Rocket League

(Conseillé par 87, Panthaa, Rivaol, Epyon, Anagund et daFrans)

Avec son concept aussi simple que loufoque, Rocket League cartonne en tête des ventes Steam depuis sa sortie. Jouable uniquement en équipe, ce titre vous propose de taper le ballon avec… Des voitures ! Le résultat est évidemment assez hasardeux, mais à la fois parfaitement calibré pour offrir de vraies possibilités de progression.

Du sympathique en solo, Rocket League passe à du vraiment drôle en multijoueur. Face aux inévitables boulettes (qui n’est pas passé à côté du ballon à 100 km/h ?), les fous rires s’enchaînent et on se surprend souvent à avoir passé deux heures sur ce jeu qui ne paye pourtant pas de mine. Bref, Rocket League c’est drôle et c’est par ailleurs le titre multi le plus apprécié à la rédac en ce moment :

Même s'il n'est qu'une mise à jour de Supersonic Acrobatic Rocket-Powered Battle-Cars, Rocket League cumule tout ce que j'aime dans les jeux multi entre amis : de la coopération, de la compétition, de la "coopétition", du skill, de la chance, de l'aléatoire, bref, tout pour se marrer, rager, faire preuve de mauvaise foi. Après 70 heures de jeu, je ne m'en lasse pas, puisque chaque match est différent, imprévisible. De plus, le niveau n'est pas clivant, puisque Rocket League a cette dose d'aléatoire qui permettra toujours à un "noob" de planter un but improbable à une star. – Rivaol, Rédacteur en chef de Jeuxvideo.com

J'aime énormément le rythme permanent qui se dégage des parties du jeu. Pas le temps de s'ennuyer, si les équipes sont équilibrées, les matchs se font en tir tendu, c'est appréciable. En outre, j'aime ce genre de jeu "fast food" qui permet parfois de se dire : "juste une ou deux partie" lorsque l'on a pas beaucoup de temps devant soi et aussi les perspectives de progression offertes par une pratique régulière du jeu. Seul bémol : le nouveau système de saison et de classement donne l'impression de jouer dans le vide. J'espère que Psyonix ajoutera au moins une indication sur la progression du joueur dans le classement à l'issue de chaque match, faute de quoi le titre pourrait bien finir par me lasser. – 87, Journaliste Jeuxvideo.com

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SQUAD

(Conseillé par Stargazer)

C’est l’un des FPS qui monte ces derniers mois, SQUAD propose des combats en 50 contre 50 orientés vers le réalisme. À la manière d’un ARMA, les combats se font dans des environnements extrêmement larges comprenant des bases, des véhicules et tout ce qu’il faut pour mener votre petite gue-guerre virtuelle.

L’une des composantes qui rend le multijoueur de ce titre particulièrement sympathique est l’importance du jeu en équipe. En effet, sur SQUAD il vous faudra coopérer avec vos coéquipiers pour espérer venir à bout d’une escouade d’américains rencontré aux abords d’une base désertée. Il ne sera ainsi pas rare de voir des personnes se prendre au jeu et se lancer dans un peu de RolePlay.

Exemple type du projet longtermiste qui arrive à exaucer son vœu le plus cher : faire kiffer les joueurs. Immersif, hardcore, coopératif, pointu, un jeu qui fait vivre le teamplay de manière radicale. Malgré l’accès anticipé un poil trop cher Squad est une belle révélation qui mérite véritablement l’essai. – Stargazer, Journaliste Jeuxvideo.com

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Overwatch

(Conseillé par MrDeriv et daFrans)

Nous avons un peu hésité à mettre ce titre dans cette liste puisqu’il n’est pas encore accessible à tout le monde et c’est bien dommage. Overwatch est le premier FPS des papas de Warcraft, le grand studio californien Blizzard. Sorte de mélange entre DotA et Team Fortress 2, ce titre vous propose des batailles nerveuses avec des héros aussi accessibles que bien pensés.

En multijoueur, les compositions de personnages et le jeu en équipe permettent vraiment de faire la différence. L’affichage de la meilleure action du match en fin de partie offre également une petite tension supplémentaire : qui aura été le plus impressionnant, vous ou votre ami ? La bêta fermée venant de rouvrir ses portes, de nouvelles vagues de clés sont distribuées, nous vous conseillons donc de faire la demande sur votre compte Battle.net.

