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Les avis les plus utiles

17/20
Pseudo supprimé
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Niveau 5
Posté le 30 oct. 2013 à 00:00

L'équipe de Disgaea est de retour dans une nouvelle série, "The guided fate Paradox" est un Dungeon crawler, contrairement à ce que l'on pourrait croire étant donné que l'on s'attendait plutôt à un habituel TRPG. Il nous fait vite penser à ZHP le système du jeu étant très ressemblant.

Ce système de combat est bien fait, on en comprend vite les bases et on peut rapidement jouer sans devoir comprendre 10 autres facteurs. Les système de montée de niveau et amélioration du personnage est innovateur sans bouleverser le jeu. A chaque arme ou équipement est attribué une capacité spéciale ce qui est assez sympa à jouer et chacun peut être améliorée jusqu'a un très haut point. Les animations sont ressemblantes à celles de Disgaea ( même équipe ) et les équipements, qui ont une influence directe sur l'apparence des personnages, sont souvent assez amusant ( jambes Tank, Casqe Carotte ) et il arrive de remarquer certains clins d'oeils a la série des Disgaeas ( Casque Sardine, Bateau Prinny ). Mais malgré que les Dungeons crawlers ont tendance à être faciles, The guided fate paradox est loin d'être simple. Après un premier monde agréable, la difficulté augmente drasticalement dés le second ou l'on est obligé de recommencer pour réussir. Et lors de la mort du Héro, on perd la moitié de son argent ainsi que tout notre inventaire ( y compris l'équipement ) ce qui n'est pas super agrébale mais qui ajoute du challenge.

Rien à dire sur la musique mais en ce qui concerne le scénario, celui-çi est agréable, il se laisse regarder mais n'est pas impressionnant. Outre le fait d'être Dieu ce qui est toujours loin d'être désagréable rien n'est suprenant. Dailleurs, à chaque progression d"un étage, on a le droit à une cutscene continuant l'histoire du jeu ce qui peut être un peu envahissant vu la quantité d'étages à parcourir dans ce jeu -_-. Heureusement que l'on meurt souvent sinon ça serait beaucoup trop proche.

Conclusion :
Points Forts :
- Innovateur sur certains aspects
- Agréable à jouer et facile à prendre en main
- Grande difficulté et rapidement, pas comme les autres jeux du moment
- Boss bien faits
- le fait d'être Dieu
- Graphiquement beau si l'on ne cherche pas le réaliste

Mauvais points :
- Il faut être amateur du style de Nis pour apprécier
- Scénario envahissant et parfois des scènes inutiles ou trop longues pour un scénario comme celui çi. Ce n'est pas un SMT.

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16/20
Djidane01
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Niveau 10
Posté le 06 nov. 2013 à 00:00

The Guided Fate Paradox est globalement un bon jeu, mais pêche sur certains plans. Malgré de bonnes idées, les développeurs sont tombés dans des erreurs de débutant sur le plan du gamedesign.

Scénario: Rien de très inventif, la trame est assez bateau si l'on met de côté l'évènement initial: Renya Kagurazaka, lycéen japonais doté d'une chance apocalyptique au jeu depuis son enfance, se voit désigné comme nouveau Dieu (au sens "entité omnipotente") par une simple loterie de supermarché. C'est l'ange Lilliel qui se charge de l'élever à ce nouveau rang en jouant sa Dokuro-chan, et le guidera dans ses premiers pas sur Celestia (pas celui de Disgaea, un autre).

Ce qui donne son nom au jeu va conditionner le côté dungeon-rpg: Renya va devoir dans chaque chapitre exaucer le "souhait" d'une personne pour changer sa destinée. Dans les faits, ça consiste àgravir les étages d'un donjon semi-aléatoire (sur la disposition du niveau et ennemis/objets, pas ce que l'on peut y trouver) jusqu'au boss qui souvent demande des conditions de victoire un peu plus évoluée (protéger un pnj). Si les premiers chapitres sont plutôt sympathiques dans l'inventivité - on doit tour à tour changer la fin d'un conte classique, puis celle d'un personnage de film d'horreur - on retombe vite dans le très classique, pour ne pas dire ennuyeux. Dommage.

