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Sujet : mon blog sur soul blade

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beko08 beko08
MP
Niveau 4
23 novembre 2005 à 10:58:01

venez voir mon blog sur soul blade et dites moi ce que vous en pensez:
http://www.transcendingsoul.skyblog.com

Carnavale Carnavale
MP
Niveau 10
10 novembre 2007 à 22:25:21

Il s’en voulut aussitôt d’avoir été si faible, si lâche, si vainement courtois, car éduqué, car salement, irrésistiblement, bourgeoisement poli, et béatement formaté au sens de l’honneur ! Quelle insignifiance ! Sa propre fille l’avait mis à terre !

Et maintenant, maintenant, qu’allait-il faire ? Se battre contre une grosse femme à lunettes qui n’étaient même pas de vue ! Et cette truie, cette truie ! Elle l’avait jeté ! Jeté à la rue ! Comme un seau d’immondices !

Fou de rage, il tambourina de nouveau à la porte, en criant, en hurlant qu’il voulait revoir sa fille, qu’il voulait rentrer, qu’il était prêt à tout casser s’il le fallait ; mais nulle voix ne lui répondit. Non, personne ! Ignorance totale ! Indifférence ! Mépris ! Goozie avait beau être rude et vulgaire, il ne pouvait nier la noblesse de son orgueil. Il comprit rapidement qu’il ne la reverrait pas avant l’heure du rendez-vous qu’elle lui avait fixé.

Renfrogné, il s’éloigna alors, en quête d’un marchand d’armes prêt à lui procurer la meilleure des lames. Il fallait qu’il vise juste et qu’il ne touche qu’une fois. Blesser, ne pas tuer. C’était sa seule devise. C’était son seul espoir.

Il avait vu Asel regarder Goozie ; et son regard ne mentait pas. Il avait bien compris à quel point elle lui était attachée ; et, oui, oui, cela lui faisait mal, cela lui faisait mal de devoir corriger celle qui avait eu la bonté de prendre soin de sa fille. Non, il ne la tuerait pas, cette odieuse bibliothécaire. Mais il lui donnerait au moins une leçon mémorable, oui, mémorable ! Venger son humiliation, oui, lui faire payer l’affront ! Alors elle serait contrainte, contrainte, de le supplier, de joindre ses deux mains et de prier, prier de tout son corps, de se mettre à genoux pour se faire pardonner, pour se faire absoudre, absoudre jusqu’au sang ! Alors elle serait désarmée, oui, désarmée, la traîtresse ! Oui, elle implorerait la grâce, cette perfide, cette immonde fugitive, inconstante, infidèle, maudite, garce, parjure, tu ramperas jusqu’à moi, tu quitteras ce maraud que je ne manquerai pas d’occire également, et tu seras en pleurs et tu regretteras, tu me diras tous les mots que je voudrais entendre, tu seras gémissante, plaintive, transie de repentance ! Tu me demanderas en hurlant de faire preuve de pitié, et je te regarderai, infidèle, chienne, diable abject, vil serpent, et je serai heureux, heureux de te voir à mes pieds, rampante, rampante comme le serpent que tu es !

Alors, alors, alors, peut-être que je ne te tuerai pas, non, car Asel doit avoir une mère… tu comprends ? une mère… ! une mère qui tienne à elle… Je te hais… Pourquoi… ? Pourquoi a-t-il fallu que je t’envoie là-bas ? Pourquoi, mon cœur ? Pourquoi… ? Ah, Nortellon, Nortellon, pauvre fou, sale escroc, être infâme, de quoi veux-tu te plaindre ! Qui sème la lâcheté, récolte le malheur ! Je mérite dix fois, cent fois, non, que dis-je cent fois ? mille fois ! mille fois ma disgrâce ! Mille fois, je mérite le fouet de ta vengeance ! Mille fois je suis veule, mille fois je suis vide … ! C’est moi ! C’est moi qui en premier ai trahi mon serment … ! C’est moi qui t’ai vendue ! C’est moi qui ai plié sous les ordres de cet homme au pouvoir arrogant ! C’est moi qui ne suis rien qu’un esclave servile… Comment ai-je pu, Sati ?… Comment ai-je pu… ? D’être aimé de tes yeux, caressé de tes mains, embrassé de ta bouche, j’ai perdu le droit… le jour de ton départ… le jour où le bateau t’a emporté au loin… Oh Sati ! C’était vendre mon âme ! C’était vendre mon corps ! C’était me mettre aux fers !… Donner à mon sale cœur… un congé pour la vie… ! Puisses-tu me pardonner, ma douce, ma princesse, mon trésor, ma faiblesse… Puisses-tu me pardonner… Je ne suis que noirceur… Je ne suis que bassesse…

