C'est un jeu où j'ai passé des heures et des heures. Les boss utilisent à chaque fois des techniques différents. Il y a beaucoup d'animaux. Et, en plus le monde perdu rajoute de la durée de vie. C'est dommage qu'on ne peut plus incarner Donkey Kong, mais ce n'est pas trop grave car Diddy et Dixie sont quand même de bons personnages.
Rétrospective Donkey Kong sur Game Boy – 5/6 : Donkey Kong Country 2.
Fini à 86% (j’ai bouclé tous les niveaux et niveaux bonus, monde perdu inclus, mais j’avoue ne pas avoir la foi de bûcher les missions annexes moisies, genre les photos ou les défis de pilotage de Funky).
Suite et bientôt fin de ma rétrospective Donkey Kong sur Game Boy avec ce cinquième opus : Donkey Kong Country 2.
Une étape notable à plus d’un titre, puisqu’elle correspond non seulement un changement de console (de la Game Boy Color à la Advance SP, aka la console de ma jeunesse) mais aussi au seul des six jeux de ma rétrospective que je n’avais encore jamais fait jusqu’ici.
Et alors je ne sais pas si c’est parce que, contrairement aux trois Donkey Kong Land que j’ai faits et refaits plus jeune, je découvrais celui-ci ; ou bien parce que les Country sont globalement plus difficiles que les Land, mais pfiou… c’était pas de la tarte.
Alors je nuancerais quand même en soulignant que ce Country 2 est tout de même moins difficile que le premier du nom (pour le coup le plus ardu des six jeux), mais il compense en étant d’une part plus long et d’autre part plus exigeant – puisqu’à l’instar de Land 2, il faut désormais, une fois le jeu fini, achever (si ce n’était déjà fait) tous les niveaux bonus afin de débloquer un monde perdu. Ce qui implique de refaire un tour de la carte à la quête de tous ces niveaux bonus. Et de fouiller de fond en comble chaque niveau, à la recherche parfois d’un passage caché derrière un mur (d’apparence normale, évidemment) ou bien au milieu d’un gouffre.
Mais c’est aussi ce qui fait le charme de la franchise, me direz-vous.
Ça et ses nombreux passages si tordus qu’il faut reprendre le niveau dix, vingt, trente fois… jusqu’à maîtriser par cœur l’intégralité dudit niveau jusqu’au passage en question. Cela en voyant, inquiet, défiler les heures… puis tomber la nuit… puis débouler le lendemain…
Mais tant qu’à en baver dans la vie, autant que ce soit devant un jeu Donkey Kong, non ?
D’autant plus que ce celui-ci présente deux trois nouveautés sympatoches :
Avec en tête l’apparition à l’écran du binôme (plutôt que du seul personnage joué à l’instant t). Une mesure qui permet par là même de nouvelles actions, parmi lesquelles la possibilité de se servir de son acolyte comme d’un projectile afin de dégommer certains ennemis jusque-là imbattables à mains nues (essentiellement les go-muscu).
Et là, je dois bien avouer que ce tocard de Diddy ne m’a jamais été aussi utile que maintenant que je peux le balancer sur les méchants comme un vulgaire tonneau. Sah quel plaisir.
Et en parlant de méchants :
La grosse nouveauté de cet opus, à savoir ces saloperies de chats à neuf queues, récoltent – outre une attaque vraiment déconcertante et une capacité hors du commun à casser mes couilles velues de ouistiti – la palme du cri le plus insupportable (basiquement : un cri de chat).
Plus moyen sinon de dégommer les méchants défilant sur les cordages/chaînes… j’avais pris le coup de main sur Game Boy Color mais je n’y arrive plus ici. Est-ce que c’est moi ou est-ce qu’il n’est plus possible de les buter ? Je ne sais pas mais ça m’a un peu frustré.
