En tout premier lieu, petit rappel des faits. Resident Evil : The Umbrella Chronicles est un opus un peu spécial puisqu'il revient sur les épisodes antérieurs. Ainsi, chaque niveau sera associé à deux personnages qu'on retrouvait dans les jeux auxquels les stages font référence. A partir de là, la surprise visuelle ne devrait pas être vraiment au rendez-vous, même si on pourra compter sur quelques décors inédits. Le Tokyo Game Show 2007 nous aura permis d'essayer celui se déroulant dans le train de Resident Evil Zero.

Comme prévu, pas de vraie claque graphique à l'horizon. Disons que le soft se situe au niveau d'un Resident Evil Rebirth en terme de réalisation. De plus, si vous acceptez d'avancer sur des rails à la manière d'un Time Crisis, ce Resident Evil ne manque pas de charme. D'ailleurs, Capcom n'a pas manqué de préciser que le scénario de leur bébé reviendrait sur la dislocation de la société Umbrella sans parler d'un des personnages les plus appréciés de l'univers, Albert Wesker. Pour ce qui est du gameplay, il sera possible de changer d'arme rapidement en appuyant sur un des boutons du Nunchuck. Ensuite, il sera simplement question de balader son viseur, grâce à la Wiimote, sur l'écran et de viser zombies, larves et autres choses gluantes. En parlant de ça, une autre possibilité consiste à laisser appuyer le bouton Z puis à l'agiter rapidement pour donner des coups de couteaux. C'est à nouveau avec le Nunchuck que vous pourrez récupérer des munitions traînant ici et là ainsi que des items pour restaurer votre énergie. Et pour recharger me direz-vous ? Rien de plus simple puisque le rechargement se fera automatiquement, vous laissant par contre sans défense dans ces moments-là. Pour rester dans la maniabilité, il est important de signaler qu'on pourra jouer de façon traditionnelle ou à l'aide d'un gun dans lequel il convient d'encastrer la Wiimote. C'est cette solution que nous avons privilégié et il faut avouer que la maniabilité ne nous a pas posé de problème. De quoi être serein pour le 30 novembre prochain.