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Preview Brink
Profil de Neferkan,  Jeuxvideo.com
Neferkan - Journaliste jeuxvideo.com

Difficile de résumer Brink en quelques lignes mais voilà un FPS explosif, bruyant et incroyablement dynamique qui s’annonce déjà comme un des évènements du printemps 2011. D’autant qu’il propose une expérience de jeu tout simplement inédite.

Brink
Brink

Le rendez-vous est fixé dans le sous-sol d'un grand hôtel londonien. Une salle que l'on croirait presque mise volontairement à l'abri des regards où huit écrans ont été placés dos à dos, quatre de chaque côté de la salle. La prise en main de Brink, le prochain FPS de l'éditeur Bethesda, s'annonce très encadrée pour la séance multijoueur qui va suivre, et les adversaires sont déjà dans la salle. Avant le match, l'équipe de développeurs de Splash Damage rappelle le contexte du jeu : l'Arche, une cité flottante futuriste construite pour faire face à la montée des eaux, accueille une population de réfugiés telle qu'une guerre civile finit par éclater entre nantis et indigents. Brink propose aux joueurs, en solo ou multi, d'intégrer une des deux factions du jeu : Sécurité ou Résistance.

Brink
Brink ne manque décidément pas d'action et de dynamisme.
En guise de mise en bouche et sans plus de briefing, nous sommes jetés dans le jeu tels des poulets dans une fosse aux ours pour incarner des soldats de la faction Sécurité. Mission : réparer une partie de l'île située côté Résistance. S'il s'agit en théorie de pénétrer le terrain ennemi, d'escorter un engin jusqu'à un point précis ou de s'emparer d'une grue... dans les faits, on s'essaye surtout à éliminer ses adversaires en tentant de rester en vie. Une mini-séance de carnage de quelques minutes, éprouvante pour qui débarque sans didacticiel, vient confirmer trois points : d'abord, Brink est un shooter nerveux où il faut bouger en permanence ; ensuite, un character design audacieux, aux airs de Borderlands ou Team Fortress 2 lui confère une patte graphique originale des plus séduisantes ; enfin, son environnement dense et labyrinthique très cohérent avec le background, se prête parfaitement au jeu de cache-cache et au fameux système SMART qui autorise des figures acrobatiques audacieuses façon Mirror's Edge pour passer des obstacles ou éviter des ennemis.

Brink
Le but principal ? Rester en vie en se débarrassant de ses adversaires.
Après cette rapide figure imposée, c'est du côté Résistance que l'on passera pour reprendre les choses de façon plus posée. A commencer par le choix de l'avatar qui n'est pas à prendre à la légère. Pas seulement parce que les milliers d'éléments de récupération propres à la faction Résistance permettent de se faire un super-look de psychopathe, mais aussi parce que certains choix ont une incidence directe sur le comportement en jeu. Par exemple, en optant pour un avatar à corpulence forte plutôt que moyenne ou faible, vous bougerez moins vite mais serez plus apte à porter une arme lourde et plus résistant aux balles. A l'inverse si vous préférez un physique filiforme, votre agilité est améliorée mais une arme légère devient obligatoire et votre résistance aux dégâts est moindre. Après réflexion donc, les dés sont jetés : corpulence moyenne et, pour le look crâne rasé, tatouages, sans oublier, coquetterie ultime, le masque de cannibale emprunté à Hannibal Lecter. Reste ensuite une formalité une fois rentré dans le jeu : choisir une classe pour son personnage (et son armement dans la foulée) via le poste de commande/ordinateur situé sur le point de respawn. On retrouve ici le système teamwork développé dans Enemy Territory : Quake Wars où chaque classe (4 au total ici, ingénieur, agent, soldat ou médecin) a son propre rôle à jouer avec des objectifs de classe, en plus des objectifs de groupe.

