Oui, ce jeu à des défauts, caméra parfois capricieuse, et des animations qui ont vieillies.
Le jeu à de l'âge, il peu sembler rigide pour les néophytes, mais il à le mérite de proposer les mêmes sensations qu'il y a 13 ans.
Mais ces "défauts" ne pèsent pas bien lourd face aux qualités du titre.

Sa direction artistique fantastique, son ambiance mélancolique, ses musiques qui vous prendrons au tripes, ses combats contre les colosses tous différents... Agro.

A ceux qui reprochent à SOTC le vide de ses environnements, c'est justement le but, un parti pris. Ici, pas de quêtes secondaires à la pelle, ou d'objets inutiles à collectionner, le jeu propose une exploration par la curiosité, des lieux uniques et enchanteurs.
Des Terres interdites, où chaque prairies, rochers, grottes, temples, falaises, plages, vous raconterons quelque chose.
La solitude mélancolique s'efface devant la majestuosité épique de ces démons maudits, bannis, qui semblent faits de terre, de roches et de bois.

Mon avis peut passer pour celui d'un fan pompeux, mais je vous défie d'y jouer et d'en ressortir indifférent.
Un jeu que tout joueur (occasionnel ou passionné) se doit de faire une fois dans sa vie, et je vous souhaite de le vivre comme je l'ai vécu il y à 13 ans.

L'aventure, la vraie, la définition du mot épique si il y en a.
Chevauchez vers l'inconnu.

J'ai pas fais le jeu original donc je n'ai pas la nostalgie que certains joueurs ont pu avoir en y jouant mais honnêtement, le jeu m'a charmé, c'est une aventure qui vous prendra aux tripes jusqu'au bout, vous allez même avoir des remords pour avoir tué certains colosses. Les graphismes sont magnifiques et la bande originale vous ensorcèlera.
Une épopée que je ne conseille qu'à ceux qui sont près à aller jusqu'au bout.

Le jeu original est un chef-d’œuvre, qui a bouleversé encore plus que ses semblables la vision du jeu vidéo rythmé par la force de la poésie. Son remake est à la hauteur du mythe, et n'en aurait mérité pas moins 20/20. Alors pourquoi 19 ? Uniquement car le jeu avait buggé en manquant de comptabiliser une des 79 pièces d'or que j'avais collectées ! D'aucuns me diraient que j'en ai simplement oublié une, mais non, j'ai fait le tour de la carte deux fois pour être sûr...
Dommage pour cette désagréable expérience sur une idée pourtant bonne : disperser des collectibles de part et d'autre du jeu pour explorer plus qu'auparavant les falaises, les forêts, les déserts, les temples et les plaines de cet univers incroyable, qui nous isole autant qu'il nous fascine. Le mode photo m'a permis d'obtenir de beaux clichés illustrant à merveille toute l'ambiance et la richesse de monde sorti droit de l'imagination de Fumito Ueda. Il faut certes choisir entre le 2160p et le 60 fps, mais j'alterne non sans déplaisir entre la 4K sublimant les paysages et la fluidité constante lors des affrontements contre les colosses.
Refaire ce jeu sera toujours un plaisir et d'autant plus par le biais d'un remake aussi exemplaire.

/!\SPOIL POSSIBLE/!\

Bonjour tout le monde 👋🏻

Aujourd’hui je viens parler de Shadow Of The Colossus, je tiens à dire que je joue sur le remake PS4 de 2018.

J’adore ce jeu, il est beau, les musiques sont énergiques et l’imersion est constante, ce jeu nous mets dans la peau de Wander, un homme venu sur les « terres interdites » où se trouve Dormin, une entité soit-disant capable de ressusciter les morts. Pourquoi? Pour redonner vie à Mono, sa bien-aimée. Pour la ressusciter, il faut détruire 16 idoles de pierres, « facile » me direz-vous, mais pour les détruire, il faut tuer des colosses un peu partout sur les terres.

