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Page Dossier 1994 - 1997 : la douce agonie du genre
1994 - 1997 : la douce agonie du genre

1994 - 1997 : la douce agonie du genre
Le gros tas à gauche, c'est pas un boss, c'est vous.

Si le public commence à se désintéresser des beat'em up à partir de 1994, remplacés par les jeux de baston mais aussi et surtout par l'apparition de la 3D, c'est durant son agonie que le genre nous aura livré ses meilleurs titres. Capcom va être un des derniers acteurs majeurs sur ce créneau. Peu après la sortie d’Alien vs. Predator, il va revenir dans les salles avec un autre bon titre, tout aussi original : Armored Warriors. Celui-ci nous transporte dans un monde de méchas, et nous en fait piloter.

1994 - 1997 : la douce agonie du genre
C'est pas Zone of the enders, mais c'est sympa quand même.

Ce titre a de nombreuses spécificités. Tout d’abord le mécha que l’on dirige peut ramasser les pièces déposés par les autres méchas lorsqu’il les détruit et les intégrer à son chassis. Il est possible de mixer tout un tas de "jambes", d’armes principales et d’armes secondaires pour se faire le mécha de ses rêves. Le tout sur un tronc choisi au préalable parmi 4 options. Les combats sont très très nerveux, même pour un beat’em up Capcom. Les méchas se déplacent à une vitesse impressionnante, sautent haut, écrasent leurs ennemis, rebondissent dessus, tout en se forant le bide et en se fendant la gueule. Futur oblige, les armes à feu (rangées parmi les armes secondaires) sont loin d’être là à titre de faire valoir. Mais c'est déjà quelque chose auquel Alien vs. Predator nous avait habitué. Il en résulte des combats endiablés, assez différents de ce qu’on a l’habitude de voir pour le genre, malheureusement aussi assez bourrins. Il faut s’y essayer pour voir si on accroche ou pas.

1994 - 1997 : la douce agonie du genre
Un univers délicieusement kitsch et coloré.

Et je vous propulse déjà en 1997 ! Et oui, le beat’em up se meurt. Capcom ne sortira qu'un titre en 1996 (dont on a déjà parlé) et c’est déjà un tiers de la production mondiale. À la surprise de tous, il revient donc début 1997 avec un jeu, une lettre d'adieu, du nom de Battle Circuit qu'il ne prendra même pas la peine d’exporter vers le marché américain, laissant seuls l’Europe et le Japon en profiter. Ce titre transpire pourtant tout le savoir-faire du développeur référence du genre. Battle Circuit est un beat’em up dans l’esprit de Captain Commando, en encore plus barré, dans un univers encore plus loufoque. À l’aide d’une gamine sur une autruche rose volante, d’un homme-glace, d’une chatte manequin accompagnée de son renard, d’une plante catcheuse ou d’un chasseur de prime plus conventionnel, vous devrez sauver le monde d’un cyberprogramme maléfique.

1994 - 1997 : la douce agonie du genre
En 1989, Capcom avait peur d'introduire des ennemis féminins. En 1997, elles sont carrément torse nu !

Battle Circuit, c’est tout le gameplay made in Capcom, avec une move list encore plus grande, des graphismes encore plus beaux, et le retour des juggle combos d’Alien vs. Predator (en plus accessibles…). Mais si je devais lui trouver deux caractéristiques propres, ce seraient :

  • D’une, la possibilité d’acheter des upgrades (coups, amélioration de santé…) entre chaque niveau, grâce à la monnaie ramassée sur nos victimes. Ce qui est devenu un standard dans tous les beat’em up aujourd’hui.
  • De deux, ses personnages aux gameplays très variés. L’autruche rose, par exemple, vole ! Vous pouvez rester en l’air, piquer sur vos ennemis, les emporter avec vous en l’air avant de les écraser au sol, ou les frapper d’une multitude de coups de pied sans revenir toucher le sol. La plante a plein de projections différentes, plus que n'importe quel personnage de ce type dans les productions de ce genre. La chatte est super véloce et multiplie les coups dans ses combos. Tous les personnages ont une personnalité marquée et sont vraiment agréables à jouer.
1994 - 1997 : la douce agonie du genre
Il est impossible de décrire avec des mots à quel point ce jeu est fun.

Si on peut reprocher une chose à Battle Circuit, c’est d’être trop court. On se consolera avec la facilité à laquelle on enchaine les parties. Battle Circuit reste aussi assez facile, plus proche dans sa difficulté des titres console, et on apprend à le terminer en un seul crédit sans y passer beaucoup de temps. Et puis ses graphismes colorés et son ambiance déjantée ont un charme fou.

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Commentaires
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davegrind davegrind
MP
Niveau 9
le 28 mars 2016 à 14:06

le tout est d'arriver a finir battle circuit avec la bonne fin et le vrai boss final un peut comme dans undercover cops ;)

Lire la suite...
Sommaire Dossier
  • 1987 - 1989 : Des débuts timides
  • Décembre 1989 : Un raz-de-marée nommé Final Fight
  • 1991 : King of Dragons, Knights of the Round, Captain Commando : Capcom creuse son avance
  • 1992 - 1993 : Le style Capcom
  • 1994 : Le précurseur (où on parle du mythique Alien vs. Predator)
  • 1993 - 1996 : les Dungeons and Dragons
  • 1993 - 1996 : Une domination remise en cause sur console
  • 1994 - 1997 : la douce agonie du genre
  • 2001 : On ne vit que deux fois (la renaissance du genre, avec Onimusha)
  • 2001 : Le roi Dante
  • 2003 : L'essai Chaos Legion
  • 2003 : Retour à la 2D, avec Viewtiful Joe
  • 2002 - 2006 : Retour sur la série Onimusha
  • 2006 - God Hand : un hommage au genre
  • 2006 - Beat'em up et morts vivants avec Dead Rising
  • 2003 - 2008 : L'aboutissement d'un genre (où on parle des suites de Devil May Cry)
  • Vers un beat'em up Resident Evil ? (1ère partie)
  • Vers un beat'em up Resident Evil ? (2ème partie)
  • Capcom est-il toujours le roi du beat'em up ?
A lire aussi
Le beat'em up selon Capcom 26 mars 2016, 14:37
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