Une petite claque. The Evil Within est un excellent jeu. On y suit les aventures de l'inspecteur Castellanos, qui se rend avec des collègues à l’hôpital psychiatrique Beacon, où une boucherie sans nom a eu lieu. Cependant, il se fait capturer et enfermer sans savoir ce qu'il s'y est passé. A nous de le découvrir... Tout d'abord, il s'agit d'un mélange entre survival-horror à l'ancienne (les anciens resident evil, silent hill, alone in the dark etc...) et resident evil 4. TEW ne fait pas vraiment peur mais l'ambiance est morbide, malsaine et glauque à souhait. Certaines séquences mettent également de sacrés coups de pressions, chose assez rare de nos jours pour être souligné. Plus en avance, plus il y a de l'action mais la pression en devient toute autre en raison du nombre de munitions et de la faiblesse du personnage principal par rapport à des ennemis et pièges qui font mal. Les graphismes sont très correctes : techniquement ce n'est pas top entre des textures pas toujours très fines et quelques légers bugs d'affichages mais rien de bien gênant, c'est quand même plutôt propre en général. En revanche, la direction artistique est au top, ce qui rend le jeu très jolie au final. La maniabilité est un peu lourde mais on s'y fait rapidement et ça ne pose aucun problème. La bande son, les bruitages et les voix sont excellentes et contribuent de fort belle manière à l'ambiance exceptionnelle qui se dégage du jeu. Pour ma part, je l'ai finis en 22h en fouillant presque partout et en privilégiant l'infiltration quand c'était possible, en prenant mon temps en somme. En ce qui concerne l'histoire, elle parait très intéressante mais elle reste nébuleuse : plusieurs zones d'ombres subsistent à la fin. Pour une éventuelle suite ou pour stimuler notre imagination? Dans tous les cas, l'ambiance et le suspense permanent nous encourage à avancer et nous donne l'envie de découvrir les chapitres suivants. Malgré des petits défauts, TEW est, pour ma part, un vrai petit bijou, il est à essayer au moins une fois. Âme sensible s'abstenir. Bon jeu à tous!

bonjour a tous et toutes
j ai 52 ans , vous pouvez en deduire le nombre de jeux que j ai pu faire, ceci pour vous dire
que je trouve ce jeu tout a fait agreable et passionant a parcourir
j ai bien sur compris le scenar meme s il n est pas evident au debut
je prenais un peu chaque chapitre comme un tableau different jusqu a ce que se mette en place une histoire dont au final on s en fiche un peu......
l essentiel etant le gameplay et le plaisir de jeu
alors oui les graphs sont tres moyens mais aucune importance tant le plaisir d avancer est present
je trouve cela agreable, de passer d un peu d infiltration et coups par derriere a de gros railshooting vers la fin
rien d innovant c est vrai mais vraiment fun pour ma part
je l ai fait en survie et le refait en NG+
tres tres bon jeu pour ma part
juste avant j avais fait alien sorti juste avant que j ai trouvé" tres beau mais bien moins prenant
voila c est tout
en gros , tres fun , pas tres beau, tres prenant, gameplay tres sympa
et en passant un immense respect aux fous qui l ont tenté et reussi en mode akamu, meme pas j essaie deux minutes ca doit etre delirant et les gars qui ont fini ce mode auront a terme des problemes cardiaques, c est pas possible autrement, ( just joking kids)
foncez faire ce jeu!

Ce jeu fait bel et bien partit des survival horror! Certes je n'ai pas eu peur, mais j'ai eu pas mal de fois des frissons! On sent la patte de créateur de l'horreur dans le sens où des scénes sont très bien mise en place (lumière, élément de décors + musique) ce qui donne une ambiance sublime par moment.

J'ai finis ce jeu en 18h30 en fouillant au max les pièces afin de récupérer tout ce qu'il y a à prendre, je trouve que c'est vraiment beaucoup pour une campagne solo ce qui permet d'amortir le prix d'achat largement!

Les niveau se suivent mais ne se ressemble pas, les morts vivant changent, les paysages changes, de nouvelles armes apparaissent, de nouveaux pièges... Franchement il y a des jeux que j'avais hate de finir au bout de 8h, mais là ce n'étais pas du tout le cas!

Les barres noires ne m'ont pas dérangé sur mon écran TV, les graphismes ne sont pas ouf mais sont bon pour 2014.

