L'évolution de jeuxvideo.com
Vous êtes de plus en plus nombreux à lire jeuxvideo.com. Nous mesurons cette chance, chaque jour, dans un contexte peu favorable aux médias, et notamment à ceux qui délivrent une information gratuite. Pour y parvenir, la rédaction a fait des choix, et continuera d’en faire en 2020. Nous avons ainsi mis les bouchées doubles sur les articles qui vous accompagnent dans votre pratique de jeux exigeants : des soluces plus nombreuses, plus travaillées, et qui répondent mieux à vos questions. Mais aussi un édito qui se concentre sur l’essentiel, qui nous ressemble. Jeuxvideo.com a en effet vocation à rassembler, à accueillir les joueuses et joueurs de tout horizon, là où des médias spécialisés s’adressent à des niches et des communautés très spécifiques, bien mieux que nous ne pourrions le faire. Enfin, nous avons placé l’analyse de l’actualité au centre de notre préoccupation : vous donner les clefs de compréhension du marché, vous guider vers le futur du gaming, mieux orienter vos choix, vos achats, votre consommation dans un contexte où tout change ou s’apprête à changer : nouvelles technologies, nouvelles consoles, nouveaux modes de distribution, démocratisation des launchers, des systèmes par abonnement, etc. Jeuxvideo.com est donc tout autant un média d’information qu’un outil, et nous nous efforçons de l’améliorer. Tout n’est pas parfait et nous continuons de tenter des choses, sans toutes les réussir. Que ce soit à l’écrit, en vidéo, sur LeStream, jeuxvideo.com va innover, se réinventer, parfois viser juste, parfois un peu moins, mais je peux vous le garantir : le site et ses satellites (Twitter, Facebook, YouTube, Instagram, Snapchat) ne feront pas de surplace. Excellente fin d’année à toutes et à tous !
Mon top 5 de 2019 :
- == Tetris 99 ==
- == Luigi's Mansion 3 ==
- == The Touryst ==
- == Death Stranding ==
- == Football Manager 2020 ==
Gaming Live Tetris 99 : On vise le Top 1 en équipe !
Mon coup de cœur : Il n’y a plus de saison !
Un vent frais de spontanéité est en train de souffler sur le calendrier. Oubliées les figures imposées, finie la trêve hivernale, au diable les conventions. Les barrières sont tombées. D’un cycle routinier empli de certitudes, le marché est en train de muter vers une stratégie d’annonces imprévisible. Les acteurs de l’industrie s’affranchissent des règles et reprennent progressivement le contrôle de leur communication. A terme, cela remet en question l’existence même d’un salon comme l’E3 , mais si c’est le prix à payer pour être surpris, je signe des deux mains. Ces derniers mois, c’est cette transformation qui m’a le plus excité. Parce qu’elle exige une attention de tous les instants, une agilité accrue, et surtout, parce qu’elle stimule. Les joueurs, les journalistes, les conférences de rédaction, les brainstormings, les studios, les constructeurs. C’est exactement ce dont avait besoin le marché du jeu vidéo, et pour rien au Monde je ne souhaite un retour en arrière.
Mon coup de gueule : Je n’ai plus assez de temps pour jouer
C’est un fait et je dois m’y résoudre : mon temps de jeu fond comme neige au soleil. D’abord parce que mon travail exige un recul et une disponibilité qui ne sont plus compatibles avec des sessions au long cours. Mais aussi parce que depuis un peu plus d’un an, un petit être occupe l’essentiel de mon temps libre, et qu’il est un peu tôt pour partager mes parties avec lui, même si le bouton power de ma Xbox One tâte régulièrement de son pouce. Si je vis tout ceci très sereinement et avec un plaisir indescriptible, mes machines elles, tournent à bas régime. A l’exception de la Switch , qui répond magistralement à mon usage, d’où la présence de trois exclus dans mon top 2019. Même ma partie de Football Manager 2017 en 2037 est en pause. Mais promis, le stade Goyon verra le jour.