Gameplay: Système au tour par tour, où chaque action du perso (avancer d'une case, utiliser un objet, attaquer) prend un tour, après quoi les ennemis font de même. Il faut faire attention au placement sur le quadrillage et au champ de vision des ennemis pour tirer partie du système. L'équipement est également important, puisque Dieu est fragile. Pour améliorer ses chances de survie, il faut ramasser les objets laissés par les ennemis et l'habiller des pieds à la tête en passant par les bras, chaque pièce offre un % bonus à diverses caractéristiques. i.e les heaumes de base améliorent les HP de 10%, les armes l'attaque de 15%, ... Chaque objet est aussi associé à une technique spéciale + ou - puissante et utile. A l'utilisation, ces objets s'usent et finissent par passer en "burst", état où les bonus sont divisés par 2, mais l'objet peut alors être remis à neuf moyennant finance, ce qui améliore de plus leur puissance et le maximum d'utilisation.

Mais ce n'est pas tout, on est ici dans un simili-Rogue-like: le niveau du personnage (et de l'ange IA qui l'accompagne) redescend à 1 dès qu'il sort des donjons, et la mort ampute de votre équipement et 50% du pognon accumulé. Le niveau atteint avant la mort ou la sortie du donjon, par contre, est ajouté à un total qui améliore vos stats de base (donc votre potentiel global à chaque niveau) et ouvre de nouvelles cases du Divinigram. Ce nom barbare cache la principale source de puissance des persos qui évoque notamment le licence board de FFXII. Sorte d'échiquier qui grandit peu à peu, sur lequel vous placez des cases octroyant des bonus de stats. Sur ces cases remplies, on peut placer des artefacts qui entre autres boostent plus ou moins l'amélioration des stats par vos équips. Enfin, des sources envoient une énergie divine à canaliser vers les artefacts pour démultiplier leur effet, un peu dans le style de La Pucelle. Avec tout ça, y'a de quoi faire.

Le jeu consiste à avancer dans les donjons, à risques calculés et à améliorer vos objets et stats globales. En plus du renforcement d'équips, on peut en faire fusionner 2, une partie des bonus de l'un étant absorbée par l'autre. D'autres aides arrivent en progressant: une banque, la possibilité de créer des tenues complètes d'équips à invoquer (nombre limité d'utilisation et de tours) en donjon et conservées en cas de défaite, également de longs donjons aléatoires (entre 50 étages et 200 pour le plus difficile).

C'est bien beau tout ça, mais tout n'est pas aussi divin. Pour aborder les côtés moins reluisants, je commencerais par toucher deux mots sur le problème principal du jeu. Les développeurs ont eu l'idée de génie de doter la plupart des donjons d'une sorte de brouillard de guerre qui occupe 50% de l'écran. Ça n'apporte rien, et c'est lourd, d'autant que la caméra mal foutue empêche souvent de savoir où l'on va. D'autant plus dommage que les donjons sont agrémentés de divers types de mécanismes - dans l'un vous devez sauter de toit en toit à l'aide de canons, dans un autre progresser en 3D sur un "dé à 6 faces" - et que les graphismes ne sont pas complètement vilains (chaque équipement influe de façon drôle sur le design des persos). Autre soucis: les nombreux pièges invisibles qui jalonnent les sols. Y'a bien des techs qui permettent des les dévoiler, mais perdre 50% de ses HP tous les 3 pas peut avoir tendance à vite souler.

Après ça, on peut dire que Kamipara est plutôt divertissant quoiqu'un brin répétitif. Certes en anglais intégral (+ voix jap en option), mais c'est un jeu de niche, on est habitués. Bonne durée de vie et OST également.

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Tous les avis lecteurs (10)

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17/20
Pseudo supprimé
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Niveau 5
Posté le 30 oct. 2013 à 00:00

L'équipe de Disgaea est de retour dans une nouvelle série, "The guided fate Paradox" est un Dungeon crawler, contrairement à ce que l'on pourrait croire étant donné que l'on s'attendait plutôt à un habituel TRPG. Il nous fait vite penser à ZHP le système du jeu étant très ressemblant.

Ce système de combat est bien fait, on en comprend vite les bases et on peut rapidement jouer sans devoir comprendre 10 autres facteurs. Les système de montée de niveau et amélioration du personnage est innovateur sans bouleverser le jeu. A chaque arme ou équipement est attribué une capacité spéciale ce qui est assez sympa à jouer et chacun peut être améliorée jusqu'a un très haut point. Les animations sont ressemblantes à celles de Disgaea ( même équipe ) et les équipements, qui ont une influence directe sur l'apparence des personnages, sont souvent assez amusant ( jambes Tank, Casqe Carotte ) et il arrive de remarquer certains clins d'oeils a la série des Disgaeas ( Casque Sardine, Bateau Prinny ). Mais malgré que les Dungeons crawlers ont tendance à être faciles, The guided fate paradox est loin d'être simple. Après un premier monde agréable, la difficulté augmente drasticalement dés le second ou l'on est obligé de recommencer pour réussir. Et lors de la mort du Héro, on perd la moitié de son argent ainsi que tout notre inventaire ( y compris l'équipement ) ce qui n'est pas super agrébale mais qui ajoute du challenge.