Je trouve que l'histoire principale avec les éléments écris que nous récupérons est top parce que c'est léger! Il y a d'autres jeux où on nous mets tellement de manuscrit, page etc... à ramasser avec des trucs de plusieurs pages, qu'en général ca me soule et je ne les lis pas. Là c'est 1 page de moyenne et 2 par niveaux, donc c'est niquel!

Je ne trouve pas vraiment de défaut à ce jeu si ce n'est peut-être un petit tuto de départ pour casser les statuettes car je ne savais pas du tout qu'on pouvait les casser et récupérer des clés du coup je n'ai pas fais attention sur les 2-3 premiers niveaux. J'aurai également voulu sursauter et avoir vraiment peur mais ce ne fut pas le cas (même si comme dis plus haut le jeu est très angoissant et fait frissonner).
Même si le scénario est simple je n'ai pas tout compris ou fait tout les liens, alors je ne sais pas si c'est moi ou si j'ai loupé des éléments dans le jeu qui fait que c'est pas tout à fait claire au sortir du jeu.

En conclusion: Si vous aimez les survivals horreur ou tout du moins aimez vous faire peur, si vous aimez casser des caisses ou chercher des éléments dans le décors pour améliorer votre personnages et vos armes, alors je ne peux que vous conseiller d'acheter ce jeu! 18h pour quelques dizaines d'euros, il n'y a pas beaucoup mieux à part GTA.

L'ambiance est gore à souhait, l'hémoglobine coule à flot. Le bestiaire est renouvelé sans cesse. A chaque niveau son boss qui devra être tué ou non. Le meilleur reste l'ambiance dans cesse renouvelée et les sursauts de temps en temps. Je n'avais jamais sauté sur mon fauteuil.

Au début du jeu, j'ai eu du mal à accrocher à The Evil Within car notre héros est relativement lent, on tarde à obtenir une seconde arme et l'ambiance est violemment glauque. On nous met directement dans le grand bain.

La difficulté du soft est élevé dès le commencement car on n'a que très peu de munitions et l'on découvre les mécaniques de jeu. La peur se fait rapidement ressentir, on voit vite que ennemis sont plus puissants que notre personnage et que la moindre erreur nous coûtera la vie.
D'ailleurs, les morts sont très violentes, ils ont mis le paquet sur les animations.
Malheureusement, la difficulté est mal gérée car plus on avance dans le jeu, plus celui-ci est facile grâce à nos améliorations de personnage qui ne sont clairement pas négligeables. Je vous déconseille fortement de jouer en facile (mode détente) car le jeu est vraiment simple vers la fin et la peur ressentie en est clairement atténuée. On a un peu l'impression de passer à côté de l'expérience proposée et en plus on ne peut pas augmenter de nouveau la difficulté...

Le gameplay du jeu ressemble a un Resident Evil 6, mais en beaucoup plus flippant.
Le meilleur point du jeu se trouve dans son ambiance malsaine et dérangée. C'est comme si l'on était dans la tête d'une personne complètement folle qui a des idées monstrueuses sur la thème de la mort.
Son level design représente excellemment bien cette folie, on est souvent téléporté de zones en zones qui n'ont rien à voir, la gravité change, des portes disparaissent/apparaissent etc... Le niveau change tout le temps et tout est une menace.
Ce qui est génial, c'est que cette folie ambiante permet d'avoir des situations complètement extravagantes mais cohérentes malgré l'aspect patchwork des niveaux.
D'ailleurs, la zone qui permet de sauvegarder est clairement effrayante la première fois qu'on y arrive, elle a tout pour l'être. Mais à force, on s'y habitue et on se sent même rassuré de se trouver dans ce lieu aussi macabre soit-il car il devient une sorte de havre de paix.

Un autre point fort du jeu est son nombre de boss, il y en a une petite dizaine et ce sont tous des mastodontes surpuissants et très originaux.

Si vous avez aimé les jeux Resident Evil les plus récents (4, 5, 6), vous aimerez très probablement The Evil Within!

Je vais faire bref, et claire. Ce jeu est très bon. L'ambiance est parfaite, j'ai été littéralement immergé dedans. Des petits coups de flippe sympa, la difficulté est parfaite, les graphismes beau en ultra. Le premier Silent Hill était et est encore un de mes jeux favori, et ce jeu ci est, pour moi, de la même trempe - je dirais même que j'ai ressentit beaucoup plus d'émotions dans the evil within. Pas de bug facheux. L'histoire est un peu étrange mais ca rend le jeu encore meilleure. Jvc à critiqué la fin du jeu...mais l'important dans un voyage, c'est surtout le parcours, et j'ai réellement pris mon pied dans celui la.