Tout le jeu repose sur ça, chaque colosse est un boss à combattre. Chaque boss a sa spécialité, un grimpe sur les murs, tandis qu’un autre lance des boules de feu. Plus tôt j’ai dit que j’aimais les musiques, surtout celle quand l’on peut atteindre le point faible d’un colosse, « The Openned Way ». Et le jeu est tellement beau que j’apprécie même le game over.

Le défaut:
16. Pourquoi seulement 16? Savun (YouTube) en avait parlé dans son test en carton (c’est comme ça qu’il les appelle), au début les développeurs en avait prévu 48, après ils en ont développé 24, puis ils sont descendu 16, moi j’aurais bien aimé faire les 8 autres

Merci à tous, aller voir mon lets play sur ma chaine YouTube: Just Xav , si vous voulez.

👋🏻👋🏻👋🏻👋🏻👋🏻

Franchement brillant ! Je comprends pourquoi ce jeu est entré dans la légende. Il dégage une ambiance unique et est très mélancolique dans son approche. Le jeu est magnifique aussi bien pour les yeux que les oreilles.
En premier temps je le trouvais répétitif dans son approche (Votre prochain adversaire est ....-_-) , j'ai également ragé une fois ou deux pour trouver le chemin direction les colosses mais franchement le dénouement mérite de s'investir, le fin est juste magnifique !
Le seul truc négatif pour moi c'est l'histoire de lézards et de fruits pour améliorer sa vie et son endu... Le monde est tellement vaste et vide que limite je trouve ca useless... Mais bon c'est du détail.
Je recommande cette découverte mile fois !

Shadow of the colossus est à mes yeux une oeuvre majeur du jeu vidéo et de mon parcours vidéoludique, aussi l'annonce d'une refonte complète de l'aventure avec des graphismes actuels m'emplissait d'une joie sans précédent à son annonce durant l'E3 2017, bien que j'avait déja parcouru le soft quatre fois sur ses deux précédents supports (l'original sur ps2 et le remaster ps3).

Inutile de vous préciser qu'une fois la manette en main, la magie a re-opérer comme à l'époque.
En effet, Sotc est un jeu qu'on ne présente plus désormais, tout a été dit sur sa force émotionelle, son gameplay incroyablement novateur, sa poésie, et la dureté de son propos.

Cette tragédie qui met le joueur dans la peau d'un bourreau, s'avère tout aussi prenante et unique dans sa manière de faire ressentir des émotions contradictoires, cette jouissance, cette adrénaline du combat qui s'évapore peu à peu pour laisse place à un sentiment de gêne, de honte à ce moment précis où le joueur abat le colosse rendant alors son dernier souffle, cette créature majestueuse et organique à la fois animal végétal et minéral, symbole même de la nature s'évaporant alors en un nuage de fumée noirâtre, représentation de la fatalité et de la foideur de la mort, de la vie qui s'évapore en ces terres désolées.

La honte de l'humain qui par pur égoisme s'en prend à la nature, à son propre environnement dans le but de commettre un acte contre-nature (réssuciter les morts), désir qui le menera à sa perte telle une punition, condamnant le souhait d'un pauvre fou qui a voulu s'élever au dessus de sa condition d'être humain.

Rejouer à SOTC en 2018 avec ce remake c'est redécouvrir sous un nouveau jour une oeuvre unique dans l'histoire du jeux vidéo, c'est redécouvrir cet univers à nul autre pareille avec une refonte graphique qui force le respect tant certains environnements s'avèrent méconnaissables, tant l'on prends conscience d'une multitude de détails qui nous avaient échappés jusqu'alors, où dont on avaient une image faussés dans nos lointains souvenirs.

Par ex., les environements forestiers dont on avait gardés l'image de silhouettes sombres et peu détaillés d'arbres, s'avèrent ici êtres de vraies environnements naturels crédibles, immersifs et disposant d'une flore et d'une faune travaillés aux petits oignons.
Ce désert dont on avait gardés en tête l'image d' une surface plâte grisatre, vaguement beige, est sublimé ici par un orange vif parsemés ça et là par des rochers clairement définis et très détaillés.
Et surtout ces colosses qui deviennent ici des êtres véritablement vivants à l'animation bluffante de crédibilité et de réalisme et à la modélisation extraordinaire, dont on ressent encore plus le désarroi dans leurs prunelles dans lesquelles on y perçoit des sentiments aussi paradoxales que la tristesse, du vide, mais aussi une innocence doublé d'une volonté de vivre, une certaine forme d'humanité.