Rien à dire sur la musique mais en ce qui concerne le scénario, celui-çi est agréable, il se laisse regarder mais n'est pas impressionnant. Outre le fait d'être Dieu ce qui est toujours loin d'être désagréable rien n'est suprenant. Dailleurs, à chaque progression d"un étage, on a le droit à une cutscene continuant l'histoire du jeu ce qui peut être un peu envahissant vu la quantité d'étages à parcourir dans ce jeu -_-. Heureusement que l'on meurt souvent sinon ça serait beaucoup trop proche.

Conclusion :
Points Forts :
- Innovateur sur certains aspects
- Agréable à jouer et facile à prendre en main
- Grande difficulté et rapidement, pas comme les autres jeux du moment
- Boss bien faits
- le fait d'être Dieu
- Graphiquement beau si l'on ne cherche pas le réaliste

Mauvais points :
- Il faut être amateur du style de Nis pour apprécier
- Scénario envahissant et parfois des scènes inutiles ou trop longues pour un scénario comme celui çi. Ce n'est pas un SMT.

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16/20
Djidane01
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Niveau 10
Posté le 06 nov. 2013 à 00:00

The Guided Fate Paradox est globalement un bon jeu, mais pêche sur certains plans. Malgré de bonnes idées, les développeurs sont tombés dans des erreurs de débutant sur le plan du gamedesign.

Scénario: Rien de très inventif, la trame est assez bateau si l'on met de côté l'évènement initial: Renya Kagurazaka, lycéen japonais doté d'une chance apocalyptique au jeu depuis son enfance, se voit désigné comme nouveau Dieu (au sens "entité omnipotente") par une simple loterie de supermarché. C'est l'ange Lilliel qui se charge de l'élever à ce nouveau rang en jouant sa Dokuro-chan, et le guidera dans ses premiers pas sur Celestia (pas celui de Disgaea, un autre).

Ce qui donne son nom au jeu va conditionner le côté dungeon-rpg: Renya va devoir dans chaque chapitre exaucer le "souhait" d'une personne pour changer sa destinée. Dans les faits, ça consiste àgravir les étages d'un donjon semi-aléatoire (sur la disposition du niveau et ennemis/objets, pas ce que l'on peut y trouver) jusqu'au boss qui souvent demande des conditions de victoire un peu plus évoluée (protéger un pnj). Si les premiers chapitres sont plutôt sympathiques dans l'inventivité - on doit tour à tour changer la fin d'un conte classique, puis celle d'un personnage de film d'horreur - on retombe vite dans le très classique, pour ne pas dire ennuyeux. Dommage.

Gameplay: Système au tour par tour, où chaque action du perso (avancer d'une case, utiliser un objet, attaquer) prend un tour, après quoi les ennemis font de même. Il faut faire attention au placement sur le quadrillage et au champ de vision des ennemis pour tirer partie du système. L'équipement est également important, puisque Dieu est fragile. Pour améliorer ses chances de survie, il faut ramasser les objets laissés par les ennemis et l'habiller des pieds à la tête en passant par les bras, chaque pièce offre un % bonus à diverses caractéristiques. i.e les heaumes de base améliorent les HP de 10%, les armes l'attaque de 15%, ... Chaque objet est aussi associé à une technique spéciale + ou - puissante et utile. A l'utilisation, ces objets s'usent et finissent par passer en "burst", état où les bonus sont divisés par 2, mais l'objet peut alors être remis à neuf moyennant finance, ce qui améliore de plus leur puissance et le maximum d'utilisation.

Mais ce n'est pas tout, on est ici dans un simili-Rogue-like: le niveau du personnage (et de l'ange IA qui l'accompagne) redescend à 1 dès qu'il sort des donjons, et la mort ampute de votre équipement et 50% du pognon accumulé. Le niveau atteint avant la mort ou la sortie du donjon, par contre, est ajouté à un total qui améliore vos stats de base (donc votre potentiel global à chaque niveau) et ouvre de nouvelles cases du Divinigram. Ce nom barbare cache la principale source de puissance des persos qui évoque notamment le licence board de FFXII. Sorte d'échiquier qui grandit peu à peu, sur lequel vous placez des cases octroyant des bonus de stats. Sur ces cases remplies, on peut placer des artefacts qui entre autres boostent plus ou moins l'amélioration des stats par vos équips. Enfin, des sources envoient une énergie divine à canaliser vers les artefacts pour démultiplier leur effet, un peu dans le style de La Pucelle. Avec tout ça, y'a de quoi faire.