== La Citadelle – Dans la Rue des Murmures ==

Dans cette ruelle étroite, non loin de celle des Mensonges, ruelle aux murs moisis, où nulle âme ne vivait, pas même un souriceau, Padgram et le shaman, Karzus, s’étaient réfugiés, pendant que Nortellon parlait à l’historien.

Sous la tente qu’ils avaient quittée, les deux compères avaient défini leur stratégie. Ils devaient à présent se cacher, pour attendre la nuit. Quand l’heure serait venue, ils passeraient à l’action.

Cette longue après-midi permit aux deux hommes, seuls pour la première fois, de parler entre amis, d’évoquer leurs problèmes, et même quelques secrets…

Padgram : Karzus… Je peux te faire confiance ?

Karzus : Bien sûr…

Padgram : Non, vraiment, réponds… Est-ce que je peux te faire confiance ?

Karzus : Tu as ma parole…

Padgram prit une petite inspiration et détourna son regard avant de lâcher dans un souffle ce qu’il avait à dire…

Padgram : Hellia et moi… nous avons eu une relation…

Karzus : Comment ??

Padgram : Tu as bien entendu…

Karzus : Mais enfin… Tu te rends compte de ce qu’elle est !

Padgram : Je sais… Mais elle est humaine, à présent, Karzus, nul ne peut le nier !

Karzus : Ce n’est pas le problème, Padgram… ! As-tu seulement pensé aux conséquences ?!

Padgram : Et pourquoi aurais-je à y penser ? Je venais à peine de la retrouver, Karzus ! Cela faisait… cela faisait une éternité, que je la recherchais…

Karzus : Et tu as jugé bon de célébrer ça avec une petite partie de jambes en l’air !

Padgram : Arrête, tu ne comprends pas ! Je regrette vraiment ce qui s’est passé…

Le shaman regarda le gros prince d’un air incrédule.

Karzus : Tu regrettes… ?

Padgram : Oui… Quand ça s’est terminé, je… Je lui ai dit qu’on… qu’on avait fait une connerie et que… et que ça n’était pas bien…

Karzus : Quoi… ?

Padgram : Je lui ai dit que… Je lui ai dit que j’aimais Lysette…

Le visage de Karzus se figea et abandonna alors la sévérité inquiète pour aborder une douceur plus légère, teintée d’une certaine tristesse.

Karzus : Je comprends… Padgram, Prince de la Délicatesse, hein…

Padgram : Oui, je sais, je sais, ça n’était pas très galant !

Karzus : Non…

Padgram : Non…

Karzus : Ceci dit… Ca n’est pas non plus une si grande tare que de faire preuve d’honnêteté…

Padgram : Peut-être…

Karzus : Mais maintenant, la véritable question, Padgram, celle que tu dois te poser, tu la connais…

Padgram : Non, justement, je ne sais pas… Je n’y vois plus très clair…

Karzus : Entre elles deux, vers qui ton cœur s’oriente ?

Padgram : C’est difficile à dire… Tu comprends, tout ce que je fais depuis que j’ai quitté Barzabute, la raison de mon départ, la but même de ma quête, mon unique horizon, mon plus grandiose espoir… ne porte qu’un seul nom… c’est celui de Lysette…

Karzus : Mais enfin, tu sais très bien que Lysette ne t…

Padgram : Tais-toi ! Je ne te demande pas de commenter, Karzus… Je te dis juste ce qui est, c’est tout…

Karzus : Soit…

Padgram : Mais Hellia… Hellia… C’est tout différent… Elle a toujours… elle a toujours suscité en moi un… un désir… un désir très… étrange…

Karzus : Et tu es sûr que cela ne s’appelle pas de l’amour ?

Padgram : Non… Lysette est la seule certitude…

Karzus : …certitude à laquelle tu ne fais que te rattacher…

Padgram : Non ! A laquelle je crois ! De tout mon cœur !

Karzus : Et Hellia ? Qu’est-ce qu’elle est, alors ?