A la base, ce n'est pas mon genre de jeu. Mais les retours étant bons, et l'opportunité d'y jouer gratuitement s'étant présentée, j'ai sauté direct sur l'occasion.
On commence déjà par modifier les touches clavier, car le jeu est par défaut configuré en QWERTY...
On entame ensuite le jeu par une cinématique qui annonce la couleur. Suivi d'une phase de tutoriel de qualité pour nous apprendre les bases du jeu et nous mettre dans le bain.
Ce qui est sûr, c'est que graphiquement le jeu n'a pas réellement pris des rides, malgré ses 5 ans d'ancienneté ! Que ce soit au niveau des textures ou des animations, l'ensemble est plutôt soigné et joli. L'ambiance glauque est bien retranscrite et on est vite immergé dans le jeu. Tout ceci bien sûr à condition de mettre les settings au max.
Alors, comme pour les Silent Hill, il faut s'accrocher pour trouver un sens à l'histoire... Ici, plus on joue, plus le script du jeu nous retourne le cerveau... A croire qu'on va finir par rejoindre le héros dans son hôpital psychiatrique...
Il faut donc récupérer et lire tous les collectibles en jeu pour tenter de comprendre l'histoire. Une histoire qui s'éclaircie de mieux en mieux au fur et à mesure qu'on arrive au bout de l'aventure.
Ce qui m'a en tout cas fait rire, c'est qu'il a fallu atteindre le chapitre 5 (sur 15) pour entendre ENFIN le héros dire "c'est pas normal ce qu'il se passe ici"... Seriously man ? Dès la première cinématique du jeu on se dit que tout part en couille ! Mais lui, il a fallu qu'il dézingue la moitié des "zombies" du jeu, qu'il voit la ville détruite, et ses potes se transformer devant lui pour enfin s'en rendre compte ? wow...
Niveau GamePlay le jeu est plutôt bien balancé. On alterne entre phases d'infiltrations, qui nous permettent d'économiser des munitions, et des phases d'action où le Head shot peut nous sauver d'une mort rapide... En parlant de mort, ce jeu est en soit de la même famille que les Die and Retry. A tel point qu'une fois le jeu fini on nous annonce le nombre de fois qu'on est mort. Et la difficulté du jeu n'aide pas à calmer les choses... il m'est arrivé de passer près de 2h sur un boss de niveau (ex. chapitre 10) juste car celui-ci ne te laisse pas le droit à l'erreur : il te one shot au moindre contact ! Et ce n’est pas un compliment… pour moi, un boss trop long ou compliqué à tuer nous ressort trop du jeu.
Bref, un genre particulier qui plait à certains, et pousseront les autres à baisser le niveau de difficulté (ou à tricher^^).
Le GamePlay nous laisse aussi récolter des éléments de craft (en cassant des caisses et tonneaux à coup de poings^^). Ce craft nous donne quelques précieuses munitions en plus. Le personnage et ses armes peuvent être améliorés à coup de ‘’liquide vert’’ qu'on récolte sur des ennemis tués ou dans des cachettes en explorant les couloirs… Et justement, des couloirs il y en a beaucoup dans ce jeu. Alors l'avantage c'est qu'on ne risque pas de se perdre... l'inconvénient c'est qu'on a parfois la sensation de manquer de liberté de déplacement.
Bref, le jeu est bon, on l'apprécie sous différents angles sans avoir besoin d’être un fan du genre... mais tout n'est pas rose pour autant. On remarque clairement que le jeu a été pensé et optimisé pour console... bien que le PC arrive tout de même à s'adapter. Un choix frustrant selon moi, c'est par exemple l'absence de sauvegarde possible en dehors des fins de chapitre. Entre deux chapitres on a droit à des Checkpoints, mais cette méthode de sauvegarde n'est pas pour me plaire. Aussi, je n'ai pas adhéré au charisme des personnages... en dehors de Ruvik, le patient psychopathe, les autres sont vite oubliables. Je dirais même qu'ils ont une attitude idiote qui a le don d’énerver plus qu'autre chose. Je pourrais aussi citer le choix des dévs de mettre énormément de pièges dans le jeu. Comme si on n’était pas déjà suffisamment obligés de se déplacer accroupis, il faut en plus qu’on attende tous les 15m qu’il désactive un piège pas du tout discret. Bon… si ça permet de rajouter de la durée de vie au titre…
A côté de ça, les bugs ne sont malheureusement toujours pas parti, malgré la fin du support du jeu ! (armes qui disparaissent de l'inventaire, textures de vêtement qui disparaissent, attaque de l'ennemi qui traverse les murs, ennemis insensibles aux pièges/attaques quand ils attrapent le héros, crash parfois de l'application quand on joue, etc...).
Bref, le titre est bon, on l’apprécie sans être fan du genre et, si on sait passer outre les quelques défauts du titre, on y passe tout de même un bon moment de psychose…