Un petit mot enfin sur le niveau sur lequel j’aurai passé littéralement trois heures : le premier affrontement contre K. Rool. Bordel… les boulets sautillants et les boulets dansants m’auront bien saigné… du coup, je retire ce que j’ai dit dans ma critique de Donkey Kong Country 1 : c’est le K. Rool de ce Country 2 qui est le boss le plus galère à buter. A noter toutefois que je ne parle ici que du premier affrontement, et non de la revanche dans le monde perdu, beauuucoup plus simple.
Ce cinquième opus était en tout cas un très bon moment, généreux en sensations fortes !
Parmi lesquelles un stress permanent et quelques sursauts, provoqués par ma Game Boy Advance SP… dont la santé fragile l’a poussée à s’éteindre d’elle-même de temps à autre. Histoire de pimenter un peu l’aventure.
Mais il faut plus pour me décourager !
Je vis dangereusement, oui.
C’est ça, la jungle.
C'est un jeu où j'ai passé des heures et des heures. Les boss utilisent à chaque fois des techniques différents. Il y a beaucoup d'animaux. Et, en plus le monde perdu rajoute de la durée de vie. C'est dommage qu'on ne peut plus incarner Donkey Kong, mais ce n'est pas trop grave car Diddy et Dixie sont quand même de bons personnages.
Rétrospective Donkey Kong sur Game Boy – 5/6 : Donkey Kong Country 2.
Fini à 86% (j’ai bouclé tous les niveaux et niveaux bonus, monde perdu inclus, mais j’avoue ne pas avoir la foi de bûcher les missions annexes moisies, genre les photos ou les défis de pilotage de Funky).
Suite et bientôt fin de ma rétrospective Donkey Kong sur Game Boy avec ce cinquième opus : Donkey Kong Country 2.
Une étape notable à plus d’un titre, puisqu’elle correspond non seulement un changement de console (de la Game Boy Color à la Advance SP, aka la console de ma jeunesse) mais aussi au seul des six jeux de ma rétrospective que je n’avais encore jamais fait jusqu’ici.
Et alors je ne sais pas si c’est parce que, contrairement aux trois Donkey Kong Land que j’ai faits et refaits plus jeune, je découvrais celui-ci ; ou bien parce que les Country sont globalement plus difficiles que les Land, mais pfiou… c’était pas de la tarte.
Alors je nuancerais quand même en soulignant que ce Country 2 est tout de même moins difficile que le premier du nom (pour le coup le plus ardu des six jeux), mais il compense en étant d’une part plus long et d’autre part plus exigeant – puisqu’à l’instar de Land 2, il faut désormais, une fois le jeu fini, achever (si ce n’était déjà fait) tous les niveaux bonus afin de débloquer un monde perdu. Ce qui implique de refaire un tour de la carte à la quête de tous ces niveaux bonus. Et de fouiller de fond en comble chaque niveau, à la recherche parfois d’un passage caché derrière un mur (d’apparence normale, évidemment) ou bien au milieu d’un gouffre.
Mais c’est aussi ce qui fait le charme de la franchise, me direz-vous.
Ça et ses nombreux passages si tordus qu’il faut reprendre le niveau dix, vingt, trente fois… jusqu’à maîtriser par cœur l’intégralité dudit niveau jusqu’au passage en question. Cela en voyant, inquiet, défiler les heures… puis tomber la nuit… puis débouler le lendemain…
Mais tant qu’à en baver dans la vie, autant que ce soit devant un jeu Donkey Kong, non ?
D’autant plus que ce celui-ci présente deux trois nouveautés sympatoches :
Avec en tête l’apparition à l’écran du binôme (plutôt que du seul personnage joué à l’instant t). Une mesure qui permet par là même de nouvelles actions, parmi lesquelles la possibilité de se servir de son acolyte comme d’un projectile afin de dégommer certains ennemis jusque-là imbattables à mains nues (essentiellement les go-muscu).
Et là, je dois bien avouer que ce tocard de Diddy ne m’a jamais été aussi utile que maintenant que je peux le balancer sur les méchants comme un vulgaire tonneau. Sah quel plaisir.