Padgram : Hellia…

Padgram semblait comme privé de mots, privé de souffle. Il avait l’impression d’être jugé par un tribunal énorme dont il était le seul président. Il redressa la tête et regarda les rayons du soleil, flottantes flammes faibles, nuancées de bleu gris, s’estomper dans le ciel où la nuit, peu à peu, imposait sa couronne…

Padgram : Hellia, vois-tu… C’est comme… C’est comme un grand trouble… ! Un questionnement ! Une envie ! de tous les instants… ! Et pourtant, c’est bien la Mort dont il s’agit, Karzus ! la Mort… ! Mais c’est aussi… ma première amie… ma première vraie amie… la première femme qui m’ait jamais regardée… la première qui jamais m’ait fait éprouver… de la fierté… de la fierté d’être moi-même… Je ne peux pas oublier ça, Karzus, tu comprends… ? Je ne peux pas… ! Je n’ai jamais eu d’amis, tu sais, jamais avant de vous connaître… Vous m’êtes tous plus précieux que n’importe quelle couronne, ou n’importe quel château… Que m’importe le trône de Barzabute, si je ne vous ai pas à mes côtés ? Sans toi, sans eux, sans vous tous, je ne serais qu’un cadavre oublié au fond d’un noir cachot… Je vous aime plus que tout…

Karzus sentit son cœur se serrer sous sa peau. Il vit une larme briller au creux de l’œil du prince, couler très lentement sur sa joue rebondie, doucement rafraîchie par le vent des étoiles, le vent glacé du soir, tombant comme un manteau sur la cité déjà en fête… Le shaman posa sa main sur l’épaule de son ami ; dans le cercle livide de la lune naissante, son œil puisa soudain une perle minuscule, transformant aussitôt sa voix en chuchotement…

Karzus : Padgram… Il faut que je te dise quelque chose…

Padgram : Oui… ?

Karzus : Je ne t’ai jamais dit vraiment pourquoi, moi, j’étais là… pourquoi j’avais accepté de me joindre à ta quête…

Padgram : C’est vrai…

Karzus : Je t’ai dit que j’avais une dette auprès de ton père…

Padgram : Oui… Et quelle qu’elle soit, tu l’as largement remplie, mon ami…

Karzus : Peut-être… Mais il faut que tu saches pourquoi je suis resté malgré tout… Car cela fait longtemps, au fond, que j’aurais pu vous quitter…

Padgram : Dis-moi, alors…

Karzus leva, lui aussi, les yeux vers les étoiles. Les souvenirs parfois sont durs à avouer…

Karzus : Je fais partie d’un peuple autrefois pourchassé… Les shamans ne jouissaient pas encore de l’estime qu’on leur accorde aujourd’hui… La magie, surtout la magie noire, a souvent été crainte, dans les temps reculés… Je vivais ici, aux Zalzaries, dans un village lointain au fond du Valadrosse… Je n’étais alors qu’un enfant... je vivais seul avec mon oncle, loin des réalités du monde, et mon père était mort lorsque j’avais six ans… Poignardé dans le dos… Trahi par son meilleur ami, jaloux de son talent… Je n’ai jamais su le nom de cet homme…

Padgram : Où veux-tu en venir ?

Karzus : Eh bien… Les années défilant, ma haine pour cet homme ne cessa de grandir… J’attendais le jour où je pourrais enfin découvrir qui il est et enfin le tuer comme il le méritait… Quand mon oncle mourut, j’étais devenu un homme et je n’ignorais plus aucun de ses secrets… J’étais devenu puissant… J’étais devenu mauvais… Dès lors, avide de retrouver l’assassin de mon père, j’entrai dans une folie aussi noire que la mort… Je me rendis sensible à tous les éléments, je peaufinai mon art jusqu’à la perfection, fabriquant les poisons les plus dévastateurs, découvrant seul l’immense science de la métamorphose, j’appris même à réveiller les morts… J’étais le plus puissant… Et ma vengeance grondait chaque jour plus fort au fond de mes entrailles… Aussi, un jour… sans raison, sans calcul, j’ignore encore pourquoi… je me mis à chasser tous ceux de ma race, me mêlant à la foule des superstitieux, je tuai sans compter tous les shamans croisés sur mon chemin…

Padgram : Je n’y crois pas…

Karzus : C’est pourtant ce que j’étais… Mais jamais je ne trouvais celui que je voulais, jamais je ne trouvais le nom de l’assassin… Un jour, je m’embarquai dans la cale d’un bateau, afin d’aller poursuivre ma quête à Barzabute, continuant sans relâche à décimer les miens… Jusqu’au jour où… Jusqu’au jour où ton père est venu me trouver… au bord d’une forêt… Il me dit qu’il savait qui j’étais, quelle était ma souffrance… Et si je continuais sur ce sombre chemin… Alors la mort de l’âme m’était seule promise…

Padgram : La mort de l’âme… ?