Personnellement je trouve que c'est un très bon survival-horror car certain moments sont assez stressant. Ensuite graphiquement il est n'est pas mauvais et les ombres plutôt réussies également, malgré certaines texture pas trop réussies notamment lorsque l'on peut faire le cavalier sans tête (mais vous le verrez par vous même ) . Dans l'ensemble je le recommande pour les joueurs qui souhaitent s'éclater sur un p'tit jeux bien sympa mais pas à ceux qui veulent vraiment presque se faire dessus
En gros un très bon jeu pour moi qui suis amateur de survival-horror et de gore !

Une tuerie! Seul défaut sérieux c'est les 31Go et peut etre la durée de vie...

Et perso j'y joue j'ai pas de bandes noires un petit réglage de mon écran et a pu! sinon c'est pas très génant...

Sérieux arrétez de dire que c'est de la merde et que c'est pas un survival!!! Si on suit votre raisonnement meme outlast n'est pas un survival et RE n'est qu'un jeu d'action horrifique a ce moment là... Un survival pour vous c'est quoi? On débarque et on shootent du zombie et du monstre a la pelle et ca s'arrete la avec une ou 2 énigme? ca s'arrète pas a ca!

Survival/horror... SURVIVAL! ca veut dire ce que ca veut dire le but est de survivre peut importe le moyen! C'est son coté infiltration à l'instar de outlast qui en font un VRAI survival!!! Pour les munitions et ennemis certains disent comme sur le GL beu c'est quoi ce survival? 3 coup de poings et c'est réglé y a des des tonnes de munitions ... Hé, normal en meme temps sur le GL c'est une partie en mode facile hein... vous avez essayez en mode hard? Pour des collègues PCistes: "Les joueurs sur pc dont je fais parti sont devenus des gros cons" ca ralent et pour la plupart n'ont meme pas joué une fois a ce jeu! et pour certains ils leur faut un jeu parfait sur tous les plans et à leur gouts sinon c'est que de la grosse merde!

Moralité: heureux qu'il reste des connaisseurs, qui regarde le jeu en profondeur et qui ne s'arretent pas a juger sur des broutilles a 2 balles!

Pour finir un bon gros 19 ce jeu est EXCELLENT!!!

Je viens de le finir en mode normal.
Première chose à savoir : Si vous voulez le prendre sur steam, il y a 31 go à télécharger, à moins d'avoir la fibre
vous allez mettre quelques heures avant de pouvoir y jouer.

En ce qui concerne la durée de vie, j'ai mis 12h pour le finir en y allant tranquille, c'est loin des 20h annoncés par jvc.

Parlons du jeu en lui même maintenant, autant c'est un bon jeu autant il me laisse très dubitatif sur l'ambiance et l'appellation "survival-horror". Le cotè "survival" y est étant donné le nombre de pièges et d'ennemie mortel. Mais "l'horreur" ce voit surtout au début et s'atténue au fil de l'histoire. C'est gore et malsain mais ça ne fait pas peur. En tout cas dead space me faisait beaucoup plus frissonner que TEW. Pour moi, le jeu souffre d'un gros déséquilibrage au niveau de l'inspiration. On sent un peu de Silent Hill dans les musiques et l'ambiance mais c'est Resident Evil 4 qui prime sur le gameplay et l'évolution du jeu. Et comme RE4, le jeu s'oriente beaucoup plus action sur la fin et c'est dommage qu'il ne garde pas l'ambiance du début du jeu. Bon c'est vrai, la tête pensante derrière le projet est la même que RE4 donc c'est un peu normal que ça ressemble beaucoup, mais personnellement, quand il parlait de "retour aux origines" je m'attendais plus à une inspiration de RE1 que RE4. J'ai l'impression que les développeurs ne savent pas faire des jeux d'horreur avec la technologie d'aujourd'hui. Ils veulent faire absolument du gore mais oublie que la peur ne se génère pas de cette façon. Dans le jeu on passe d'une zone à l'autre sans savoir ou on est réellement ou pourquoi (enfin au début). Or on est plus facilement traumatisé en voyant une zone familière ravagé. C'est ce qui donnait son succès à Silent Hill en nous mettant dans dès lieu que l'on connait (église, hôpital, école etc...) mais totalement déformé par le "mal" créant un malaise constant. De plus le gore ne marche pas bien dans le jeux vidéo parce qu'on voit bien que ce n'est pas réel contrairement au cinéma. Bizarrement les seuls moments qui donnent des frissons c'est la zone "safe" de l’asile. L'ambiance y est glauque avec pour seul son le tic tac de l'horloge ou de la musique d'un vinyle. Vu que pour nous c'est une zone de sureté, on ne s'attend pas à voir des événements étrange (sans doute inspiré de silent hill 4).