Et en parlant de méchants :
La grosse nouveauté de cet opus, à savoir ces saloperies de chats à neuf queues, récoltent – outre une attaque vraiment déconcertante et une capacité hors du commun à casser mes couilles velues de ouistiti – la palme du cri le plus insupportable (basiquement : un cri de chat).
Plus moyen sinon de dégommer les méchants défilant sur les cordages/chaînes… j’avais pris le coup de main sur Game Boy Color mais je n’y arrive plus ici. Est-ce que c’est moi ou est-ce qu’il n’est plus possible de les buter ? Je ne sais pas mais ça m’a un peu frustré.
Un petit mot enfin sur le niveau sur lequel j’aurai passé littéralement trois heures : le premier affrontement contre K. Rool. Bordel… les boulets sautillants et les boulets dansants m’auront bien saigné… du coup, je retire ce que j’ai dit dans ma critique de Donkey Kong Country 1 : c’est le K. Rool de ce Country 2 qui est le boss le plus galère à buter. A noter toutefois que je ne parle ici que du premier affrontement, et non de la revanche dans le monde perdu, beauuucoup plus simple.
Ce cinquième opus était en tout cas un très bon moment, généreux en sensations fortes !
Parmi lesquelles un stress permanent et quelques sursauts, provoqués par ma Game Boy Advance SP… dont la santé fragile l’a poussée à s’éteindre d’elle-même de temps à autre. Histoire de pimenter un peu l’aventure.
Mais il faut plus pour me décourager !
Je vis dangereusement, oui.
C’est ça, la jungle.
Encore une fois, cette adaptation gba permet aux fans de la série de découvrir ce jeu qui était sur snes a l'époque et qui permet d'y jouer même sans avoir la super nintendo. Les donkey kong country sont tout simplement géniaux et c'est encore une bonne idée de faire des adaptations de ce genre .
pas du tout decu de ce DKC2.
une seconde aventure superbe, des graphismes tres beaux et une musique exceptionnel aussi comme son predecesseur. ce jeu durera tres longtemps vu certains niveaux avec une bonne difficulté mais largement faisable. Diddy ou Dixie?! conseiller fortement aussi.
ne l'ayant pas fait sur SNES je l'adore il a tout pour lui :
graphismes époustouflants et variées
bande son excellente
jouabilitée parfaite
très bonne durée de vie beaucoup de minis jeux et de bonus pas forcement facile a trouver et de long niveaux
excellent parfait un des meilleurs jeux de plateforme de tous les temps !
Mon premier jeu vidéo, le premier que j'ai fini (je ne sais combien de fois). Ce jeu est tout simplement génial, simple, mais tellement amusant. Je ne me lasse toujours pas des musiques (très variées ! Une différente quand vous mourrez dans un type de niveau : Mine/Bateau/Foret/Lave et j'en passe). Je le trouve beaucoup plus complet que le premier, plus d'item, de collaboration etc. Niveau Gameplay, comme je l'ai dis plus haut, c'est simple, mais diablement efficace. Je le conseille vivement.
J'ai joué aux anciens DK et sur un plan, je trouve que c'est un tout petit peu du réchauffé ! Mais bon, sinon, tout est parfait et plein d'humour, un peu dur parfois, mais il faut bien ça pour donner un peu de piquant au jeu !
Un jeu que je vous conseille, rempli de mini-jeux géniaux... patati patata... à plus !
Donkey Kong revient une seconde fois sur notre Game Boy Advance, et c'est très réussi ! Les graphismes (4/5) sont presque identiques à ceux du premier volet mais sont trés réussis. La bande son (4/5) est correcte. Les musiques ne sont pas trés dynamiques. En revanche, elles sont variées.
