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Preview End of Nations
Profil de Rupan,  Jeuxvideo.com
Rupan - Journaliste jeuxvideo.com

Les inscriptions à la bêta ouverte d'End of Nations ont beau avoir été lancées en décembre dernier, on ne peut pas dire que l'on entende parler du jeu tous les quatre matins. Une discrétion qui ne signifie pas grand-chose, si ce n'est que les développeurs travaillent d'arrache-pied pour sortir leur MMO cette année. Il faut dire que le studio américain Petroglyph a pris un peu de retard par rapport au programme originel. Mais cette fois, l'arrivée de ce RTS semble se préciser. Une première bêta fermée sera d'ailleurs accessible pour quelques joueurs au printemps. En attendant, nous avons pu livrer quelques batailles sur trois cartes différentes. Le meilleur moyen pour se faire une dernière idée sur le potentiel du titre avant le début des hostilités.

End of Nations
End of Nations

Avant d'évoquer dans le détail les parties que nous avons effectuées, il convient d'abord de faire un point plus général sur End of Nations. Il s'agit donc d'un MMORTS développé par le studio Petroglyph pour le compte de Trion (Rift). Ce dernier propose de prendre part à un conflit opposant l'Ordre des Nations, la faction non jouable qui tyrannise les peuples, aux deux factions résistantes (et jouables), Le Front de Libération et le Cartel de l'Ombre. Si une campagne solo est bien au programme de ce jeu de stratégie, tout l'intérêt de celui-ci réside dans son côté massivement multijoueur en ligne. Et quand on parle de massif, chez Petroglyph, on ne rigole pas. Les joueurs peuvent se livrer à des batailles en un contre un, deux contre deux, quatre contre quatre mais aussi en douze contre douze et même vingt-six contre vingt-six... Le tout, dans l'optique de contrôler divers territoires afin d'asseoir la domination de leur camp à l'échelle mondiale. Ça, c'est pour la partie PvP.

End of Nations
Seul contre tous, mais bien armé.
Car il y a aussi du PvE. Via une carte du monde, vous pouvez en effet opter pour des missions situées dans divers pays. Chacune d'entre elles propose une map, des modes (PvP, PvE), des objectifs différents et tolère un nombre de participants donné. Le jeu peut par exemple demander à deux joueurs de survivre contre une armée de l'Ordre des Nations. Dans ce cas-là, ces derniers doivent s'entraider pour lutter contre l'IA. En PvP aussi, les parties sont régies par divers buts : garder la maîtrise de trois points de contrôle, détruire tel bâtiment ennemi et ainsi de suite. Pour ce qui est de la progression de chaque joueur, un système classique vous permet de débloquer de nouvelles unités. Par ailleurs, tous les joueurs disposent de trois compagnies - des sortes de mini-groupes armés - qu'ils peuvent entièrement personnaliser. Ce qu'il faut savoir, c'est que chaque unité vaut un nombre de points précis. Plus sa puissance est grande, plus on lui rajoute de mods (trois au maximum par unité) et plus sa valeur est grande. Le casse-tête pour le joueur, c'est qu'un total de mille points seulement est alloué à chaque compagnie. Du coup, il faut faire des choix. Opter pour une armée réduite mais surpuissante ou pour une plus vaste mais plus faible si l'on prend chacune de ses composantes individuellement. Une décision importante car on peut généralement changer de compagnie directement en plein affrontement afin de varier son approche du combat. Visuellement, chaque unité peut être modifiée pour adopter une couleur et des motifs plus personnels. Bref, on risque de passer du temps dans les menus, d'autant qu'un arbre de compétences semble-t-il assez vaste vous permet de développer diverses capacités à utiliser sur le champ de bataille.