La partie graphisme est correct sans être exceptionnel mais suffit pour le jeu. On s'habitue vite aux grains et aux bandes noires. Temps de chargement rapide. Pas la peine de s'étendre sur ça car de mon point de vue, ce qui importe dans un survival-horror c'est son ambiance et comme je l'ai dit plus haut, il n'a pas réussi à révolutionner le genre ou à prendre le meilleur de ce type de jeu.

Si les developpeurs n'avaient pas mitonné en disant qu'il voulait faire un vrai jeu de peur au lieu de dire qu'il voulait faire une suite spirituel à RE 4, j'aurais mis 16.
Le contrat n'étant pas respecté, j'enlève 3 points

Est-ce que ce sont les mêmes qui crient au scandale quand resident evil 6 sort et qui retournent leur veste et critiquent les graphismes, la rigidité du gameplay et l' ambiance trop malsaine de ce jeu?
Les joueurs sur pc dont je fais parti sont devenus des gros cons, ils ne savent pas dessiner un cochon et se permettent de râler parce qu' ils ont eu un bug mineur de collision.

Beaucoup disent que c' est un RE4.2, c' est complètement faux même si j' admets que des mécanismes de jeu s' en rapprochent. Evil Within ne joue pas dans la même court car souhaite mettre mal à l' aise le joueur, le mettre souvent dans l' incompréhension et l' irrationnel là ou Resident Evil est très accessible, on sait toujours ce qu' il se passe, ce qu' on doit faire et qu' à la fin du jeu on va battre le méchant.

Je suis persuadé que même Shinji Mikami est convaincu que Silent Hill est bien plus effrayant que son premier jeu d' horreur. Il a eu l' intelligence de créer une autre licence car Resident evil est devenu irrécupérable.

Evil Within maintenant: parlons-en,

c' est quand même une sacrée descente aux enfer, on joue pas à Rayman là. Plus tu avances et moins ça sent bon pour les héros (pourtant le premier chapitre ne se passe pas à Disneyland). Chaque nouvelle salle, chaque nouveau couloir on essaye de deviner ce que les créateurs ont pu imaginé comme coup tordu pour nous foutre les boules ou bien on regarde avant d' avancer par quel endroit un pas beau peut surgir.

Les ennemis sont flippants mais tous complètement pompés d' oeuvres existantes déjà. Là dessus on est en face d' un patchwork de films et de jeux vidéos très connus, manque que l' Alien. Donc c' est efficace mais on peut pas vanter le génie créatif de l' équipe.

L' immersion est totale et on est toujours à la recherche d' une certaine logique dans le jeu. Puis arrive le milieu du jeu où là on perd le fil, on sait plus qui cherche quoi, on ne sait même pas pourquoi on est là. On se dit qu' on va allez sauvegarder parce que l' infirmiière, elle, au moins elle nous rassure. C' est magistral pour les gens désorganisés ce genre de jeu. J' approuve.

Et puis, et puis, et puis il y a la musique et LA les enfants, on est en présence de ce qui doit passer sur les ondes en enfer. On souffle quand on entend la musique douce qui indique un petit point de sauvegarde car nos oreilles en prennent pour leur grade durant le jeu. Super boulot (au chapitre 5 j' ai faillit enlever le casque, mes limites étaient presque atteintes).

Pour finir vite fait avant d' aller au lit, graphiquement je l' adore. C'est l' Art qui fait un bras d'honneur aux mathématiques. Il fallait que ce jeu soit sale, baveux, granuleux, flou, brumeux, imparfait. Il l' est de la plus belle manière qu' il pouvait l' être et c' est tant mieux.

The Evil Within m'a surpris.
Autant dans la mise en scène que le scénario. L'écriture, la performance de voice acting est au poil.
C'est une expérience qui marque. Le jeu ne te tient pas par la main ce qui est appréciable.
Les illusions, les troubles que ressent le personnage tu les ressens toi aussi au jouant au jeu.
Tu ne comprends pas tout, mais tu es quand même emporté.
Très hâte de mette la main su le 2!