Dans shadow of the colossus la proie n'est pas forcément celle que l'on croie , et les jeux parvenant à faire ressentir de telles émotions et à véhiculer des messages aussi forts sont rares dans cet industrie.

Et c'est pourquoi ce remake du chef-d'oeuvre de fumito ueda s'avère être à la fois une aubaine pour les néophytes souhaitant découvrir un classique sous sa plus belle forme et recevoir ainsi une leçon de jeu vidéo émotionelle et contemplatif, mais aussi un moyen pour les fans de redécouvrir cette fable macabre, ce déchirement émotionelle.

Revivre les crimes que nous n'avons toujours pas expiés.

En 2017, Sony avait annoncé en grande fanfare l'existence d'un remake pour le jeu qui a marqué tout une génération de joueurs "Shadow Of the colossus". Une remise au goût du jour qui conserve les qualités du jeu original que j'ai énoncé dans mon test sur l'opus d'origine et qui retouche davantage aux graphismes plutôt que d'ajouter un réel contenu ou de réinterprèter l'histoire.

De ce fait, le jeu est devenu absolument somptueux en regorgeant de panoramas flatteurs aux yeux du joueur qui sera tenté d'utiliser le plus que possible le mode photo pour immortaliser la beauté des décors voir les affrontements épiques contre les colosses, chose qui n'était pas possible à l'époque.

On pourrait critiquer le remake sur le fait qu'il n'inclut pas les colosses qui ont été retirés sur la version d'origine (il devait y'en avoir 24 à la base) mais les développeurs semblent avoir voulu conserver l'oeuvre originale de sorte à permettre aux jeunes joueurs de découvrir le jeu avec de meilleurs graphismes et surtout une meilleure maniabilité.

Enfin ! Après de nombreuses années d'attente, je me suis décidé à me lancer dans l'aventure Shadow of the Colossus.
Une très belle expérience, se rapprochant de ce qu'on peut vivre dans Journey, avec un gameplay plus classique à l'ancienne, qui fait plus jeu vidéo.
Direction artistique poétique, mélancolique, sombre... mémorable en tout cas et véritable claque quant au défi technique pour l'époque (la lisibilité ne devait pas être aisée !), on comprend que ce jeu est une pierre angulaire du jeu vidéo qui a porté de manière brillante ce média dans une nouvelle dimension, celle de l'art ! Un véritable chef d'oeuvre !

J'avais omis de poster un avis à l'époque auquelle j'ai fait le jeu. La promo récente du PSN et la moyenne des notes joueurs qui ne rendent pas hommage au titre selon moi, m'ont incité à poser un modeste avis.

Pour apprécier ce titre, la condition première est qu'il faut être pris par l'ambiance particulière qui en émane, sans quoi on ne peux l'apprécier et il en ressort ses défauts.

Perso j'ai adoré ce remake, blue point sont très forts et nous livrent quelque chose de remarquable, magnifié, transcendé, tout en conservant l'âme du titre d'origine.

J'ai été véritablement transporté par les musiques et la DA de haute volée, et les colosses sont tous aussi impressionnants les uns que les autres. Oui je le confesse, pour moi c'est un chef d'œuvre. Un jeu unique, une aventure d'une poésie sans pareil pour quiquonque y sera sensible...

Comme Death Stranding, ou même d'un TLOU 2, il s'agit d'œuvres singulières qui ne peuvent pas plaire à tout le monde, mais c'est justement ce partit-pris, ce côté non-consensuel, qui leurs permet d'atteindre le coeur d'une partie de leur public comme peu de jeux peuvent s'en targuer...

La définition même du chef d'œuvre. La vision d'un auteur, qui est aller au bout de son œuvre, sans compromis.

