Jump Force
Si à la rédaction, Carnbee assume parfaitement son amour pour les rassemblements de chanteurs et chanteuses un brin démodés sous couvert d’excuses fumeuses (“c’était pour accompagner ma soeur”), il y a un titre qui nous a rappelé que le caractère “all-star” d’une expérience vidéoludique n’était pas toujours un gage de réussite. La série des Smash Bros. fait office de bon élève, mais c’est cette année Jump Force qui s’est essayé à l’exercice, sans réussite. Si le Fan Service et le contenu sont au rendez-vous, le patchwork de directions artistiques peine à fonctionner, un peu comme si les sons de Jean-Michel Jarre rythmaient la prose de Sheila dans un concert que Carnbee aurait sûrement apprécié, pogotant tel un diable au milieu d’une flopée de Baby Boomers. Une certaine vision de l'enfer.
■ Notre test de Jump Force
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