Karzus : Elle survint… Un jour où un des miens, averti de ma présence, arrêta mon action et me jeta un sort, me paralysant sur place… J’avais perdu mon âme… J’avais perdu contact avec le monde sensible… Mais je n’étais pas mort… Je sentais juste… le vide, le vide dans mon ventre… Le vide dans ma tête… Le vide dans les objets…

Il s’arrêta, les yeux dans le néant. Quelque chose de noir et de douloureux se creusait en lui.

Karzus : On m’emmena au château de Barzabute, afin de me livrer au roi, pour que je sois puni, exécuté enfin, pour tout le mal que j’avais fait… Mais ton père, ton père ne voulait pas faire mourir un sans âme…

Padgram : Oui…

Karzus : Alors, il fit venir mon corps dans un temple à l’écart… Il se pencha vers moi… et me dit à l’oreille… « Karzus, j’ai un présent, un présent pour ton corps… » Aussitôt, de sa poche, il sortit un flacon où brillait une lumière éclatante comme du feu. Il l’ouvrit et soudain, ce fut comme un miracle ! Je ressentis mes pieds, les ongles de mes doigts, mon ventre, mes mains, mes bras, mon visage et ma tête… Tout avait repris sens au fond de ma carcasse… Lorsque j’ouvris les yeux, encore un peu ébloui, j’aperçus alors une lumière qui flottait au-dessus de la fiole… Cette lumière… c’était la formidable aura d’un petit oiseau d’or… Il me regardait d’un air très innocent… Flottant comme une bulle…

Padgram : Qu’était-ce donc ?

Karzus : L’oiseau qui toute ma vie allait m’accompagner… Jalafinz le Phénix…

Padgram : Comment ? Jalafinz est un présent de mon père ??

Karzus : Oui… Je ne sais où il se l’est procuré… mais une chose est sûre… c’est lui qui m’a rendu le secret de mon âme...

Padgram : Mais où est-il cet oiseau ?

Karzus : Envolé… Mort près de la forêt où vous avez appelé, imprudents que vous êtes, la puissance des dragons…

Padgram : Mais puisque c’est un Phénix !

Karzus : Il s’est sans doute réincarné, oui… Mais la destruction de mon laboratoire par les soldats de Balfoy ma empêché de le vérifier…

Padgram : Et ton oiseau en os ?

Karzus : Je l’ai revu pour la dernière fois sur le port d’Anthar Obn Suur… Il a repris le large et j’ignore où il est…

Il y eut un silence. Un regard. Padgram était perplexe.

Padgram : Pourquoi me racontes-tu tout cela, Karzus… ?

Karzus : Je ne t’ai pas tout dit… En échange du phénix, ton père me demanda de tourner désormais ma science vers les autres. Aider, guérir, soulager... Et c’est ce que j’ai fait… Mon passé fut oublié, et je devins peu à peu celui que tu connais, parfois druide, parfois shaman, disponible pour tous… Ton père était mon plus grand ami ; m’avait fait promettre de t’aider et de te protéger si un jour tu en avais besoin.

Padgram : Je vois…

Karzus : Ce que je veux te dire, Padgram, c’est que tu ne dois pas seulement penser à ces amis, nous, Blune, Grisk, Saïan, Messerille, Lili, Nortellon, Ulice, moi… pour lesquels tu te bats... Tu dois penser à ton peuple, tu dois penser à ces rebelles qui comptent tous sur toi… Le trône qui te revient c’est avant tout la mémoire de ton père, tu comprends ? C’est l’honneur de ta famille qui est en jeu, Padgram. Tu dois agir pour lui, agir pour sa figure, agir pour son modèle, agir pour son amour, poursuivre son exemple, comme il le voulait tant… Il t’aimait plus que tout, Padgram… Il t’aimait…

naked_____snake naked_____snake
MP
Niveau 10
18 décembre 2007 à 18:53:17

Non di diou,c´est quoi sa? O_O

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