Killing Floor 2 s'est fait discret cette année mais TripWire n'a pas faibli quant au support de son FPS axé arcade et survie. Killing Floor vous met dans la peau d'avatars aux talents bien particuliers, ils ont pour but de survivre sur des maps assez vastes face à des assauts de Zombies déchaînés.
Entre Left 4 Dead et le mode Zombies de Call of Duty, le jeu place les utilisateurs dans des conditions pour le moins sauvages. Avec ses doubles arbres de compétences, des armes modifiables, des sortes d'ulti pour le moins spectaculaires et ces Z moments, empruntant à Max Payne ces séquences pendant lesquelles tout se joue au ralenti, Killing Floor est d'une solidité diabolique niveau gameplay. Le coup de tatane.
Pour ce second épisode, TripWire a travaillé sur son moteur graphique afin d'offrir une direction artistique soignée à son jeu. Les maps sur lesquelles on peut évoluer son percluses de secrets en plus d'être détaillées. Une partie de Killing Floor, c'est un moment convivial entre bouchers consentants. C'est la grande force du sof :t proposer un moment où entraide, séance de rires partagés et tension permanente se chevauchent, surtout dans les modes de jeu les plus durs. C'est à ce niveau que Killing Floor 2 prend tout son sens.
Ne reste plus qu'à passer les manches et s'attaquer Hans Volter, le boss survolté du jeu. Dans le genre coopératif, c'est une vraie réussite, une ambiance carnassière au top agrémentée de phases bien bourrines grâce à la variété des mobs que l'on peut rencontrer ingame. Fin, très fin, ça se mange sans faim.