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Note
au moins 18au moins 16au moins 14au moins 12au moins 10inférieure à 10
Date
moins de 1 moismoins de 3 moismoins de 6 moismoins de 1 anmoins de 24hmoins de 1 semaine
Mode
Jouable en soloMulti en ligneMulti en coopératifMulti en localMulti sur le même écranMulti en compétitif
"L'Homme s'en est allé conquérir l'Univers, et c'est avec la planète Mars qu'il fit ses bénéfi... hum, ses armes..." : c'est ce que diront les aïeuls dans l'univers spatial futuriste d'Offworld Trading Company, un jeu de stratégie un peu particulier, où la conquête est économique. Dans un futur pas si lointain, les colonies pullulent sur la Planète Rouge. Entrepreneur brillant sur Terre, vous êtes appelé à étendre votre affaire par-delà la couche d'ozone. Capitalisme oblige, vous ne serez pas seul. Sabotages, pénuries, rachats de parts de marché : ainsi la véritable guerre commence.
Après un premier Nioh accueilli à bras ouverts par la critique, la Team Ninja revient avec un second épisode, disponible dès le 13 mars prochain en exclusivité sur PS4. Au passage, l’équipe met au placard William Adams, héros du précédent opus, et propose au joueur de créer son propre samuraï. Ce n’est évidemment pas la seule nouveauté de Nioh 2 : plus d’ennemis, de pouvoirs et d’environnements, le titre se présente comme la suite par excellence. Et même si on a déjà goûté à ses combats vifs et tranchants, la Team Ninja parvient sans peine à nous faire replonger.
Après avoir vaincu Kuro et redonné aux bois de Nibel leur éclat d’antan, la petite créature flamboyante dénommée Ori coule des jours paisibles en compagnie de Naru et de Gumo. Auprès d’eux, le dernier œuf d’un ancien ennemi désormais terrassé éclot. “Nous n’oublierons jamais le jour où une nouvelle vie arriva” chuchote la voix caverneuse du narrateur lors des premiers instants de l’aventure. Nous non plus, nous ne sommes pas prêts d’oublier cette épopée grandiose débutée il y a cinq années maintenant. Que la lumière soit !
Peu après une Saison des Éternels finalement trop classique, Bungie nous initie de nouveau à Mercure dans une Saison de l’Aube plutôt satisfaisante, mais qui réclame un temps de jeu particulièrement intense.
De l’art de Junji Itō, émerge cette année l'hommage vidéoludique de l'indépendant polonais Panstasz. Mélange singulier entre le jeu de rôle et le roman visuel, World of Horror est illustré par de dérangeants mystères et des graphismes 1-bit rétro. Paru en accès anticipé sur Steam, le titre d’horreur est sans mal parvenu à éveiller notre appétence pour les œuvres atypiques. Dans une petite ville balnéaire du Japon, les habitants sont prisonniers de l'emprise de forces maléfiques. Les monstruosités tapis dans ces lieux maudits valent-elles le coup de s’aventurer dans ce “monde de l’horreur” ?
Après une première année d'activité bien chargée et rythmée par la sortie d'épisodes gratuits de plutôt bonne facture, The Division 2 nous propose son premier DLC payant. Baptisée Warlords of New York, cette extension de contenu vous mènera à nouveau au cœur de New York afin de chasser un agent renégat.
Deux ans après la sortie de Masters of Anima, les Français de Passtech Games sont de retour, toujours sous l’égide de Focus Home Interactive. À la faveur d’une sortie en accès anticipé, le studio propose aux joueurs Curse of the Dead Gods, un roguelike qui entend bien suivre la voie du succès récemment tracée par un certain Dead Cells. Un aventurier, un temple maudit, des monstres et des pièges, tel est le décor planté pour ce titre, arrivé entre nos mains il y a quelques jours. Mais alors que sa vie commerciale débute tout juste, se pose une question : Curse of the Dead Gods saura-t-il se faire une place dans un genre déjà bien représenté, ainsi que dans nos ludothèques ?