Le jeu consiste à avancer dans les donjons, à risques calculés et à améliorer vos objets et stats globales. En plus du renforcement d'équips, on peut en faire fusionner 2, une partie des bonus de l'un étant absorbée par l'autre. D'autres aides arrivent en progressant: une banque, la possibilité de créer des tenues complètes d'équips à invoquer (nombre limité d'utilisation et de tours) en donjon et conservées en cas de défaite, également de longs donjons aléatoires (entre 50 étages et 200 pour le plus difficile).

C'est bien beau tout ça, mais tout n'est pas aussi divin. Pour aborder les côtés moins reluisants, je commencerais par toucher deux mots sur le problème principal du jeu. Les développeurs ont eu l'idée de génie de doter la plupart des donjons d'une sorte de brouillard de guerre qui occupe 50% de l'écran. Ça n'apporte rien, et c'est lourd, d'autant que la caméra mal foutue empêche souvent de savoir où l'on va. D'autant plus dommage que les donjons sont agrémentés de divers types de mécanismes - dans l'un vous devez sauter de toit en toit à l'aide de canons, dans un autre progresser en 3D sur un "dé à 6 faces" - et que les graphismes ne sont pas complètement vilains (chaque équipement influe de façon drôle sur le design des persos). Autre soucis: les nombreux pièges invisibles qui jalonnent les sols. Y'a bien des techs qui permettent des les dévoiler, mais perdre 50% de ses HP tous les 3 pas peut avoir tendance à vite souler.

Après ça, on peut dire que Kamipara est plutôt divertissant quoiqu'un brin répétitif. Certes en anglais intégral (+ voix jap en option), mais c'est un jeu de niche, on est habitués. Bonne durée de vie et OST également.

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17/20
GonDis
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Niveau 10
Posté le 13 nov. 2013 à 00:00

Un rogue-like RPG dans la veine de Zettai Hero Project Le système de jeu reprend 90% de la production précédente (sur Psp), mais est cette fois-ci accompagné d'un scénario qui tient la route (là où Z.H.P. se contentait de donner un peu de peps à sa mise en scène).

Toutefois, il s'agit d'un jeu de niche, ciblant principalement un public otaku et masculin. Tout le jeu est porté par un amalgame de références vaguement amusantes aux poncifs de l'univers du manga et de l'animation japonaise. Si on ne s'amuse pas de voir la rapidité à laquelle les PNJs repèrent le sister-complex du héros, eh bien la quasi totalement des dialogues vous laissera froid.

A acheter après s'être renseigné correctement.

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16/20
Pseudo supprimé
Alerte
Niveau 10
Posté le 18 nov. 2013 à 00:00

Développé par Nippon Ichi (la série Disgaea) The Guided Fate Paradox est un RPG intéressant. Le jeu est un Rogue-like et un Dungeon Crawler. Comme tout jeu de Nippon Ichi, le scénario tient la route mais c'est la jouabilité qui surprendra et contentera les fans du genre.

Les plus:
- Un gameplay assez profond
- Une personnalisation du héros très poussée
- L'univers du jeu ange-démon
- La narration est bonne même si le scénario ne surprend pas.
- Les musiques
- La durée de vie made in Nippon Ichi
- Le character design de Noizi Ito

Les moins:
- Les méchants manquent de charismes ainsi que certains personnages secondaires.
- La méchanique du jeu dans l'ensemble est complexe.

The Guided Fate Paradox est un jeu très amusant au niveau de la jouabilité. Pour le reste, faudra être amateur des animés et RPG japonais. Le design et le scénario ainsi que les personnages donnent vraiment l'impression de voir un animé de Noizi Ito (Suzumiya Haruhi). Dans l'ensemble c'est une bonne experience pour les fans du genre.

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17/20
Pseudo supprimé
Alerte
Niveau 10
Posté le 05 déc. 2013 à 00:00

zhp version améliorée, fun , long, avec toujours un truc qui apparait quand on s'y attend pas.

Un scénario plus consistant que zhp, et des méchant attachant (avis personel)

On peut dire que NIS a pour avantage d'améliorer sans cesse les conceptes une foi qu'il en ont trouvé un ca marche pour disgaea , ca marche pour fate paradox.