La durée de vie (5/5) est tout simplement excellente. Un compteur vous permet de voir combien de pourcentage du jeu vous avez réalisé. La maniabilité (5/5) est elle aussi trés réussie ! Encore un jeu Donkey Kong trés réussi, à acheter absolument si vous n'avez pas déjà le jeu sur la SNES. Sa note finale est de 18/20.
Petite déception que ce DKC2 réédité, autant l'original vaut largement un 19/20, autant celui-ci n'est pas à la hauteur. J'espérais franchement avoir affaire à un portage du jeu d'origine à l'identique, comme Mario World, Zelda 3 ou Yoshi's Island avaient pu être ressortis sur GBA par le passé. Le plus gros point négatif reste la bande son totalement changée, les thèmes sont tous nouveaux (et nuls!). Pourquoi diable ne pas avoir conservé ceux d'origine?? Les droits des musiques de David Wise avaient filé chez Microsoft via Rare, ou quoi?
Bref, un jeu terrible pour ceux qui le découvriront, car l'aventure reste extrêmement fidèle à quelques différences près (et est donc longue, passionnante et difficile), mais une déception assez importante pour les fans du titre original sorti en 1995 sur SNES. Méfiance donc!
N'étant pas vraiment fan de la série des Donkey Kongs , j'ai pourtant bien apprécié le jeu. Quelques passages compliqués qui s'enchainent avec des passages corrects. Même si je n'ai pas vraiment compris le scénario du jeu ( Commencé à 6 ans , je jouais pour jouer , pas pour le scénario ) , le jeu reste correct . Les graphismes sont très bon pour un gameboy et la musique attachante . Je le conseil.
Tout comme son prédécesseur il est excellent
Les graphismes sont toujours aussi bons. Rare sait vraiment utiliser la 2D a merveille. Les décors sont toujours aussi somptueux et variés.
La bande son es bonne mais moin bien que celle du 1.
La durée de vie est toujours aussi bon sans être excellente. Il est dure d'atteindre les 102% .
Le gameplay est classique même si il on rajouter le possibilité de voler avec dixie.
C'est un jeu excellent même si le seul petit défaut a mes yeux c'est que l'ambiance est moin bonne que dans le premier car donkey kong se fait kidnapper donc ne fait pas partit de l'aventure .
Quand j'étais plus jeune, j'allais souvent chez ma voisine jouer à Donkey Kong Country 3 : Dixie Kong's Double Trouble sur la SNES et celui du GBA est décevant. Pour un cadeau je ne regrette pas de l'avoir reçu mais il m'a déçu. Je m'attendais à beaucoup mieux.
Trop bien ce jeu, malgré les années il n'a pas prit une ride depuis le temps de la SNES.
Graphisme : 18 (niveaux clairs et variés, c'est du tout bon sur ce point).
Jouabilité : 17 (Bonne idéé des dévelopeurs d'alterner les 2 persos Diddie et Dixie mais malheureusement pas Donkey).
Bande-son : 16 (Musiques variées selon les niveaux, mais un peu lassantes à la longue, en revanche les bruitages des 2 singes sont très réussis).
Durée de vie : 18 (Sans aucun doute le point fort du titre, malgré les apparences le jeu est hyper dur et ne se finit pas facilement, vous en aurez pour votre argent).
Scénario : 13 (Donkey Kong se fait capturer par la bande du capt K Rool et vous devez aller le délivrer. Voilà tout le scénar de ce nouveau DK2. C'est un peu léger quand même).
un bon jeu pour la GBA, mais avec quelque points faibles. D'abord la difficulté du boss final est abusé et les items rares à collectionner sont quasi introuvable. A part ça le jeu est excellent. Pour ceux qui aiment les jeu de ce genre vont aimer.
Graphismes et jouabilité de bon niveau mais DK country 2 ne mérite pas sa 1ère place dans le hit-parade c'est pour cela que je suis obligé de le descendre. De plus son scénario n'est pas terrible, il n'y a pas d'originalité !!! C'est ordinaire et très lassant !!! BOF !!! On verra bien le prochain !