En 2006 sortait respectivement sur Nintendo DS et GBA Pokémon Donjon Mystère : Équipe de secours bleue et rouge. Premier épisode d'une série de dungeon-RPG, il avait le mérite de proposer une toute autre façon de vivre des aventures dans l'univers Pokémon. En 2020, son remake baptisé Équipe de secours DX fait suite à plusieurs itérations de la saga : espérons qu'il apporte suffisamment de fraîcheur pour ne pas paraître déjà obsolète.
Pour porter sa nouvelle pierre à l’industrie du jeu vidéo, Arte a décidé de joindre ses forces avec celle du studio indépendant français LaBelleGames. Ce nom ne vous dit rien ? Pas de panique. Le studio n’avait sorti qu’un seul jeu jusque-là, Eugenics, et il n’avait pas fait grand bruit. Mais avec The Wanderer : Frankenstein’s Creature, le studio signe une œuvre à part. Adaptation très libre du roman de Mary Shelley Frankenstein ou le Prométhée moderne (il a d’ailleurs été développé pour fêter le bi centenaire de l’oeuvre), c’est une expérience philosophique, onirique et émotionnelle que nous offre LaBelleGames et qui a d’ailleurs été saluée par la critique lors de sa première apparition à la Gamescom de Cologne 2018. Et ce qui est sûr, c’est que The Wanderer laisse difficilement indifférent.
Après nous avoir délivré un jeu de ping-pong en réalité virtuelle sur PlayStation 4 et PC, et entraîné dans un univers post-apocalyptique grandement inspiré de la saga cinématographique Mad Max avec le jeu mobile Fury Roads Survivor, le studio italien One-O-One Games décide de changer de registre et de s'atteler au genre horrifique. S'inscrivant dans la continuité d'un certain What Remains of Edith Finch ou encore de Gone Home, The Suicide of Rachel Foster nous propose de revenir, de nombreuses années plus tard, sur les lieux de ce terrible accident afin de démêler le vrai du faux.
Webcomic à succès depuis 2009, One Punch Man continue d’asseoir sa popularité auprès des amateurs d’œuvres décalées. Anti-shonen par excellence, la série de l’artiste japonais ONE et du mangaka Yûsuke Murata joue avec les codes du genre et détruit le mythe des super-héros avec un humour aiguisé. Saitama, le personnage principal, qui est doublé par Orelsan dans l’hexagone, souffre d’un syndrome qui l’empêche de ressentir la moindre émotion durant les combats. Il lui suffit en effet d’un seul et unique coup de poing pour terrasser n’importe quel adversaire, qu’il s’agisse d’un humain ultra balèze ou d’un monstre sorti de la torpeur des ténèbres. Cela donne lieu à des séquences cocasses où se mêlent des personnages loufoques, une académie de super-héros et des affrontement ultra punchy. Drôle, satirique et violent, One Punch Man mérite vraiment le coup d’œil. Mais avec un tel pitch, la moindre adaptation se transforme en piège et nous allons vérifier si Bandai Namco et Spike Chunsoft ne sont pas tombés dedans.
Entre la route dégagée et le mur, BigBen et Zordix Racing ont choisi le mur. Mais attention, cette phrase de prime abord effrayante est en fait positive : Overpass c'est l'histoire d'un pari, celui de développer un jeu de buggy et de quad dans des décors accidentés ou vertigineux. Un titre qui a titillé notre curiosité au fil des essais, puis repoussé jusqu'en cette fin février sur consoles et PC.
Onze longues années que Samurai Shodown était endormi. Plus encore, si l’on met de côté le très oubliable Samurai Shodown : Edge of Destiny (Samurai Spirits Sen). Si la série n’a jamais été aussi populaire que les Street Fighter, Mortal Kombat et autres The King of Fighters nés à la même période, Samurai Shodown a su capter une audience, dès le premier épisode. Avec son gameplay atypique et sa direction artistique fleurant bon le saké chaud et les pétales de sakura, il a fait chavirer les amateurs d’iconographie nippone. Et, en 2019, la magie opère toujours.