End of Nations
Ca serait bien joli sans les immeubles en miettes dans le fond.
Justement, venons-en aux affrontements PvP auxquels nous avons pu participer. L'élément de gameplay à bien intégrer, c'est que le joueur dispose d'un nombre d'unités fixes lié à la composition de sa compagnie. Impossible d'en former d'autres en cours de route. On peut juste remplacer celles mortes sous le feu ennemi en dépensant des ressources. Aucun bâtiment ne peut être construit non plus. La première map sur laquelle Petroglyph avait décidé de nous laisser libres nous a permis de tester le un contre un dans un mode relativement original. Sur une carte coupée en deux en son centre de manière horizontale par une sorte d'énorme faille, les deux camps se font face sans pouvoir pénétrer l'un chez l'autre. Chacun d'entre eux est en revanche assailli en permanence par des vagues d'ennemis dirigées par l'IA. Une jauge indique en quelque sorte le taux de dégâts subis par sa base. Lorsqu'elle est vide, vous avez perdu. Chaque joueur dispose par ailleurs de ressources qu'il peut dépenser pour ajouter des tanks, de l'infanterie ou des hélicoptères à l'armée qui harcèle l'adversaire. Le but ultime étant évidemment de faire céder ce dernier. Là où l'histoire se corse, c'est qu'il existe sur la map des points de contrôle importants pour lesquels il faut impérativement se battre. Que ce soit contre l'IA ou contre un opposant humain (en shootant dans ce cas-là à distance puisqu'on ne peut pénétrer sur le territoire de l'autre). Ces affrontements imposent systématiquement des choix. A savoir délester sa base assiégée de toutes parts de quelques précieuses unités ou rester groupés pour défendre. Le bonus si l'on a la maîtrise complète de ces points peut aller de quelques ressources supplémentaires au lancement d'une bombe ravageant littéralement l'armée adverse.

End of Nations
Le lance-flammes, la classe en toute circonstance.
La seconde map nous a donné l'occasion de tester un mode PvP en quatre contre quatre au cours duquel il fallait livrer bataille pour capturer puis défendre trois points de contrôle. C'est la première équipe à atteindre le score de 1600 (plus on contrôle de points, plus le score grimpe vite) qui remporte le match. Cette fois, les joueurs pouvaient s'affronter directement au centre de la carte. Une lutte inévitable pour engranger des ressources - de quoi leur permettre de former à nouveau les unités détruites - et des points. On se rend en tout cas rapidement compte qu'il faut impérativement s'organiser pour venir à bout de l'opposant. Sans quoi, c'est perdu d'avance, surtout lorsque l'on est quatre... Alors, imaginez un peu ce que cela peut donner à douze contre douze ! C'est ce que nous avons pu essayer. Sur cette vaste map adaptée au nombre de participants, le but était d'aller détruire le quartier général de l'équipe adverse, situé, bien entendu, à l'opposé de l'endroit où l'on démarre. Encore une fois, de nombreux points donnant accès à des crédits, des armes destructrices et à des points de respawn plus avancés étaient dispatchés un peu partout sur la carte. Autant le dire de suite, la partie a tourné court, tout simplement parce que les développeurs ont participé à la bataille, éliminant toute adversité grâce à des unités surboostées. Ce qui est sûr, c'est que là aussi, il faudra établir une stratégie et s'y tenir si l'on souhaite remporter la victoire finale.

End of Nations
Ca va charcler sec.
Vous l'aurez compris, les modes se montrent assez différents, autant dans les objectifs proposés que dans le nombre de participants qu'ils tolèrent. End of Nations affiche donc une certaine variété. On sait en plus qu'il reste tout un pan de contenu dont on ne peut pas vous parler puisque Petroglyph ne nous a pas laissé libres dans le choix des maps. Pour profiter de tout cela, vous n'aurez pas à débourser un centime. Le jeu adopte en effet le modèle économique en vogue du moment, celui du free-to-play. Vous allez me dire que développeurs et éditeurs ne sont pas philanthropes. Et vous avez raison. Ces deniers misent sur les fameuses micro-transactions pour rentabiliser leur jeu. Dit comme cela, on peut nourrir des craintes vis-à-vis de l'équilibre de ce RTS. On attendra de tester le jeu en profondeur pour totalement les lever. En attendant, Petroglyph a promis que l'argent réel ne permettra pas d'acheter des objets auxquels les adeptes du tout gratuit ne pourraient pas accéder. Non, tout le monde aura droit au même contenu. Sortir la carte bleue servira en fait à progresser plus rapidement. Pour vérifier tout cela, rendez-vous l'été prochain pour la bêta ouverte. Ou en fin d'année pour la version définitive d'End of Nations.

Nos impressions

Agréable, c'est le mot qui nous vient en tête pour qualifier nos multiples parties. Ce n'est clairement pas le MMO de l'année mais il y a pas mal de bonnes idées dans ce End of Nations, notamment au niveau des modes de jeu. Les combats réclament en prime un vrai sens tactique et de l'organisation, surtout lorsque le nombre de participants s'envole. Maintenant, il faudra attendre que l'on ait un aperçu plus global du contenu pour affiner notre avis. D'autant que, forcément, tout le côté persistant du jeu se testera sur la longueur. On guettera donc avec attention les phases de bêta qui se dérouleront prochainement.

L'avis de la rédaction
Bon
Commentaires
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TsarYuri TsarYuri
MP
Niveau 1
le 13 févr. 2013 à 22:48

ravivons un peu ce topic, EON n'est pas mort!

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