Surpris. j'en attendais pas grand chose.Un enieme survival de bon aloi qui fout les chocottes avec des images vues et revues, c'est ce que je m'imaginais.

Pour a peine quelques euros (moins de 4) dans le bac solde d'une grande enseigne, je risquais pas grand chose. Et c'est avec delectation que je constate qu'il etait pas cher, et loin d'etre mauvais! Voire meme bon.

Amis PC istes, la config annoncée a des burnes. Des grosses meme. Core I7, Geforce a la limite du titan, trouze gigas de ram, bref, on est dans la conversion brute de console sans effort, marche ou creve.

Ayant la chance d'avoir un PC bourgeoisement doté, il se fait superbe en ma demeure. Sacrement beau et fluide le bougre.Mais, pour taire toute suprematie PC, il n'est pas plus beau que sur PS4 en toute sincerite. Un portage de feignasse, on a l'habitude.

Mais il n'en demerite pas. J'ai pour habitude, depuis silent hill 2, de couper tout effet de "noise" video pour apprecier les textures d'un jeu, rien a battre de l'effet vieux films que veulent insufler les dev en degradant l'image avec un filtre VHS usé degueulasse.

sur PC, c'est possible, sur PS4 aussi je pense. L'occasion d'admirer un jeu tres leché, tres new gen, qui ne pechera que par quelques textures un peu grossieres de tres pres.Harmonieux, c'est le mot. Brouillard, streums, effet de lumiere a se damner, c'est reussi. Mieux qu'une debauche de details, une veritable harmonie fluide, c'est bien et on salue.

Au clavier, c'est pas la reussite. La souris se fait emulation de pad, le clavier est en QWERTY meme en french version, non... on branche vite le pad 360 filaire avant de jeter le clavier par la fenetre. tout de suite, on se sent beaucoup mieux, tout repond bien, tout est instinctif, a la souris /pad 102 touches c'est pas genial. Ca n'a pas ete fait pour ca, admettrais-je dans une grande mansuetude.

Au pad, 360, nickel. Allez, a la limite, defaut existant sur console, la creation d'arme est pas super intuitive. Ca s'apprend vite, mais c'est pas un modele.

je suis decu par l'histoire. Elle est d'une fadeur sans nom. "cliché" comme aiment a dire nos amis anglo saxons.

Blabla flic, blabla zombies, et vazy que je brode de la daube insipide autour.clairement pas son point fort.

Ah oui, c'est un survival horror. Et bien, je n'ai pas frissoné une seconde, tant le tout etait cliché. Un silent hill 3 foutait bien plus la trouille, là on est dans le zombie, son imagerie soft, prete a se faire douiller par le joueur, rien de malsain, de choquant, presque de la routine.

Ca fait BEEUHARRR , ca a un look degeu mais c'est pas plus malsain qu'un scooby doo de la grande epoque.

C'etait comme resident evil 2 (c'est le meme producteur), ca veut faire paniquer mais pas foutre la trouille, tirailler mentalement.

Une mention speciale, que dis je, exceptionelle, au son. C'est un regal.Rarement dans un jeu next gen, on atteint une ambiance sonore aussi superbe. cliquetis, bruits de porte rouillées, de planche qui craque, chaque detail d'image est ponctué de sa syllabe sonore. Dans une qualité sublime. Un enorme bravo a l'ingé son qui a fait le mix, un travail exemplaire.

Pour vous situer le niveau, j'etais dans une bicoque delabrée, chapter 3. je m'avance en mode furtif, crrr/crrr font mes pas. dans mes oreilles, des zombies font leur BEUUUARR reglementaires. A cours de munitions, je me cache sous le lit. J'entends tous les frottements de la literie, les BEUUUar sont tres bien spatialisés, et realistes.Au loin, un bruit de feu, d'autres zombies.

tout ce que le zombie faisait etait sonorisé. Me chercher, marcher, rien, soupirer, on en lacherait presque le pad pour ecouter. Qu'ajouter de plus sur le flingue, le zifu a pompe, l arbalete de bioman sinon que cela a ete sonorisé de maniere magistrale? c'est trop rare pour ne pas le souligner.Merci le sonoriste de ce jeu.

J'y ai reconnu les nappes sonore de resident evil 1, les meme, je ne saurais jamais si c'est un gimmick voulu ou un hasard. mais meme tempo, meme tonalité, meme instrument, difficile de se dire que c'est un hasard.