Si la perspective de vous plonger dans une version alternative des années 80 et d'endosser le rôle d'un réalisateur de journal télévisé relatant les événements les plus déjantés, vous devriez surveiller Not for Broadcast, un titre étonnant fraîchement paru en early access.
L’ensemble des épisodes modernes de la franchise Yakuza est désormais disponible sur PlayStation 4. Sega a poursuivi sa politique de remakes et de remasters tout au long de cette génération de consoles et The Yakuza Remastered Collection y met définitivement un terme. Yakuza 3, Yakuza 4 et Yakuza 5, sortis au préalable sur PlayStation 3, complètent le tableau avant l’arrivée dans un futur encore incertain chez nous de Yakuza : Like A Dragon. Mais cette compilation est-elle à la hauteur du mythe que représente le Dragon de Dojima ?
Une campagne Kickstarter à succès et un développement à rallonge de quatre années plus tard, Wolcen, le hack’n slash du studio français Wolcen Studio sort enfin de son incubation pour dévoiler une version finale qui aurait sans doute dû rester davantage en hibernation.
Sept mois après la sortie de Fire Emblem Three Houses, l'impressionnant monastère de Garreg Mach n’a pas fini de nous révéler ses secrets. Si vous pensiez en avoir fait le tour, le DLC Ombres Embrasées rebat les cartes en nous proposant de nous replonger dans l'aventure à partir du chapitre 3. De nouvraux mystères entourent l'Église et Fódlan. À nous de découvrir ce qui se cache sous les profondeurs de l'Académie !
Au-delà du titre Champion Edition qui rappellera des souvenirs à bon nombre d’entre nous, cette nouvelle itération de Street Fighter V ne cache pas son ambition et promet d’être la version ultime que tous les fans de la série attendaient. À l’image d’un bon vin, on dit généralement qu’il faut plusieurs années pour qu’un jeu de baston arrive à maturité et c’est notamment pour cette raison, parfois teintée de l’incompréhension du public (devant repasser à la caisse), que le dernier né de la série a fait l’objet de nombreuses mises à jour. Rééquilibrage du gameplay, amélioration du roster, évolutions multiples… le polissage, débuté avec l’Arcade Edition, se concrétise aujourd’hui avec cette Champion Edition. Si la perfection n’est pas de ce monde – certains choix pouvant chagriner les experts de la licence – on s’en approche considérablement.
Capcom alimente régulièrement la Nintendo Switch avec ses gloires passées. Des zombies de Resident Evil aux démons de Devil May Cry, les portages ne manquent pas sur la console hybride de Nintendo. Les deux premiers épisodes des aventures de Dante sont sortis respectivement en juin et septembre 2019, et c’est désormais au tour de la Special Edition de Devil May 3 de montrer les dents.
Guerre, Mort, Furie, trois des Cavaliers ont déjà eu le droit à leur moment de gloire dans la trilogie existante de jeux Darksiders. Longtemps laissée pour morte suite à la faillite de THQ de 2012, la franchise est revenue du royaume des défunts suite à son rachat par THQ Nordic. De ce sauvetage est né Darksiders III en fin d’année dernière, chapeauté par une bonne partie de l’ancienne équipe de feu Vigil Games, regroupée sous la bannière du studio Gunfire Games. Ne restait plus qu’à Discorde (Strife en V.O), dernier larron du quatuor, de faire parler les armes avec son charisme en bandoulière et ses deux gros flingues dans un quatrième opus. Mais point de suite « canonique » pour cette fois, Darksiders Genesis se présente comme un spin-off jouable avec une vue typée Hack’n slash où le cavalier Discorde évolue, en coopération ou non, aux côtés de son frère Guerre.