- visuellement faut aimer les sprite hd a la disgaea.
- niveau musique quelque bon morceau.

- niveau gameplay simple au premier abord mais avec plusieurs subtilité qui ne sont pas toujours évidente et surtout qui ne sont pas expliquée et donc a découvrir par soi-même.

c'est un bon jeu ,les amateur d'anime jap ou des production NIS aimerons surement le scénario, pour les autres un jeu a essayer par curiosité a petit prix.

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14/20
miss-etna
Alerte
Niveau 10
Posté le 19 janv. 2014 à 00:00

J'ai pas mal aimé ce jeu.
Les différentes histoires sont vraiment sympas à faire, l'histoire principale même si elle est à base manichéenne classique.
Là où on peut penser que le "paradis" est un monde parallèle de bisounours, en faite il s'avère que les anges ont quasiment tous un coté bien malsain que j'adore! Ca donne d'ailleurs place à des dialogues sympa!

Coté gameplay il est classique pour ce style de jeu, maintenant le coté personnalisation, différence d'équipement visuel pour chaque partie du corps est vraiment kiffant!
Cependant le coté "gameover" force le joueur à être totalement vigilant car le game over signifie la perte définitive de nos équipements... Même si il y a des moyens de les sauver, la mort reste bien trop punitive à mon goût...

La difficulté est assez élevée surtout contre les boss qui s'avèrent vraiment difficiles à vaincre.

Le divinigramme est vraiment sympa même si j'aurai voulu une option pour le reset d'un coup au lieu d'enlever chaque pièce une par une.

Bref ce jeu est vraiment agréable à faire une fois.
Il n'a cependant rien d'extraordinaire à mes yeux donc je met seulement un 14/20 car il n'a pas assez de profondeur pour un jeu NIS, (pas de post game également).

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9/20
Pipotix
Alerte
Niveau 1
Posté le 07 janv. 2014 à 00:00

J'adore les T-RPG et plus généralement les rpg au tour par tour, mais sur celui-là j'accroche pas, le gameplay est vraiment trop simpliste.
Un seul personnage directement contrôlable, très peu de skills, ça va pas loin. On passe son temps à avancer comme un bourrin sans difficulté, en répétant les mêmes attaques, en rushant les donjons le plus rapidement possible pour atteindre les boss, les seuls ennemis qui offrent parfois un peu de challenge. C'est pénible et répétitif.

D'habitude, l'unique intérêt des jeux au tour par tour par rapport aux jeux en temps réel, c'est de donner le temps de réfléchir dans les situations complexes. C'est pourquoi tous ces jeux ont en commun de permettre de jouer de nombreux personnages avec de nombreuses compétences et beaucoup d'interactions. Mais il n'y a rien de tout ça dans TGFP, pas la moindre profondeur tactique, et ici rien ne justifie le choix du tour par tour, tant il est rare d'avoir besoin de réfléchir avant d'agir.

Le plus énervant est sans doute le brouillard, qui apporte une touche de hasard vraiment malvenue dans un jeu tactique. Ce brouillard n'est pas gênant sur les premières missions, il devient bien plus insupportable par la suite sur certaines map ouvertes où il recouvre la quasi-totalité du terrain. Avec un champ de vision d'une seule case, on avance à l'aveuglette sans rien pouvoir planifier puisque on ne voit pas les ennemis, c'est le degré zéro de la stratégie. Ca ne rend même pas le jeu plus difficile, vu la nullité des ennemis, mais c'est énervant car inutilement moche : quand tout un donjon se joue sur un écran couvert à 80% d'un brouillard blanc, déjà qu'à la base les décors sont pas terribles, ça devient vite lassant.

Bref, terriblement décevant.

A part ça le scénario est ok, enfin passable, comme souvent dans ce genre de jeux. Y'a des longueurs, mais aussi quelques dialogues assez drôles.
Pour moi le seul vrai point positif est le divinigram, mais ça ne suffit pas à rattraper le reste.

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17/20
_-Saya47-_
Alerte
Niveau 56
Posté le 04 sept. 2014 à 00:00

The Guided Fate Paradox est un Dunjeon Crawling, qui ressemble beaucoup aux spin-off de Pokémon Mystère.

Dans chaque chapitres, on vous envoie dans un donjon à 10 étages à monter, avec des monstres, et bien sur, au dernier étage, un boss. Il faut gérer les PV de notre personnage et de notre alliée, mais aussi son endurance, en mangeant des pommes ou d'autres aliments pour pouvoir continuer à avancer.