Si j'accroche autant à Overwatch c'est avant tout pour des raisons de jeu en équipe. Le shooter de Blizzard s'envisage en team et non avec la vision d'un loup solitaire. Je le constate d'ailleurs sur la bêta, il peut être très frustrant de perdre à cause d'un manque évident de coordination dans les actions de nos coéquipiers ou d'un mauvais choix de personnage. Overwatch demande une adaptation de tous les instants lors des matchs. Un Bastion vous pose des problèmes, n'hésitez pas à changer de héros pour aller le déloger à coup de roquettes. On y retrouve aussi le degré de qualité des jeux Blizzard avec un gameplay bien pensé et nerveux, des héros charismatiques qui donnent tous envie d'être joué un moment et cette petite étincelle qui te tient en haleine devant ton écran à te dire encore et encore : "Bon aller, juste une dernière partie avant d'aller me coucher !". – MrDeriv, Journaliste Jeuxvideo.com

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Rust

(Conseillé par daFrans)

Parmi tous les jeux de survie présents sur Steam, Rust est certainement l’un de ceux qui à le mieux tenu la route. Le principe est simple : vous apparaissez nu sur une carte et devez tenter de survivre. Il vous faudra donc collecter des ressources pour fabriquer vos objets (pioches, haches, armes) et si possible votre maison. Rapidement, vous comprendrez qu’il est bien plus simple d’aller voler tout ce que votre pauvre voisin a ramassé que de trimer et c’est là que le titre prend tout son intérêt.

Survivre dans Rust s’avère très compliqué et il est donc fortement conseillé d’y jouer entre amis. Vous rencontrerez quelques équipes peu accueillantes et entamerez forcément quelques gue-guerres qui se termineront par la destruction de la base adversaire… ou de la vôtre ! Un jeu particulièrement chronophage qui nécessitera également quelques heures de prise en main.

Rust c'est un peu le jeu qui m'a fait autant rire que pleurer. Le schéma est toujours un peu le même : On arrive sur un serveur avec quelques amis, on commence à récolter des ressources, on rigole en coursant des cerfs comme des dératés, on se fait une petite bicoque bien sympathique et là... On rencontre une bande de joueurs qui finiront pas se prendre une balle en s'approchant trop près de chez nous. La guerre commence alors et bien souvent, on finit par se reconnecter pour voir notre base détruite et pillée. Dans ce cas, on se dit "C'est bon, j'arrête Rust" et finalement on se reconnecte deux jours plus tard et c'est reparti. – daFrans, Journaliste Jeuxvideo.com

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Halo 5: Guardians

(Conseillé par Epyon)

L’un des plus belles exclusivités de la Xbox One nous est revenue en grande forme avec un cinquième épisode paru en fin d’année dernière. Considéré par beaucoup comme l’un des meilleurs FPS sur console, Halo 5 Guardians vous propose de parcourir sa très bonne campagne avec l’aide vos amis ou bien vous lancer dans des parties plus classiques en ligne.

Comme de coutume dans la série, l’action est intense, la maniabilité parfaitement adaptée aux manettes et l’ambiance futuriste particulièrement fouillée. Si vous cherchez donc à shooter entre copains sur Xbox One, vous savez vers quel jeu vous tourner.

J'ai toujours été fan de FPS en multijoueur. Et notamment en local, et donc sur consoles, avec Goldeneye et Perfect Dark, puis TimeSplitters sur PS2. Et alors que j'attendais TimeSplitters 2 (un des meilleurs jeux de la GameCube <3), Xbox sort sa première console de salon, et son plus gros titres est un FPS. Un titre complètement fou, avec un mec en armure évoquant Samus Aran mais en plus badass. Avec une aventure solo épique, des véhicules, des armes complètement dingues, et un gameplay vraiment différent. Pensé pour la manette. Et le plus incroyable dans cette histoire, c'est que le jeu proposait un mode multijoueur encore plus riche et paramétrable que Goldeneye, Perfect Dark et les autres.

Les parties entre amis se sont enchainées, et Halo est vite devenu l'un de mes jeux préférés de tous les temps. C'était technique, exigeant, mais le titre gardait ce côté fou et fun que je n'ai retrouvé ensuite que sur TimeSplitters 2. L'arrivée du online avec Halo 2 m'a définitivement fait plonger dans l'univers de la série. J'ai plusieurs milliers d'heures de jeu sur la série Halo, alors forcément, avec un Halo Reach décevant et un Halo 4 vite abandonné par les joueurs, j'attendais de pied ferme ce Halo 5. Et je n'ai pas été déçu. Malgré son gameplay plus vif, plus moderne, je retrouve ce que j'aimais sur Halo 2 et Halo 3. Avec ma bande de potes, je reste accroché des heures jusque tard dans la nuit à ma console, à jouer des parties classiques ou custom. Tous n'ont pas un excellent niveau, il y a quelques années ça m'aurait rendu dingue. Aujourd'hui c'est un sujet de déconnade, et un petit tea-bag des familles est toujours accueilli avec le sourire. À charge de revanche, bien entendu. Petit bémol tout de même, la disparition du multi en écran splitté... Mais il y a toujours la Master Chief Collection pour cela, sur laquelle il y a de quoi faire. – Epyon, Journaliste Jeuxvideo.com