Un jeu qui paye pas de mine, mais au gameplay travaillé. Meme si l'histoire n'est pas folichonne, on se surprend a essayer toute sorte de strategies pour niquer les zombies. Avec une dose de difficulté consequente.

Un vrai bon jeu.pas memorable, mais suffisament bien pour s'en souvenir en 2026 en se disant "ah oui c'etait cool"

Obtenu avec le Xbox Game Pass Ultimate.
Config : CPU AMD Ryzen 5 3600, GPU Nvidia RTX 2060 Super, RAM 16Go DDR4 3200CL16, SSD NVMe.

L'inspecteur Sebastian Castellanos se rend dans un hôpital psychiatrique, théâtre d'une tuerie de masse. Accompagné de ses coéquipiers Joseph Oda et Juli Kidman, il est témoin du meurtre de policiers par un mystérieux individu doté de pouvoirs surnaturels. Assommé par surprise, il reprend ses esprits pendu à un crochet de boucher, au milieu d'un abattoir sordide. C'est le début du cauchemar.

Le scénario nous balade sans cesse entre plusieurs niveaux de conscience. La réalité et les hallucinations s'entremêlent, ainsi que le présent et le passé, au fur et à mesure que l'on remonte aux origines de l'intrigue et du parcours des personnages. Le tout s'emboite parfaitement, sans baisse de rythme, avec ce qu'il faut de passages un peu plus triviaux pour rester divertissant. On est tenu en haleine du début à la fin.

Soyons clair, il ne s'agit pas d'un excellent TPS. On manque cruellement de recul et d'espace, d'autant que la seconde moitié est plus orientée action. Difficile d'être réactif et précis. Certaines situations requièrent au contraire une furtivité totale. On avance alors accroupi, prenant ses ennemis à revers, se cachant dans des casiers ou sous des lits. La fuite étant parfois la seule option. L'indicateur de détection est malheureusement approximatif, on est souvent assailli sans trop comprendre le comment du pourquoi. L'hôpital sert de hub, pour sauvegarder et dépenser ses points d'amélioration (en prenant place sur une chaise électrique...idée géniale). Il faut s'attendre à mourir plus que de raison, car le gameplay est loin d'être réglé aux petits oignons.

La direction artistique est un melting pot d'influences cinématographiques et vidéo-ludiques, puisant dans l'horreur, le fantastique, le polar et l'action : sont cités entre autres "Massacre à la Tronçonneuse", "Shining", "L'échelle de Jacob", "Saw", "Ring", "Silent Hill", "Resident Evil 4", et même "2012". Pour nous plonger dans une ambiance à la fois lugubre et mélancolique, sombre et crasseuse, aux accents occultes, où l'ombre et la lumière se jouent de nous. La mise en scène est omniprésente, immersive et inventive. On reste fasciné par cet univers.

La technique, tout juste passable, ne constitue pas un frein à l'immersion. Les modèles 3D sont inégaux et les visages statiques (Sebastian sort favorablement du lot). Le crénelage prononcé et le pop-in peuvent distraire le regard. Les textures basse définition se distinguent peu dans la pénombre, mais en plein jour ça pique. Les ombres tremblotent, et quelques chutes de frame-rate surviennent ça et là. Peu d'options graphiques, hormis la possibilité salvatrice de désactiver le mode cinémascope. En effet, l'image y est tellement tronquée que cela dessert la jouabilité. Je conseille donc vivement de jouer en 16/9. Pour de l'id Tech 5 de 2014, il ne fallait pas s'attendre à des miracles, mais c'est toujours présentable en 2022.

La musique est très efficace, à base de nappes atmosphériques et lourdes percussions. On a le choix des langues et sous-titres, un très bon point. Les doublages Français sont certes moyens, mais s'accordent avec l'esprit série B de l'ensemble. Le sound design participe idéalement à faire monter la tension.

Il m'a fallu 18h pour finir l'aventure principale. Outre un new game+, 3 contenus additionnels sont inclus pour environ 8h30 de jeu supplémentaire. "The Assignment" et "The Consequence" suivent l'histoire parallèle de Kidman. Etant désarmée, cela introduit de nouvelles mécaniques de furtivité, ainsi que l'utilisation d'une lampe torche et de bâtons lumineux. "The Executioner", plus court et surtout autrement plus bourrin, nous voit incarner un Garde surpuissant, surarmé et inépuisable. Rien d'indispensable, avec du recyclage de décors, mais des ajouts appréciables. La durée de vie globale est très suffisante.

