte était en position, comme il l’avait ordonné. Il jeta un dernier regard, par la baie d’observation de sa barge de commandement....

- Feu.

Des dizaines de torpilles fondirent sur la planète telle une nuée de chauves-souris. Mais elles n’apportaient pas la peur. Pas cette fois.

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 05:03:40

Pardonnez la mise en page et l'agencement des paragraphes, les textes ayant étaient faits avec divers logiciels de bureautique, j'ai dû adapter. Je m'en excuse auprès des auteurs.

Dark_Templar73 Dark_Templar73
MP
Niveau 10
05 août 2010 à 10:30:59

Juste, vu le faible nombre de textes, il serait peut-être judicieux de revenir à un système de vote à un point, non ?
___________________________________

Wer wartet mit Besonnenheit, Der wird belohnt zur rechten Zeit, Nun das Warten hat ein Ende, Leiht euer Ohr einer Legende !!!

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 10:49:54

Pas faux... Hum, bon, mais après je change plus les règles ><

Un point par votant, need un minimum d'argumentation quand même, ils ne sont pas très longs :(

Milleuros Milleuros
MP
Niveau 11
05 août 2010 à 11:52:03

Combien de temps de vote ?

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
05 août 2010 à 12:55:50

Jusqu'à ce que j'estime que tout le monde est voté, si ça traine en longueur j'abrégerais :oui: J'aime faire de l'impro :noel:

Milleuros Milleuros
MP
Niveau 11
06 août 2010 à 01:24:13

Trau coule

Je ne lirai sûrement pas tant que le concours GiF sera en cours. :(

InquisiteurArax InquisiteurArax
MP
Niveau 10
07 août 2010 à 08:44:21

Je vote Lundi.

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
09 août 2010 à 21:22:37

Nous somme lundi. Arax ! Sors de ton bunker ou c'est moi qui vient te chercher ! :(

  • Arme son fusil à pompe*

98 ! 99 ! 100 ! J'arrive ! :ange:

InquisiteurArax InquisiteurArax
MP
Niveau 10
09 août 2010 à 21:32:57

Et moi qui m'étais enfin mis à la suite de ma fic :noel:

Je commence la lecture à l'instant, ça ne devrait pas être long.

Borlan-Arrivalt Borlan-Arrivalt
MP
Niveau 12
09 août 2010 à 22:04:08

Mea culpa, tu peux retourner bosser dessus :noel:

InquisiteurArax InquisiteurArax
MP
Niveau 10
09 août 2010 à 22:15:55

Texte 1
Clairement pas adapté à un concours d'écriture car en total décalage avec les attentes habituelles, pas d'action, de simples descriptions et une intrigue par trop basique.
Syntaxe style et orthographe acceptable.
Personnages peu développés du fait des trop grandes descriptions.
Manque peu être de contexte.

Texte 2
Je n'ai pas accroché du tout :(
Le style m'a parut anormalement faible connaissant l'auteur avec notamment quelques fautes d'orthographe et surtout des répétitions qui m'étonnent de sa part. Les descriptions ne m'ont pas accroché, j'ai lu, je n'ai pas vécu, peut être un problème de focalisation, je n'y ai pas prit attention.
Intrigue basique. Je trouve dommage que l'on sache dès le début qui est notre ami le furtif. J'ai aussi trouvé dommage qu'il soit infiniment trop grobill et que ses ennemis ne soient que d'ineptes inaptes
La description du rituel en revanche est très bonne mais il s'agit du seul élément du texte qui m'ait accroché... dommage, l'auteur peut faire infiniment mieux.

Texte 3:
Le 31eme millénaire est à la mode dites moi!
Court intense, bien rédigé, guère plus à dire si ce n'est une totale absence de personnalité et une implication assez faible. Mon vote lui revient.

InquisiteurArax InquisiteurArax
MP
Niveau 10
11 août 2010 à 11:23:11

Il n'y a donc personne pour voter? :(

Milleuros Milleuros
MP
Niveau 11
11 août 2010 à 11:31:47

Sisi, ça vient gentiment, mais je préfère ne pas tout lire à la fois.

InquisiteurArax InquisiteurArax
MP
Niveau 10
12 août 2010 à 13:20:57

On garde le système du malus en point pour les non votants?

DébutPage précedente
Page suivanteFin
Répondre
Prévisu
?
Victime de harcèlement en ligne : comment réagir ?
Infos 0 connecté(s)

Gestion du forum

Modérateurs : Evilash08, Vortex646, Tomy-Fett, Leirok, ]Faustine[, Latios[JV], Remysangfamy
Contacter les modérateurs - Règles du forum

Sujets à ne pas manquer

  • Aucun sujet à ne pas manquer
La vidéo du moment