Je rejoins le test pro pour tout. 18/20 mais pas plus car la caméra est vraiment casse-cou***** en combat. Un chef-d'œuvre dans tous les sens. On ne s'en lasse pas. L'un des plus beau jeu sur PS4 et pour profiter pleinement de l'expérience, le plus grand écran possible pour y jouer est totalement conseillé !!

Un jeu court, un Game Play assez simple. Mais l'émotion bon sang, entrevoir un Colosse envoie une de ces bouffées d'adrénaline...........Une expérience hors du commun !

Dans cet avis, Il sera question de l'histoire du contenu du jeu, mais aussi de l'apport du changement de console.
Tout d'abord, Il faut situer SOTC dans l'univers du JV, car s'il est un jeu qui a révolutionné a tout jamais l'industrie vidéo-ludique c'est bien celui là. Encore aujourd'hui son influence et perceptible dans nombre de jeux a succès (ZBOTW, DE XV).
Et a raison, l'oeuvre d'Ueda (également père d'Ico de The Last Guardian) est un bijou a mettre en toutes les mains. Ce chef d'oeuvre est emprunt d'une poésie et d'un lyrisme envoûtants et nous transporte a travers un monde sauvage donc la vacuité transcende la beauté, et dont le calme et la quiétude contrastent a merveille avec une histoire tragique.
Ce joyau emprunt de mélancolie nous offre une histoire épurée mais terriblement efficace, le joueur étant d'office pris l'empathie pour le héros.
Ce jeu possède également un côté épique magistral malgré le nombre réduit de combats (16). En effet, chaque affrontement relève d'une lutte titanesque ou la taille et la violence des colosses fait ressentir la petitesse et ma faiblesse du héros face à ces forces brutes indomptables et gigantesques. De surcroit, les combats sont presque les seules phases du jeu accompagnées d'une bande son ce qui accentue leur aspect grandiose.

Enfin pour ce qui est de l'adaptation du jeu a la PS4, elle est tout simplement sublime, même sans être sur PS4 Pro, sans être en 60 fois, la qualité graphique est tout bonnement époustouflante, nous offrant une immersion décuplée.
Seul bémol de cette adaptation, la caméra qui fait parfois des siennes lors des combats et des phases en zones restreintes.

Si vous n'avez jamais joué à SOTW ou que vous y aura joué sur PS2, decouvrez cette expérience de jeu qui vous marquera a coup sur dans votre vie de gamer

Très bien. Belle embiance poétique . Musique, mise en scène et la direction artistique à tombé par terre. Cache toujours une surprise en plus. J'aimerais trop avoir une suite un jour. Mérite tout a fait le titre de chef d'oeuvre.

S'il y a bien un jeu qui mérite un 20/20, c'est lui.

Je ne pensais même pas retrouver les sensations de mes premières heures de jeu sur PS2 avec ce remake tant je l'ai fini, re-fini et re-re-fini, que ce soit sur PS2 ou PS3. Mais cette refonte graphique est tellement impressionnante que je redécouvre ce chef d’œuvre pour mon plus grand plaisir ! Elle gomme même le principal défaut du jeu (qui n'en a jamais été un pour moi car il contribue énormément aux sensations que procure SOTC), à savoir le vide. Les paysages sont à couper le souffle et c'est un réel plaisir de parcourir ces plaines, s'arrêter pour contempler et écouter le vent.

Les combats exploitent le mot épique à son plus haut sens, encore une fois grâce à la refonte graphique, mais aussi et surtout grâce à l'OST exceptionnelle de Kow Otani.

Shadow of the Colossus reste l'expérience vidéoludique la plus forte de ces dernières années, de par les sensations qu'il procure et les émotions qu'il nous fait ressentir. Il fait parti des rares jeux vidéo à prétendre au titre de chef d’œuvre.

Ce jeu est une pure bombe atomique dans tout les sens du terme, d'ailleurs ce remake redonne une seconde vie à un chef d'oeuvre!

Je ne comprend vraiment pas les autres joueurs et la reaction du site, je les trouve bien trop exigent par moment!