Le jeu de Shinji Mikami voit sa technique datée compensée par une ambiance visuelle et sonore redoutable, imparable, écrasante. Le récit n'est pas en reste, rondement mené, parvenant à intriguer, captiver et surprendre. La force évocatrice est ici telle que l'on pardonnera aussi les faiblesses du gameplay. J'ai hâte de me perdre dans les méandres de sa suite.

" Shinji Mikami entend rendre au survival-horror ses lettres de noblesses avec The Evil Within. "

10h25 de jeu et 39 morts plus tard, ben finalement c'est terrible. Etant fan du survival horror, DU VRAI, des 3 premiers Resident Evil, de Dead Space 1 et 2, qui représentent le Graal du survival horror... ce jeu je l'ai trouvé assez décevant et plutôt médiocre.

-Premièrement il faut dire qu'il est quand même assez beau graphiquement, les décors sont assez "jolis" pour la plupart.
-Le gameplay tient la route, ça bouge bien, ça shoot, RAS tout va bien, mise à part cette ###### de caméra... on y reviendra.

Pour le reste... le scénario, le thème du rêve, du cauchemar, pourquoi pas, mais j'ai l'impression que Shinji Mikami a mis toutes les références des films d'horreur qu'il a pu mettre dans un seul et même jeu. Un Genre de pot-pourri :
Du gore, de l'obscurité, des zombies, des bouchers, des tronçonneuses, des donjons, des cimetières, des caves, des asiles, des fous, des instruments de torture, des fantômes, des araignées et j'en passe... malheureusement ça ne suffit pas à me faire peur ! il manque encore pas mal de choses !
Le thème du rêve/cauchemar est utilisé à tord et à travers pour justifier tout et n'importe quoi, et surtout les changements de monde/décors.

Shinji continue sur son espèce de lancée après le concept, la forme :
"On va bourriner sur l'obscurité, quite à rien voir du tout !! Et des endroits vachement étroits, genre des couloirs !
Oh et j'ai une super idée, on va rajouté deux grosses barres noires, comme ça ça fera un effet oppressant sur le joueur, il aura encore plus peur !! au pire on dira que c'est pour faire un effet dramatique en mode film permanant ahah je suis trop fort !"
Sauf que là encore, même si ça parait pas mal comme idée, ça ne fait toujours pas peur.. il manque quelque chose ! les bandes noires sont pas vraiment utiles, on l'a vu avec d'autres jeux, et les endroits trop étroits, ça bloque la caméra, on y voit rien à part la tête du perso en gros plan, ça pourrit complètement la jouabilité.

EXPLICATION ? Mon cher Shinji, ton jeu tu l'as fais à l'envers, tu nous plonges directement après une pauvre petite cinématique d'une minute dans un monde ultra gore, on ne connait même pas le personnage, comment veux-tu qu'on s'identifie à lui, (surtout qu'il est pas spécialement attendrissant ce mec), comment veux-tu qu'on immerge dans le jeu ? on ne connait rien ni du personnage, ni de la situation.
Le changement de monde aussi est trop rapide et trop violent, si le thème c'est le cauchemar, on aurait du passer du monde normal en tirant de plus en plus et petit à petit vers le gore et l'horreur pour finir par une fin avec des niveaux horriblement effrayants et violant.
En plus de ça l'histoire n'avance pas, ou alors très lentement, on commence à avoir un début de réponse après la moitié du jeu d'un personnage qui aurait pu nous dire ça dès le 1ier chapitre.
L'ambiance sonore est quasi absente, il faut attendre les derniers chapitres pour avoir quelque chose d’intéressant aussi.
Et ton level design ?? bon sang mais qu'est ce que c'est que ça !! Tous les niveaux c'est la même chose, on a un départ, un niveau à traverser, et une arrivée avec une sauvegarde. on se croirait sur un crash bandicoot !
Et tu recycles les boss ??!!! Ah ben bravo !

CONCLUSION : j'ai la grosse impression que Shinji Mikami a régressé, qu'il s'est perdu dans ses petites envies particulières et qu'il a oublié certaines bases, SUR LA FORME CA VA,le jeu est joli, discutable parfois sur l'aspect artistique ( bandes noires et obscurité contrasté ), MAIS SUR LE FOND, ON EST TRÈS LOIN DES CHEFS-D’ŒUVRES RESIDENT EVIL 1/2/3. Plutôt médiocre.