Brink
Le titre dispose vraiment d'une patte graphique originale.
Concrètement, pour le niveau dont nous parlons, l'objectif principal, chronométré, consiste à récupérer un allié dans une geôle de la Sécurité, ce qui dans le détail signifie faire sauter une porte donnant accès à la zone en question, pirater l'ordinateur qui commande la porte de la cellule, faire sortir le prisonnier (qui est blessé) tout en gardant à distance les membres de la Sécurité, et enfin l'escorter en lieu sûr. Pour le médecin, classe choisie pour l'occasion, il s'agit de fournir assistance à ses coéquipiers, ceux dont la barre de vie est entamée au fil de la confrontation, mais surtout ceux tombés sous le feu de l'ennemi et gisant au sol. Ils sont représentés à l'écran par des carrés jaunes (avec direction et distance) et constituent les objectifs contextuels. En activant la touche Carré (sur PS3) près d'un combattant à terre, un pack santé (représenté par une seringue médicale) lui est délivré automatiquement, ce qui lui permet de se relever et de reprendre la bataille là où il était tombé. Côté victime, si aucun médecin n'est présent dans les parages et si le blessé ne veut pas l'attendre, il peut choisir de respawn au poste de commande après un compte à rebours de quelques secondes. Mais cela signifie perdre un temps précieux pour revenir dans le champ de bataille. Le médecin reste toutefois un combattant comme un autre disposant de deux armes et de grenades, apte au corps-à-corps, et il est une cible comme une autre pour l'adversaire. S'il n'y a personne à soigner, il lui suffit d'appuyer sur une touche de la croix directionnelle, pour voir s'afficher la direction et la distance de l'objectif principal, dont il peut reprendre le cours. Il est d'ailleurs à noter que les autres classes ont elles aussi des obligations envers leurs coéquipiers. Par exemple, le soldat les ravitaille en munitions, l'ingénieur upgrade leurs armes.

Brink
Dans Brink, on ne fait pas de quartier !
Surtout, et très judicieusement, chaque classe a une compétence qui s'avère décisive pour mener la mission principale à son terme. Ainsi, au même titre que le soldat, seul personnage apte à dynamiter la porte donnant accès à la zone d'action ou le hacker, seul capable de pirater l'ordinateur qui déverrouille la cellule, le médecin est requis pour la phase d'escorte du prisonnier blessé. Si ce dernier est mis à terre par l'ennemi, seul un médecin peut le ranimer. Sinon, la mission est bloquée. Un cas de figure en réalité improbable puisque n'importe quel joueur a tout loisir, quand il le décide, de changer de classe via le poste de commande pour s'adapter à la situation. Bien vu. Il est à noter aussi que des objectifs secondaires, offrant des alternatives pour réaliser la mission principale, existent pour chaque classe de personnage et que chaque joueur peut décider d'en faire une priorité.

Brink
Vous aurez le choix entre deux factions, la Sécurité ou la Résistance.
Dans Brink, donc, la notion de liberté est permanente. Liberté de changer de classe ou d'arme à tout moment, de suivre un objectif principal ou secondaire, de se déplacer en utilisant un chemin plutôt qu'un autre, en mettant à profit ou pas le système SMART, sans que cela n'affecte la cohérence du groupe composé de plusieurs soldats, médecins, etc. Et c'est sans doute là un des aspects les plus bluffants pour un jeu pensé en équipe. L'expérience gagnée, quant à elle, et qui s'affiche à chaque fin de mission réussie, est individuelle. Calculée en fonction des objectifs réalisés, quels qu'ils soient, elle sert à développer son personnage et notamment à débloquer de nouveaux éléments de personnalisation, pour être certain d'avoir un personnage qui ne ressemble à aucun autre. Pas de doute donc, Brink est un jeu qui va compter cette année.

Nos impressions

Avec Brink, Splash Damage n’a rien inventé. Mais le développeur britannique a réussi à cumuler et exploiter pas mal de bonnes idées pour construire un ensemble riche et cohérent, à la patte graphique singulière, au cœur d’un background des plus séduisants. Et en offrant une grande liberté d’action individuelle. Le tout dans une réalisation technique et sonore qui apparaît déjà comme exemplaire. Mais même si les concepteurs s’en défendent, l’expérience sera sans doute plus forte dans un cadre multijoueur qu’en solo. Et dans tous les cas, mieux vaut être un combattant vif et aguerri pour se lancer dans le combat qui s’annonce comme un des plus explosifs de l’année.

L'avis de la rédaction
Très bon
PC Splash Damage Bethesda Softworks FPS Multi en ligne
Commentaires
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Jiwaya Jiwaya
MP
Niveau 10
le 25 avr. 2011 à 14:19

ça ressemble à team fortress, si c'est le cas je le prends car l'univers à l'air sympa.

Lire la suite...
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