Bien que nous ayons droit cette fois à plus du double de cartes (soit plus de 500), le système de combat ne bouge pas d'un iota par rapport au premier Metal Gear Acid. On aura ainsi droit à un maximum de 6 cartes et deux personnages seront jouables à savoir Snake et une dénommée Venus. Le graphisme est cette fois en cel shading et l'utilisation des lignes de vitesse accentuent un peu le dynamisme de l'action. Concernant le gameplay, il s'agit davantage de retouches que de gros bouleversements. Désormais, lorsqu'on termine son tour d'action, 4 symboles (rattachés aux boutons de la console) apparaîssent sur la droite de l'écran afin de s'accroupir, de changer de direction, et de valider ou non l'action. Ensuite, lorsqu'on bouge, plus de flèche puisqu'on déplace directement Snake sur les cases. De plus, lorsqu'on arrive devant une échelle, plus besoin de passer par un menu pour monter à cette dernière puisqu'il suffit d'utiliser la touche directionnelle Haut pour grimper. Voilà en gros ce que j'ai pu noter tout comme le fait que l'IA a été revue à la hausse avec des gardes semblant mieux réagir. Pour la surprise dont avait parlé Kojima, il s'agit simplement d'un dispositif en forme de mini-périscope du nom de Tobidacid, pour pouvoir apprécier le jeu en plein écran et en simili relief. En gros, vous branchez le dispositif sur la PSP et roulez jeunesse. Que dire si ce n'est que ça ne sert à rien, que ce n'est pas agréable pour un sou et qu'on se demande encore si Konami va oser commercialiser ce gadget validé par un Hideo un soir de beuverie.