L'histoire est, quant à elle, très bien faite, on commence sur une histoire assez courante: On contrôle un jeune lycéen, Renya, qui est connu pour être très malchanceux, il n'a jamais eu de petite amie, il n'a jamais eu vraiment d'amis, et il n'a jamais rien gagné à des loteries, et c'est là où NIS nous offre une nouvelle fois une histoire originale et délirante, alors que ce dernier s'apprêtait à rentrer chez lui rejoindre sa soeur, il se fait interpeller par une femme habillée en maid qui lui propose de jouer à la loterie, et par chance (ou pas?) il gagne le gros lot: Devenir Dieu! Il devra accomplir son travail de Dieu, accompagné par Lilliel, une jeune ange prête à tout pour que Renya reste en vie et faire en sorte que les autres anges l'accepte. Il découvrira une petite communauté d'anges, tous autant différent les un que les autres, Cheriel qui est la fille pas farouche, Kuroiel une ange très amicale et délicate, Galtion notre serviteur...

La difficulté est bien dosée, les 3 premiers chapitres sont entrecoupés à l'étage 5 pour permettre au joueur de prendre en main le jeu, à partir du chapitre 4, on nous mets dans le donjon pour faire les 10 étages d'une traîte (ce qui est dur dans un premier temps), on débloque assez vite un petit donjon optionnel, très utile pour gagner de meilleurs équipements, ou même des niveaux. Pour finir le jeu, j'ai mis pour ma part, 45h, il me reste à présent 7 donjons optionnels à faire, tous plus dur les uns que les autres.

Au niveau des moins, je dirais que ce qui m'a le plus manqué, c'est d'avoir eu des choix au cours de l'histoire, j'aurai bien voulu avoir plus d'affinités avec certains personnages que celui qu'on nous impose. J'aurai voulu aussi pouvoir choisir le destin des personnages qu'on rencontre au cours du jeu.

The Guided Fate Paradox est un bon jeu, et une bonne surprise. Un jeu qui ne se prends pas au sérieux, mais qui arrive à être traité de manière à ce qu'il soit intéressant et prenant, on devient vite accro au gameplay, certes basique, mais tellement sympathique. Les personnages ont tous des liens entre eux, qu'on découvre au fur et a mesure, on découvre leurs relations (tant bonne que mauvaise) en grimpant dans les étages des chapitres.

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4/20
elandryl
Alerte
Niveau 8
Posté le 29 déc. 2014 à 16:52

De très loin le T-RPG le plus minable auquel j'ai jamais joué. Après des tartines de textes dévoilant (lentement) un scénario qui a juste oublié d'être intéressant, vous aurez le plaisir d'accéder au cœur du jeu: un personnage qui avance dans des couloirs, en attaquant avec un bouton, pour tuer les monstres un par un, accompagné d'un allié que vous ne contrôlez pas. Le développement de personnage est insignifiant, l'expérience de jeu, sans intérêt. Si vous espériez un jeu de la trempe d'un DIsgaea ou dun FF Tactics en plus simple, passez votre chemin: le jeu tient plus de la visual novel avec un gameplay niveau "application pour téléphone". À fuir.

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13/20
spartan118fr
Alerte
Niveau 10
Posté le 15 déc. 2013 à 00:00

Ce système de combat est bien fait, on en comprend vite les bases et on peut rapidement jouer sans devoir comprendre 10 autres facteurs. Les système de montée de niveau et amélioration du personnage est innovateur sans bouleverser le jeu. A chaque arme ou équipement est attribué une capacité spéciale ce qui est assez sympa à jouer et chacun peut être améliorée jusqu'a un très haut point. Les animations sont ressemblantes à celles de Disgaea ( même équipe ) et les équipements, qui ont une influence directe sur l'apparence des personnages, sont souvent assez amusant ( jambes Tank, Casqe Carotte ) et il arrive de remarquer certains clins d'oeils a la série des Disgaeas ( Casque Sardine, Bateau Prinny ). Mais malgré que les Dungeons crawlers ont tendance à être faciles, The guided fate paradox est loin d'être simple. Après un premier monde agréable, la difficulté augmente drasticalement dés le second ou l'on est obligé de recommencer pour réussir. Et lors de la mort du Héro, on perd la moitié de son argent ainsi que tout notre inventaire ( y compris l'équipement ) ce qui n'est pas super agrébale mais qui ajoute du challenge.

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